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prophetie

DeletedUser12179

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et cette chanson, que j'ad♥re, sur laquelle je l'ai graphée

 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
Que dire.... :oops::oops:
Juste trois points pour rester humble
Mais tu sais pourquoi ils sont là ;)
:oops::oops::oops:


Ce que j'aime à voir, ce que j'aime au monde,
Ce que j'aime à voir,
Veux-tu le savoir ?
Ce sont tes beaux yeux, c'est ta taille ronde,
Ce sont tes beaux yeux,
Tes yeux langoureux.

Ce que j'aime encore je vais te l'apprendre,
Ce que j'aime encore
Plus qu'aucun trésor,
Ce sont tes doux chants, c'est ta voix si tendre,
Ce sont tes doux chants,
Plaintifs et touchants.

Ce qui cause en moi la plus douce ivresse,
Ce qui cause en moi
Le plus tendre émoi,
C'est de voir ton cœur vibrer de tendresse,
C'est de voir ton cœur
Trembler de bonheur.

Enfin, si tu veux répondre à ma flamme,
Enfin si tu veux
Combler tous mes vœux,
Jusqu'au dernier jour garde-moi ton âme,
Jusqu'au dernier jour
Aime-moi d'amour

Fm du tertre
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
salutations,

pensée du jour

LE DROIT LE DEVOIR DE VIVRE

Il n'y aurait rien
Pas un insecte bourdonnant
Pas une feuille frissonnante
Pas un animal léchant ou hurlant
Rien de chaud rien de fleuri
Rien de givré rien de brillant rien d'odorant
Pas une ombre léchée par la fleur de l'été
Pas un arbre portant des fourrures de neige
Pas une joue fardée par un baiser joyeux
Pas une aile prudente ou hardie dans le vent
Pas un coin de chair fine pas un bras chantant
Rien de libre ni de gagner ni de gâcher
Ni de s'éparpiller ni de se réunir
Pour le bien pour le mal
Pas une nuit armée d'amour ou de repos
Pas une voix d'aplomb pas une bouche émue
Pas un sein dévoilé pas une main ouverte
Pas de misère et pas de satiété
Rien d'opaque rien de visible
Rien de lourd rien de léger
Rien de mortel rien d'éternel

Il y aurait un homme
N'importe quel homme
Moi ou un autre
Sinon il n'y aurait rien.

P. Eluard
 

DeletedUser12179

Jeté par le hasard sur un vieux globe infime,
A l'abandon, perdu comme en un océan,
Je surnage un moment et flotte à fleur d'abîme,
Épave du néant.

Et pourtant, c'est à moi, quand sur des mers sans rive
Un naufrage éternel semblait me menacer,
Qu'une voix a crié du fond de l'Être : « Arrive !
Je t'attends pour penser. »

L'Inconscience encor sur la nature entière
Étendait tristement son voile épais et lourd.
J'apparus ; aussitôt à travers la matière
L'Esprit se faisait jour.

Secouant ma torpeur et tout étonné d'être,
J'ai surmonté mon trouble et mon premier émoi.
Plongé dans le grand Tout, j'ai su m'y reconnaître ;
Je m'affirme et dis : « Moi ! »

Bien que la chair impure encor m'assujettisse,
Des aveugles instincts j'ai rompu le réseau ;
J'ai créé la Pudeur, j'ai conçu la Justice :
Mon cœur fut leur berceau.

Seul je m'enquiers des fins et je remonte aux causes.
À mes yeux l'univers n'est qu'un spectacle vain.
Dussé-je m'abuser, au mirage des choses
Je prête un sens divin.

Je défie à mon gré la mort et la souffrance.
Nature impitoyable, en vain tu me démens,
Je n'en crois que mes vœux et fais de l'espérance
Même avec mes tourments.

Pour combler le néant, ce gouffre vide et morne,
S'il suffit d'aspirer un instant, me voilà !
Fi de cet ici-bas ! Tout m'y cerne et m'y borne ;
Il me faut l'au-delà !

