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prophetie

DeletedUser13477

Pensée du jour

Je pense qu'on en arrive à ce genre d'articles à cause de deux problèmes en amont. Le premier c'est le manque de communication dans les couples.
Le second problème à mon sens est celui de l'éducation des enfants, et surtout des jeunes garçons depuis 30 ans environ (c'est-à-dire depuis l'émergence de la branche extrémiste et castratrice du féminisme). On n'apprend plus aux petits garçons à devenir des hommes adultes un jour.

Salut Sir, j'ai bien aimé ton analyse de l'article et ta vision de "l'homme moderne".
Je te rejoins pour les couples, sur le manque de communication mais aussi sur la perte de confiance en l'autre, et ce n'est pas typiquement masculin mais bien contemporain (entre autre avec la multiplication des sites extra-conjugaux par exemple où l'autre devient aussi un "objet" de consommation...).
Pour le second problème, je suis partagé car même si en effet le combat mené par les femmes pour des égalités légitimes à légèrement modifié le modèle éducatif, il n'en reste pas moins que l'on est toujours dans une société très patriarcale et que la place du jeune homme n'est surtout plus très claire ; ce n'est pas trop une question de recherche de "maman" pour moi mais plutôt qu'est-ce que ce serait un homme adulte aujourd'hui et qu'est-ce qu'on attend de lui ?!
Dans la difficulté de se positionner avec virilité mais sans machisme, je crois que les (jeunes et moins jeunes) hommes sont surtout "paumés" et les papa aussi...ce qui ne va que s'aggraver si les femmes et les mamans ne nous aident pas, sans pour autant aller dans des extrêmes comme cette américaine.
En tout cas, j'achèterai pas son bouquin et je suis super content d'avoir une fille !! :D
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
Salutations,



Pensée du jour


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Résumé
Je m'appelle Renée, j'ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j'ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l'image que l'on se fait des concierges qu'il ne viendrait à l'idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m'appelle Paloma, j'ai douze ans, j'habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c'est le bocal à poissons, la vacuité et l'ineptie de l'existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C'est pour ça que j'ai pris ma décision : à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai.
J'ai personnellement adoré ce livre, à la fois cynique et poétique. La petite fille et la concierge sont des personnages incroyables !
J'ai été étonnée par le très bon niveau intellectuel du livre j'ai pas arrêté d'ouvrir le dico :)
On touche du doigt la philosophie utile pour beaucoup de personnes qui ne la connaissent pas.
Je le conseille malgré quelques chapitres et passages difficiles

Mon extrait préféré qui a pour moi un sens profond
Mais là, et pour la première fois, j’ai eu mal, tellement mal. Un coup de poing dans le ventre, le souffle coupé, le cœur en compote, l’estomac complètement écrabouillé. Une douleur physique insoutenable. Je me suis demandé si je m’en remettrais un jour, de cette douleur-là. J’avais mal à en hurler. Mais je n’ai pas hurlé. Ce que je ressens maintenant que la douleur est toujours là mais qu’elle ne m’empêche plus de marcher ou de parler, c’est une sensation d’impuissance et d’absurdité totales. Alors c’est comme ça ? Tout d’un coup, tous les possibles s’éteignent ? Une vie pleine de projets, de discussions à peine commencées, de désirs même pas accomplis, s’éteint en une seconde et il n’y a plus rien, il n’y a plus rien à faire, on ne peut plus revenir en arrière ? Pour la première fois de ma vie, j’ai ressenti le sens du mot jamais. Eh bien, c’est terrible. On prononce ce mot cent fois par jour mais on ne sait pas ce qu’on dit avant d’avoir été confronté à un vrai « plus jamais ». Finalement, on a toujours l’illusion qu’on contrôle ce qui arrive ; rien ne nous semble définitif. Mais quand la mort frappe alors je peux vous dire qu’on ressent ce que ça veut dire et ça fait très très très mal. C’est comme un feu d’artifice qui s’éteint d’un coup et tout devient noir.....

