À 25 châtie qui tu veux (La Taverne du Fouet cinglant)

Deleted User - 988758

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J'entre dans ce lieu où je n'ai pas mis les pieds depuis un moment et viens immédiatement me blottir contre Max. Je jette un coup d'oeil à la Taverne du Fouet Cinglant, l'air encore endormie, et salue quelques habitués que j'ai reconnu.
 

AliasMelusine

Disciple des gobelins
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A croire que kyhd veut aussi que je fasse des fioritures :rolleyes: ça sera fait. @AliasMelusine il sera pour toi, et je pense que je ferai un combo avec @LadyBear :D
Et bien en attendant que tu édites, je me retire dans mon refuge... besoin de me prélasser dans mon bassin troglodyte...

*salue les habitués, et sort du Fouet Cinglant, pour rejoindre sa demeure*
 

kyhd

Graine divine
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Piou mes zinzins :)

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A croire que kyhd veut aussi que je fasse des fioritures :rolleyes: ça sera fait. @AliasMelusine il sera pour toi, et je pense que je ferai un combo avec @LadyBear :D
Je ne vois pas de quoi tu parles, je suis un
PandaAngelWings.png
 

LadyBear

Fleur de saison
6 Lady passe la porte à petit pas, se voulant discrète mais malheureusement, elle trébuche sur quelque chose et se ramasse par terre en cassant un objet en verre qui se brise en mille morceaux..le bruit résonne partout et tout le monde l'observe d'un regard suspicieux. Elle aperçoit soudain @borneater qui la dévisage avec un sourire malicieux...va t'il m'aider ? En tout cas pour la discrétion...c'est râpée...
 

Cruciatorum Magister

Grenouille ensorcelée
Oyé, oyé, voici donc le châtiment évoqué plus tôt. La nuit porte sommeil, mais également inspiration, ce qui a fait que j'ai pu le boucler un peu plus tôt que prévu. Comme toujours les âmes sensibles sont priées de s'abstenir.
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Enveloppé par les ombres mouvantes de la taverne, j'écris un mot à destination de la jeune fée @AliasMelusine , la conviant à un dîner dans ma propriété. Un froissement de tissu me fait lever les yeux. @LadyBear a donc le courage de revenir s'aventurer ici. Et il semblerait qu'elle soit accompagnée, cette fois-ci. Grand bien lui fasse. Je souris, dégainant mon sabre pendant que le verre se brise, et avance, posant la pointe de ma lame sur la gorge de @borneater , l'enjoignant à reculer de ma proie.

« Paix, très cher. Notre jeune amie souhaite mettre son courage à l'épreuve. En est-elle vraiment digne ? Nous verrons cela sous peu. En attendant, range tes crocs, elle est mienne pour les heures qui se profilent. »

Mon sourire s'intensifie devant le regard effaré de ma première victime de ce soir, qui ne peut masquer un pas de recul. J'incline légèrement la tête devant elle, juste avant de l'assommer d'un coup de garde précis sur la tempe, la rattrapant avant qu'elle ne tombe au sol, rengainant mon arme dans le même mouvement, avant, enfin, de m'éclipser dans les ombres de la Taverne pour me rendre dans ma demeure.


Quelques dizaines de minutes plus tard, Ladybear se trouve dénudée, allongée et attachée sur le dos, les bras en croix, dans une pièce en bois de chêne sculpté finement, offrant visibilité dans une salle richement décorée de velours pourpres et or, derrière un miroir sans tain. Son réveil est brutal, le son de la gifle résonnant. Ses yeux laissent transparaître une sainte terreur quand elle se rend compte qu'elle est tout simplement prisonnière, et condamnée à subir mes sévices.

« Très chère, tu n'es qu'un simple rafraîchissement avant la véritable séance de ce soir. Je ne doute pas de ta vaillance, ni de ton courage, simplement de ta résistance à la douleur. Je dois également te présenter mes excuses, notre première rencontre ayant été pour le moins bâclée. Je suis à blâmer pour cela, et je te prie de considérer cela comme un avant-goût d'une soirée où tu seras la pièce maîtresse. Et si tu penses que les sévices que Mélusine subira sont trop... poussés, dirons-nous, je t'invite à garder malgré tout les yeux ouverts. Les cris seuls, pour les non-initiés, peuvent faire des dégâts incontrôlés, et cela, je ne le souhaite pas. Puisses-tu ressentir la douleur avec force de conviction. »