Je veux de l'éternel, moi qui suis l'éphémère.
Quand le réel me presse, impérieux, brutal,
Pour refuge au besoin n'ai-je pas la chimère
Qui s'appelle Idéal ?

Je puis avec orgueil, au sein des nuits profondes,
De l'éther étoilé contempler la splendeur.
Gardez votre infini, cieux lointains, vastes mondes.
J'ai le mien dans mon cœur !


L'homme.
Louise Ackermann.
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DeletedUser12179

prophétiePE.png

salutations,

pensée du jour

LE DROIT LE DEVOIR DE VIVRE

Il n'y aurait rien
Pas un insecte bourdonnant
Pas une feuille frissonnante
Pas un animal léchant ou hurlant
Rien de chaud rien de fleuri
Rien de givré rien de brillant rien d'odorant
Pas une ombre léchée par la fleur de l'été
Pas un arbre portant des fourrures de neige
Pas une joue fardée par un baiser joyeux
Pas une aile prudente ou hardie dans le vent
Pas un coin de chair fine pas un bras chantant
Rien de libre ni de gagner ni de gâcher
Ni de s'éparpiller ni de se réunir
Pour le bien pour le mal
Pas une nuit armée d'amour ou de repos
Pas une voix d'aplomb pas une bouche émue
Pas un sein dévoilé pas une main ouverte
Pas de misère et pas de satiété
Rien d'opaque rien de visible
Rien de lourd rien de léger
Rien de mortel rien d'éternel

Il y aurait un homme
N'importe quel homme
Moi ou un autre
Sinon il n'y aurait rien.

P. Eluard

*décompte gage : 102
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
salutations,
comme toujours que dire ...que tu ne sais déjà

pensées du jour


1,


et

2,
FACILE EST BIEN

Facile est beau sous tes paupières
Comme l'assemblée du plaisir
Danse et la suite
J'ai dit la fièvre
Le meilleur argument du feu
Que tu sois pâle et lumineuse
Mille attitudes profitables
Mille étreintes défaites
Répétées vont s'effaçant
Tu t'obscurcis tu te dévoiles
Un masque tu l'apprivoises
Il te ressemble vivement
Et tu n'en parais que mieux nue
Nue dans l'ombre et nue éblouie
Comme un ciel frissonnant d'éclairs
Tu te livres à toi-même
Pour te livrer aux autres.
Nous avons fait la nuit je tiens ta main je veille
Je te soutiens de toutes mes forces
Je grave sur un roc l'étoile de tes forces
Sillons profonds où la bonté de ton corps germera
Je me répète ta voix cachée ta voix publique
Je ris encore de l'orgueilleuse
Que tu traites comme une mendiante
Des fous que tu respectes des simples où tu te baignes
Et dans ma tête qui se met doucement d'accord avec
la tienne avec la nuit
Je m'émerveille de l'inconnue que tu deviens
Une inconnue semblable à toi semblable à tout ce
que j'aime
Qui est toujours nouveau.

P.Eluard
 
Dernière édition:

Sir-destro

Apprenti nécromancien
salutations,

pensées du jour

A une fleur:)


Que me veux-tu, chère fleurette,
Aimable et charmant souvenir ?
Demi-morte et demi-coquette,
Jusqu’à moi qui te fait venir ?

Sous ce cachet enveloppée,
Tu viens de faire un long chemin.
Qu’as-tu vu ? que t’a dit la main
Qui sur le buisson t’a coupée ?

N’es-tu qu’une herbe desséchée
Qui vient achever de mourir ?
Ou ton sein, prêt à refleurir,
Renferme-t-il une pensée ?

Ta fleur, hélas ! a la blancheur
De la désolante innocence ;
Mais de la craintive espérance
Ta feuille porte la couleur.

As-tu pour moi quelque message ?
Tu peux parler, je suis discret.
Ta verdure est-elle un secret ?
Ton parfum est-il un langage ?