Bonne lecture

J'oubliais il y a également un film avec Josianne Balasko perso je ne l'ai pas vu
 
Dernière édition:

Sir-destro

Apprenti nécromancien
salutations,
merci @Queen Mary


pensée du jour

je ne pouvais pas m'abstenir sur ce sujet au combien important pour nous tous
ma région étant en première ligne ce jour là

l'opération OVERLORD

La Normandie a été le lieu d'une des opérations les plus célèbres de la Seconde Guerre mondiale : le débarquement allié du 6 juin 1944 sur les côtes du Calvados et du Cotentin. L'Opération Overlord s'est déroulée sur cinq plages différentes : Omaha Beach , Utah Beach, Gold Beach, Juno Beach et Sword Beach. Utah Beach est située sur la presqu'île du Cotentin, dans la Manche, les quatre autres sont situées dans le Calvados.

Le Jour J (D-Day en anglais) constitue un tournant capital dans la Seconde Guerre mondiale, essentiellement parce qu'il permet aux Alliés de prendre pied en Normandie et d'établir ainsi une tête de pont d'où va commencer leur progression vers l'Allemagne. Mais il est aussi un formidable signe d'espoir pour les populations occupées, notamment en France.

Ci-dessous, voici une carte présentant les différents secteurs du débarquement allié du 6 juin 1944. A noter que Utah et Omaha sont les plages du débarquement des forces américaines, les trois autres plages étant prises d'assaut par les forces anglo-canadiennes.

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un brin d'histoire
Depuis 4 ans, l'Europe entière est soumise à la dictature de l'Allemagne nazie de Hitler.
Cette situation rend la vie de plus en plus difficile et tout le monde attend avec impatience le débarquement de forces alliées sur le continent.
Dès 1940, après la défaite de la France, Churchill affirme "qu'il faudra reprendre pied sur le continent pour abattre l'Allemagne".
En juin 1944, l'imminence d'un débarquement allié sur les côtes françaises ne fait aucun doute. Mais le lieu où se déroulera l'opération reste un mystère.
En 4 ans, les Allemands ont eu le temps de se préparer. Hitler protège les 5000 km de côte qu'il occupe par le "Mur de l'Atlantique". Mais il connait la fragilité de son dispositif. Depuis le début de la guerre à l'Est, les forces de l'armée allemande, la Wehrmacht, se sont considérablement réduites.
En juin 1944, il ne dispose que de 700 000 hommes et de 500 avions pour les 5000 km de côtes.


Retour sur le choix de cette opération
La péninsule Ibérique :
Ce lieux est très vite abandonné car il est trop éloigné de l 'Allemagne.
La Norvège :
Le terrain offre un accès difficile pour une offensive importante.
Le Jütland et la côte frisonne :
Géographiquement très bien situé, ce lieu est malheureusement trop difficile pour une offensive de blindés.
Le choix se limite donc à la Manche qui apparait comme la seule région pour la réalisation de la plus grande bataille aéronavale de tous les temps. Par conséquent ces 2 régions ont été étudiées sérieusement par 2 équipes d'états-majors.

Région Pas-de-Calais-Somme :
Cette région offre d'énormes avantages :


  1. Proximité de l'Allemagne
  2. Distance maritime et aérienne plus courte
  3. Plages favorables
  4. grands ports à proximité (le Havre et Anvers)
Région Basse-Normandie :
Les avantages de cette région sont importants :


  1. Plages faciles d'accès
  2. Grands ports à proximité (Brest et Cherbourg)
  3. Défenses Allemande moins importantes
  4. Supériorité sur le plan maritime
Cette région a quasiment les mêmes caractéristiques que le Pas-de-Calais-Somme mais elle a l'avantage d'avoir une défense Allemande très réduite.


j'aurais pu surement choisir une autre vidéo mais il y en a tellement :)



un témoignage parmi tant d'autres

Bernard Dargols

Vous allez penser que je parle plutôt bien français pour un GI, mais je suis né à Paris. Si j'étais à New York en 1939, c'est parce que mon père qui tenait une boutique de machines à coudre à Paris, m'avait envoyé chez l'un de ses fournisseurs aux États-Unis faire un stage.
L'Amérique à 18 ans : le rêve ! Mais la guerre a éclaté. Et ma nouvelle vie prit très vite une nouvelle tournure.