Mon monologue terminé, je saisis un tuyau métallique fin et particulièrement résistant, que je place en regard du ventricule gauche de ma victime, vérifiant les mesures. Je souris, puis entaille la chair de sa poitrine à l'aide d'une lame si finement aiguisée que la douleur prend quelques secondes à arriver, secondes suffisantes pour que, de quelques coups de masse, je plante mon artefact dans le cœur de ma proie, le sang jaillissant à chaque battement, accompagné de cris stridents. Je remplis ainsi une bouteille, avant de retirer mon outil et de recoudre la plaie sur le cœur et la peau. Pour les muscles, elle aura simplement du mal à respirer pendant quelques temps. Surprenant. Elle n'est pas tombée dans les pommes. J'éclate de rire devant son regard empli de terreur et de haine mêlée, refaisant ses liens pour la relever, face à ma salle à manger. Un simple fouet claque sur son postérieur à 11 reprises, veillant à ne pas abîmer la viande, souriant devant les frémissements indignés de ma victime. Je termine par une simple fessée, particulièrement forte cela étant, qui résonne dans toute la pièce, laissant la marque de ma main sur sa fesse gauche. La Lady a désormais le visage rouge de colère et de honte, ce qui ajoute à mon hilarité, sortant de la pièce pour aller me changer en vue du dîner.


Quelques heures plus tard, la fée frappe à ma porte, toute vêtue de vert pomme. Je l'accueille d'un baisemain, avant de la guider dans ma salle à manger, habillé pour ma part, d'un kimono et d'un hakama noir de jais. J'enjoins mon invitée à faire comme chez elle, préparant diverses boissons au passage, y compris deux verres du sang de la Lady, à côté d'un vin rouge.

« Je crains ne plus me souvenir de ta boisson favorite, de fait, je te propose une petite sélection d'alcools forts, eau plate et gazeuse, jus de fruits, vin blanc, vin rouge, et également un verre du sang de Ladybear récolté directement à la source il y a quelques heures de cela. Je lui avais dit qu'elle servirait de rafraîchissement, après tout »

Un sourcil de mon invitée se surélève, et je souris, trinquant avec elle, ayant choisi, pour ma part, le fruit de ma récolte. Pendant quelques heures, nous échangeons ainsi des banalités et politesses variées, dégustant par la même occasion quelques plats aussi variés que nos conversations, allant de la simple volaille au poisson, en passant par des délicatesses végétariennes et des fromages savamment affinés, en nous prélassant sur les fauteuils de ma salle de réception. Nous arrivons ensuite vers la fin du repas, copieux sans être assommant, tous les sens en éveil pour la suite du programme.

« Ma foi, très chère, j'ai grandement apprécié ce dîner en ta compagnie. J'ose espérer qu'en termes de fioritures, comme tu le dis, tu as eu ton contentement. Je ne pense pas me tromper en disant que tu sais quelle est la suite du programme. Je te suis particulièrement gré d'avoir choisi une tenue difficile à retirer en la gardant intacte, cela montre un caractère rebelle dans l'appréciation. Très appréciable. La dernière fois que tu es passée entre mes mains, tu as pu goûter au sadisme froid, chirurgical, et méthodique, qui est ma marque de fabrique. Pour ce soir, je souhaiterais te montrer une autre facette, du moins, en partie. Pour toi qui suit la voie de la passion sans limites, je souhaiterais te montrer la passion contrôlée. L'envie, la rage, l'affect, au service des actes et non l'inverse. Je tiens également à te prévenir que nous sommes observés par la source du rafraîchissement évoqué précédemment, qui se trouve dans ma pièce boisée, derrière le miroir sans tain. Si tant est qu'elle ne soit pas écroulée au sol les bras disloqués. Te sens-tu prête ? »