S’il en est ainsi, parle bas,
Mystérieuse messagère ;
S’il n’en est rien, ne réponds pas ;
Dors sur mon coeur, fraîche et légère.

Je connais trop bien cette main,
Pleine de grâce et de caprice,
Qui d’un brin de fil souple et fin
A noué ton pâle calice.

Cette main-là, petite fleur,
Ni Phidias ni Praxitèle
N’en auraient pu trouver la soeur
Qu’en prenant Vénus pour modèle.

Elle est blanche, elle est douce et belle,
Franche, dit-on, et plus encor ;
A qui saurait s’emparer d’elle
Elle peut ouvrir un trésor.

Mais elle est sage, elle est sévère ;
Quelque mal pourrait m’arriver.
Fleurette, craignons sa colère.
Ne dis rien, laisse-moi rêver.

Alfred de Musset, Poésies nouvelles
 

DeletedUser12179

Vincent MARIE
La marionnette
Je suis la marionnette
Habillée d’arc-en-ciel ;
Qui tire sur la ficelle
Tire un coup dans ma tête !

Je suis le funambule
Oublié d’un orage
A deux pas d’un voyage
Où mes ailes se brûlent…

Je n’avais pourtant rien
D'un enfant de la balle,
Ni magie dans mes malles,
Ni hardes de vaurien…

Je suis la marionnette
Oubliée d’un exil
Qui a perdu le fil
De sa vie de tempête…

Je suis la marionnette
Habillée de tes rêves
Et quand le jour s’achève,
Je t’attends, toujours prête…

Je suis le funambule,
Sage comme une image,
J’espère en tes bagages
Que tu me manipules…

Démêle mes entraves
Et joue de mon destin
Car s’il n’en reste qu’un,
Je serai ton esclave !

Je suis la marionnette
Égarée d’un exil ;
Je me ferai docile
Pour quelques amourettes…
marionette.png

décompte gage : 208
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
salutations,

pensées du jour


juste pour que ce cette lecture soit plus agréable


si il y avait un diplôme de la connerie je serais surement le premier
je pensais avoir loupé le concours à force d'être dans les couloirs
certes pas pour la connerie juste par manque d' assiduité devenir con c'est inné ou pas
dépend si on l a dans les gênes ou pas mais qui interdit de le devenir?

sieur Destro,
En ce jour plein d’ennui,
À votre cerveau, sous votre front
Simplement je vous dédie

Ce poème pour les cons,
Cousins des imbéciles,
Et je vous demande pardon
Si je fais mal à votre nombril.

Tu es con et tu n’y peux rien
Car ton cerveau est vitrifié
Et c’est peut-être ta vie de chien
Qui a tout chamboulé.

Jeune con tu es,
Vieux con tu resteras
Et la solitude que tu hais
S’accrochera à toi.

Je ne connais point de remède
Pour vous les cons si nombreux,
Car votre bouche trop laide,
Peuplée de mots bourbeux,

Semble ne s’ouvrir qu’au fiel
Et non aux sourires orphelins
Qui volent vers d’autres ciels,
Loin de votre venin.

Je te salue, toi le con,
Au cerveau vide comme cénotaphe,
Lis ces mots si tu n’a pas le son,
Et colle-toi-les comme une agrafe !

Thierry Demercastel qu'il avait raison ....
 