Pas question de rentrer en France

C'est ainsi qu'à 19 ans, je me suis retrouvé tout seul de l'autre côté de l'Atlantique alors que la guerre avait éclaté en Europe... Toute ma famille, dont mes deux jeunes frères, était restée en France.
En mai 1940, je suis convoqué au consulat français de New York pour passer mon conseil de révision, comme tout Français âgé de 20 ans. "Attendez, on vous appellera", me dit-on.
Mais en juin 40, l'Allemagne envahit la France.Pétain serre la main d'Hitler à Montoire. Il est dès lors, hors de question pour moi de rentrer en France.

Je serais plus utile dans l'armée américaine

Je ne veux pas rester inactif et je cherche à m'engager. Je vais voir le Conseil britannique, mais il cherche uniquement des volontaires pour la Marine. Je rencontre un représentant de De Gaulle qui me dit que si je rejoins les Forces Françaises libres, j'irai immédiatement à Londres où je serai fait officier.
De retour à l'atelier à New York, mes copains américains me suggèrent de m'inscrire avec eux dans l'armée américaine. Pearl Harbor vient d'être bombardé par les Japonais, faisant des milliers de victimes : l’industrie américaine se mobilise pour devenir l’arsenal des Alliés.
Après réflexion, c’est l’option que je choisis. J’avais l’impression que je serais plus utile avec mon français dans l'armée américaine, si nous étions amenés à combattre en France.
En attendant la convocation de l’armée, je monte une association "Jeunesse France Libre" à New York pour réunir les jeunes francophones qui soutiennent les Forces gaullistes. J’y rencontre Françoise, française immigrée, elle-aussi, à New York qui vient s’inscrire dans mon association.

Je troque mes vêtements pour l'uniforme de GI

Un jour, la convocation arrive, marquant le début d’une très longue période d'entrainement dans des camps successifs : Fort Dix dans le New Jersey où j’échange mes vêtements de civil contre l'uniforme de GI, puis Camp Croft en Caroline du Sud, un immense camp d'entraînement où je passe plusieurs mois avant d'être envoyé à camp Ritchie, le seul camp du Military Intelligence Service des États-Unis (renseignements militaires).
Je comprendrai plus tard en Normandie pourquoi mon affectation au renseignement militaire avait plus de sens que de rejoindre l’infanterie : en tant que Français, recueillir des informations auprès des civils était beaucoup plus simple pour moi.
À Ritchie, j’apprends, des mois durant, des centaines de documents par cœur, la composition des unités ennemies, leurs armes, leurs insignes, le bruit des avions et des tanks. Les manœuvres, les marches dans la nuit et les parcours du combattant font partie du quotidien de notre apprentissage.

Un débarquement prévu dans le Pas-de-Calais

En décembre 1943, mon équipe constituée de six officiers et sous-officiers, deux jeeps, une remorque, part sur le "Queen Elizabeth" pour la Grande-Bretagne, puis je rejoins le Pays de Galles pour commencer un nouvel entraînement.
Là, je suis affecté à La Deuxième division d’infanterie US, "Indian Head". On me demande de parler de la France à des GI assis dans des champs et de répondre à leurs questions au cas où nous débarquerions en France.
"Où allions-nous débarquer ?"
Je leur réponds : "Dans le Pas de Calais".
C'est ce qu'on m'avait dit de leur dire. Ils me demandent aussi si les Parisiennes sont aussi jolies qu'on le dit...
Le 5 juin 1944, j'embarque avec une centaine de GI à Cardiff sur un bateau de troupe, un Liberty Ship. La traversée est retardée par un mauvais temps. Nous partageons la même peur qui semble alors atténuée.
Après trois jours de traversée sans avoir aucune idée d'où nous nous rendions, la côte normande apparaît enfin.