Surprise par ma question et ma recherche d'un consentement, ne serait-ce qu'infime, Mel se lève, et hoche brièvement la tête, le regard acéré, excitée par l'association de la passion et du châtiment, comme si elle souhaitait me rendre la monnaie de ma pièce dans ma propre demeure. Je souris, masse doucement mes poignets, et me lève d'un bond, me propulsant vers mon invitée de ce soir. Mon poing se loge parfaitement au niveau du plexus solaire, coupant le souffle et forçant ma victime à se pencher un poil trop en avant. Un uppercut dans la gorge savamment dosé l'arque cette fois vers l'arrière sans abîmer la trachée, et, dans le pas de recul, trébuche contre ma jambe, manquant de tomber. Mon sourire se fait plus marqué, ses yeux pétillent de malice, et un coup de pied manque de toucher mes parties, l'esquivant de peu alors que je reprenais ma garde. Je hoche la tête, et enchaîne une série de coups ayant pour simple but la désinformation, esquivant et parant les siennes, avant de frapper à nouveau vers le plexus solaire, deux gifles sur les tempes suivant le poing. Touchée, sonnée, Mel recule et se prend les pieds dans mon tapis, tombant sur le ventre en ayant tenté de se rattraper. Un fouet orné de fines lames trouve immédiatement sa place dans mes mains, et j'assène une première frappe sur son dos. Son sang vermillon jaillit en de multiples endroits, et elle feule comme une chatte échaudée. Un deuxième, puis un troisième coup s'abattent sur son dos, désormais zébré d'entailles. Je profite de la légère torpeur de ma victime pour lui attacher les mains dans le dos en faisant rentrer ses épaules, lui faisant bomber involontairement bomber le torse. Je la retourne d'un coup de pied sur le ventre, avant de porter un atemi sur son sternum, récoltant un grognement de douleur. J'entends un bruit de liens qui sont tranchés, et recule rapidement pour éviter le coup de lame vicieux de la fée. Ohooo, les griffes sont de sorties, semblerait-il. J'éclate de rire en me plaçant, invitant Mel à se relever. Sitôt debout, je suis dans son dos, une main sur sa gorge, l'autre bloquant sa main, la désarmant au passage, avant de déboîter son épaule d'un geste fluide, l'autre recevant très vite le même traitement.

Enfin, un premier cri, pas de douleur, mais de rage, devant le dépit d'être aussi rapidement maîtrisée. Je récupère des chaînes astucieusement dissimulées dans la pièce, et y lie les membres de ma victime, livrant chaque parcelle de son corps à mon bon vouloir. Je fais sauter les coutures de ses vêtements d'un simple coup de lame, sa propre lame, avec laquelle je jongle, tout en jaugeant les courbes de son corps, le tressaillement de ses muscles, la vitesse de sa respiration, afin de déterminer de quelle manière le tableau sera le plus saisissant. Oh et puis merde. J'enfile des gants ornés également de fines lames, et caresse doucement le buste de la fée, dessinant une magnifique rosace de plaies profondes, avant de saisir à nouveau mon fouet favori, de me placer dans son dos, et de commencer à frapper son postérieur sans la moindre gêne ni retenue, le regard perdu pendant que je ravage jusqu'à aux muscles son assise (coucou @kyhd :p), mon invitée commençant à hurler de plus en plus fort. Ma respiration se fait haletante, je lâche mon arme, et assène de multiples droites à ma victime, tapant dans chacune de ses articulations jusqu'à les disloquer et déboîter à mains nues, ne récoltant plus que de faibles gémissements. Satisfait, je la libère de ses chaînes, et elle s'effondre, tout juste consciente malgré la douleur, incapable de bouger. Je la saisis par les cheveux, et la traîne jusqu'au miroir sans tain, laissant à Ladybear tout le loisir d'admirer le travail.


Je la ramène ensuite directement dans sa chambre de la taverne, où je mets la main sur le remède miracle de la gobeline Hamsterdame, qui m'évitera de passer de longues heures à suturer chaque plaie et remettre chaque articulation en place. Un simple massage suffira, et je m'exécute, souriant.

Je retourne ensuite dans ma pièce boisée, où je remarque les joues striées de larmes de Ladybear, qui visiblement n'a pas eu l'estomac suffisamment accroché. Je grimace en voyant que certaines sculptures n'ont pas été épargnées, et entreprends de nettoyer cela sous son regard apeuré, terrifié, et endolori. Je lui fais un clin d'oeil une fois le ménage terminé, et la détache, l'enveloppant d'un drap de soie blanche pendant que je la ramène également à la Taverne, cette fois dans la salle commune, dans les bras de celle qu'elle avait amené ici quelques heures auparavant. Je salue cette dernière d'un hochement de tête, et lui indique qu'il lui faut simplement une présence rassurante, et du liquide sucré. J'ajoute que je lui aurais bien préparé cela moi-même, mais que c'est le prix à payer pour saloper ma demeure.

« Par ailleurs, @HoanjakeAhna , j'ai eu vent de tes menaces. J'attends avec une certaine impatience de voir ce dont tu es capable. Bonne journée. »


Je claque des doigts et reprends ma tenue habituelle, m'installant, comme toujours, dans les ombres, où seule la lueur ardente d'un cigare ressort.
 
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