Dernière édition:

DeletedUser12179

Apparition

Je vis un ange blanc qui passait sur ma tête ;
Son vol éblouissant apaisait la tempête,
Et faisait taire au loin la mer pleine de bruit.
- Qu'est-ce que tu viens faire, ange, dans cette nuit ?
Lui dis-je. - Il répondit : - je viens prendre ton âme. -
Et j'eus peur, car je vis que c'était une femme ;
Et je lui dis, tremblant et lui tendant les bras :
- Que me restera-t-il ? car tu t'envoleras. -
Il ne répondit pas ; le ciel que l'ombre assiège
S'éteignait ... - Si tu prends mon âme, m'écriai-je,
Où l'emporteras-tu ? montre-moi dans quel lieu.
Il se taisait toujours. - Ô passant du ciel bleu,
Es-tu la mort ? lui dis-je, ou bien es-tu la vie ? -
Et la nuit augmentait sur mon âme ravie,
Et l'ange devint noir, et dit : - Je suis l'amour.
Mais son front sombre était plus charmant que le jour,
Et je voyais, dans l'ombre où brillaient ses prunelles,
Les astres à travers les plumes de ses ailes.

Victor Hugo
 

DeletedUser12179

Pour ce jour si particulier, je tenais à te souhaiter un très bel anniversaire Mon Sir

Simplement nous rappeler, ce jour de janvier, sans frivolité

Invraisemblable, que ces quelques mots, d’une banale sincérité

Résonnent comme l’évidence, d’une romanesque réalité.

Désormais, chaque jour tend vers cette douce simplicité,

Eloquente démonstration, qui exprime avec une grande sûreté,

Sans concession, qu’elle est subtile et absolue vérité.

Tellement inconcevable à certains, qu’elle semble stupidité,

Respectons leur aveuglement, sans besoin de publicité,

Osons rester nous même, pour notre propre pérennité …

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Sir-destro

Apprenti nécromancien
Salutations,

Pensée du jour

A toi...
l'esprit se brouille parfois..


Nous voici aujourd'hui au bord du vide
Puisque nous cherchons partout le visage
que nous avons perdu.
Il était notre avenir et nous avons perdu notre avenir.
Il était des nôtres et nous avons perdu
cette part de nous-mêmes.
Il nous questionnait et nous avons perdu sa question.
Nous voici seuls, nos lèvres serrées sur nos pourquoi.
Nous sommes venus ici chercher,
chercher quelque chose ou quelqu'un.
Chercher cet amour plus fort que la mort.
Paul Eluard


Un être humain qui s'éteint, ce n'est pas un mortel qui finit.
C'est un immortel qui commence.
C'est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à côté des siens,
en attendant que j'aille l'y rejoindre,
je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt.
Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements,
ma certitude qu'il est impossible d'autant aimer un être et de le perdre pour toujours.
Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient,
mais ils sont toujours et partout où nous sommes.
Cela s'appelle d'un beau mot plein de poésie et de tendresse : le souvenir.
Doris Lussier
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
Salutations

Pensée du jour


Nous le savons tous: on recherche désespérément une personne qui nous aimera que l'on soit malade à en crever, séduisant et souriant, grincheux et défaitiste ou grognon au réveil.
Mais je ne veux pas vous parler d'amour car c'est un sujet que l'on complexifie bien souvent parce que l'on se protège.
Aujourd'hui, j'ai envie de rêver; de quitter mon lit un instant pour me retrouver à l'autre bout du monde. Je rêve de voyage et de grandes aventures comme celle d'Indiana Jones, une aventure dont je serais l’héro principal. Je partirais volontiers explorer ce monde bien loin du temps grisâtre de la Normandie qui assombrit cette journée automnale .
Vous me direz pourquoi complexifier quand on peut seulement simplifier ? Cela rendrait les choses plus faciles non ? Et une quête de l'amour ou de l'autre plus vivante! Passons!