Un fracas qui résonne dans mes tripes

À environ 100 mètres de la plage, je quitte le bateau par une échelle de cordes pour monter sur une barge où ma jeep que j'avais appelée "la Bastille" m'attend.
Le fracas indescriptible des navires Alliés qui bombardent au-dessus de nos têtes, pour nous assurer de prendre pieds avec le plus de sécurité possible, résonne dans mes tripes. Ce bruit, je ne pourrai jamais l'oublier.
Arrivé sur la plage d'Omaha Beach, où sortent des poutres et obstacles en tout genre pour empêcher les navires d'approcher, nous débarquons en jeep sur la plage en direction d'une petite route vers Formigny. Nous passons à côté d'un blockhaus éventré. Je vois déjà les premiers morts et les premiers blessés.

"Laisse toutes tes photos à un ami"

C'est à l'entrée de ce village que m'attend le colonel du G2 de ma division pour ma première mission. Il me dit :
"Laisse toutes tes photos, lettres que tu as sur toi à un ami et prends ta jeep avec un MP (policier militaire) pour t'accompagner. Formigny est peut-être encore occupée ou sur le point d'être libérée. Tu seras une sorte d'éclaireur. Tu as 2 heures pour ramener les renseignements dont j'ai besoin en revenant par ce même chemin."
Je ne sais pas si je vais rencontrer l'ennemi. Je ressens une peur très intense.

Rencontres émouvantes

Mes missions en Normandie, en Bretagne (dans la poche de Brest), puis dans les Ardennes, à Bastogne seront les mêmes. Je dois interroger les civils pour savoir où sont les entrepôts de carburants, les dépôts de munitions allemands, les terrains minés et connaître les unités qui nous font face puis reporter ces informations à ma division.
La rencontre avec les Français est très émouvante. En entendant un GI parler français, ils sont très surpris et c'est eux qui m'interrogent ! Ils ouvrent le calva qu'ils réservaient pour le jour de la Victoire. Sur ma jeep, je fais monter les enfants et leur donne du chocolat.
À Paris, je suis muté dans le contre-espionnage (Counter Intelligence Corps) où je retrouve enfin ma mère, après six ans de séparation.
Je suis démobilisé en 1946 et je me marie avec Françoise quelques semaines après mon retour à New York. Cela fait maintenant 66 ans...

N'oublions pas les vétérans

Le drame vécu peut revenir. C'est la raison pour laquelle j'accepte volontiers de raconter mon histoire d'acteur et témoin de cette période aux collégiens, lycéens. Histoire que ma petite fille a voulu retranscrire dans un livre (B.Dargols, un GI français à Omaha Beach Éditions Ouest-France).
Je pense alors à mon professeur d'anglais, M. Soulas, à Turgot, qui m'a fait tant aimer la langue anglaise et a sûrement changé mon destin.
Au Mémorial de Caen le 6 juin 2012 où j'ai été invité, le président François Hollande a fait part de son idée de faire du 6 juin une journée commémorative internationale du Débarquement. L'objectif est de rendre hommage non seulement aux troupes américaines, mais aussi anglaises, canadiennes, polonaises et aux résistants des Forces françaises libres.
Je trouve son idée excellente. Oui, ne les oublions pas. Et n’oublions pas non plus que lorsque dans un futur le plus lointain possible je l'espère, nous, les vétérans ne serons plus de ce monde, il y aura des extrémistes, des négationnistes qui prétendront que le débarquement de juin 1944 n'a jamais existé.
Je veux rappeler que non, ce n’était pas du cinéma.