Mais rêver... Me ramène à cela... quitter le moment présent, la monotonie du quotidien pour se représenter le temps d'un instant une chose que l'on veut ou que l'on aimerait atteindre..
Les voyages, une partie de ta vie entre rêve et réalité, 11 mois plus tard c'est toujours le cas
Je rêve de bien tant de choses, réalisable ou non... Là ce soir, dans un contexte particulier, à la vue d'échange avec une jeune femme intéressante et comme j'aime le dire, également solaire, 11mois plus tard, je rêverais de te rencontrer, vous savez une personne comme celle que je parle, il faut la rencontrer et saisir cette chance quand elle se présente. Cette femme me fais sourire, pleurer et j'aime sa culture littéraire, musicale et encore de nombreuses valeurs que seuls ceux qui prennent le temps de la connaître sans arrière pensées mesquines l'apprécieraient .
Donc oui je rêverais de rencontrer cette personne, dont le jour de son anniversaire m'est connu certes, mais que j'emmènerais bien sur la route avec une Yello Lady ma mémère comme j'aime dire pour ma caisse , vers la liberté et en quête de voyages de bonheur . Je rêve de pouvoir être présent pour elle. Je rêve que chacun puisse avoir la chance de découvrir une personne aussi humble et chaleureuse avec cette joie de vivre!
Je rêve déjà de ce futur proche, de ce moment attendu..en toute simplicité... Cette évidence..
 

Sir-destro

Apprenti nécromancien
salutations,
il est vrai cette plume paresse ...

pensée du jour

Je regarde pars la fenêtre

Ces gouttes de pluie,ces fines gouttes
ressemblant à ces larmes du ciel que seul un azur triste
ou à un ange plein de peine peuvent décorer nos jardins d'automne
serais ce donc toi? mon ange..
ces larmes de tes yeux depuis là haut,ces montagnes aux sommets éternels
ou ta colère sur la folie des hommes de plus en plus souvent solitaires avides du paraître
je ne sais que dire
mes pensées deviennent mélancoliques se brouillent
dois-je retenir mes larmes?
voudrais tu seulement être accompagnée...
Pourtant tu es si légère et pure,
tu as touché mon esprit, mon visage de cette tendre caresse
Réchauffé mon cœur
Alors mêle-toi à mon sang pour enfin oublier ces guerres,cette misère

Plus de solitude et ces autres sentiments amers
Pour qu'enfin finisse tant de tristesse..

La pluie a cessé

Encore aujourd'hui tes rires me sont parvenus,allez savoir pourquoi
surement ces doux rêves,cette sensation de présence au quotidien
Ma mélancolie s'estompe...

Lors de mes promenades,lectures apaisantes
Que j'aimerais être assis dans les parages là haut
Que tu sois calme ou déchaînée, il me reste un câlin dans mes mains
ces quelques gouttes salées !! enchantant toujours mon esprit
Quelle émotion et quel bonheur
Tu as enchanté ma vie et mes sens
même si nos rêves sont inachevés

Je traversais, heureux, ces moments.



 
Dernière édition:

Sir-destro

Apprenti nécromancien
Salutations,

Pensée du jour

La déception est si grande
Mon aventure Forumystique s'arrête ici
Juger sans connaître les personnes
Juger alors que ce cap de la puberté n'est même pas franchi
Juger lorsqu'on à l'âge de raison juste pour paraître intéressant sur un virtuel être ce nombril qui finalement apporte quoi cette satisfaction d'être crédible ?
Oui moi aussi je juge certainement sans connaître tous les sujets les sous entendus, les non dis
Sauf que Je ne supporte pas l'injustice
Alors oui défendre quelqu'un d'attaqué, décrié j'en ai fait mon parti j'ai choisi
Mon égoïsme est tellement grand que j'en ai oublié les mécréants qui s'acharnent,mon égoïsme n'as de parti pris que pour le plus faible celui qu'on critique aisément dans le dos et à qui on fait des croupettes devant juste pour un paraître
J'ai honte de défendre ce genre de personne pour qui je donnerais ma chemise qui reste simple sans sous entendus néfaste
J'ai honte de voir ce monde ce déglingué ce monde qui finalement ne me correspond pas être mystérieux, franc dérange qu'il en soit ainsi
L'abbé Destro aurait dû se contenter d'étendre son linge
J'aurais du pourtant retenir cette leçon un siècle plus tôt
Mon grimoire se referme, Ronae retournons en notre taverne.....
Surtout soyez heureux
Restez vous même si cela dérange
 
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