Témoignage initialement mis en ligne en juin 2012.

je pourrais passer des heures sur ce sujet
mais je me limiterais à un merci
on ne pourra jamais vous oublier même au delà de ces 74 ans passé on vous fête toujours ...
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
Salutations,

Pensées du jour

Lecture du matin :confused:
J'adhère totalement

"J'en ai marre d'entendre les gens (Jamel Debouze, Lambert Wilson et compagnie ) critiquer la Marseillaise à cause de cette phrase : « qu’un sang impur abreuve nos sillons »
On ne peut pas leur reprocher leur ignorance, et ça ne devrait pas être mon rôle de rappeler le sens, mais à l'Education nationale, lors des fameux cours d'éducation civique.
Avant de dire « beurk, c'est quoi ça, c'est raciste, c'est méchant » … blablabla …, il faudrait savoir ce qu’est le sang impur ainsi que les sillons.
> Alors explication de texte :
A l'époque, ce qu'on appelait le sang pur, c'était le sang des nobles qui, seuls, pouvaient prétendre au Pouvoir et à des fonctions d'officiers dans l'armée. Lors de la Révolution, et notamment de l'attaque des autrichiens, les nobles se sont enfuis et ne restaient donc que des "Sangs impurs" (Républicains), par opposition au "Sang pur" (royaliste). Au cri de la "Patrie est en danger", c'étaient des gens du peuple qui prenaient les armes pour combattre l'envahisseur et qui étaient disposés à verser leur sang pour la liberté.
C'est dans le même esprit qu'ont été composés le "Chant du départ" et plus récemment "Les africains". Et les sillons sont des tranchées creusées un peu partout dans la campagne et les champs, lors des sanglantes batailles.
> "Qu'un sang impur abreuve nos sillons" signifie donc que c'est notre "Sang impur" à NOUS, le peuple, qui nourrira nos terres.
En aucun cas il ne s'agit du sang de l'ennemi. Ce serait bizarre et incohérent quand même, de chanter que le sang de l'ennemi nourrit nos terres, nos sillons.
> On peut reprocher beaucoup de choses à la Marseillaise, notamment son esprit guerrier, mais pas le "Sang impur", désolé pour les incultes. A aucun moment de l'Histoire, la France n'a désigné ses adversaires en raison d'une notion raciste liée à la pureté du sang, notamment lors des guerres coloniales inspirées par des politiciens issus des "Lumières", comme les Saint- simoniens et les Francs-Maçons : la statue de la Liberté offerte à la jeune nation américaine illustre le propos... Méfions-nous de cette approche socio-libertaire et antimilitariste simpliste qui avance sournoisement pour adapter l'Histoire à sa guise !..
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
Salutations,

Pensées du jour



Il y a entre nous tellement de complicité
Merveille de ces jours passés
Alors qu'il se fait tard j'écris
Grandeur de cette âme qui est tienne
Imaginaire change le cours du temps
Nous ne rêverons plus de choses improbables
Avec toi, une nouvelle vie
Irons nous jusqu'au bout de cette vie
Racontée mot après mot
En deux syllabes
En trois mots
Tout en pudeur, en retenue
Rêve d'un fou
Être la pour toi, nous
Vivre libre de toutes pressions
Endors toi mon ange doux rêves

 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
salutations,

nouveau gage
Bonjour
Je gage @Sir-destro
Je vous demanderai si vous voulez bien de réaliser 3 kits ( avatar+ signa)
pour trois personnes de votre choix ds le forum
avec pour seul exigence ces thèmes a abordés : la justice, la liberté, la pensée un présent ds chacune
Merci d'avance

soyez indulgent :):p

Justice

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@kyhd

Liberté

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@bourrikette

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@Lancelotlepreu

pensée

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@aragorn09
 
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