DeletedUser199
Bonjour/Bonsoir à tous.
Je m'essaye depuis peu aux joies de l'écriture et je viens donc recueillir vos avis négatifs/positifs sur ce début d'histoire sans prétentions.
Argumentez, si vous avez le temps, de manière constructive pour que je m'améliore pour la suite, je ne suis malheureusement pas écrivain!
Je m'excuse par avance pour les éventuelles fautes d'orthographe.
J'essaierai de mettre la suite demain si j'y pense pour ceux que ça intéresse, à bientôt!
Je m'essaye depuis peu aux joies de l'écriture et je viens donc recueillir vos avis négatifs/positifs sur ce début d'histoire sans prétentions.
Argumentez, si vous avez le temps, de manière constructive pour que je m'améliore pour la suite, je ne suis malheureusement pas écrivain!
Je m'excuse par avance pour les éventuelles fautes d'orthographe.
La Peur, étais-je condamné à l'affronter et à la subir jusqu'à la fin? La Peur, devais-je m'en nourrir pour survivre? Ou devrais-je plutôt dire que la Peur se nourrissait de moi pour grandir... Quelle importance maintenant de toute façon, la Peur m'a vaincue, terrassée, humiliée. Mon nom est désormais honni de par le monde.
Que va-t-il arriver à mon peuple maintenant que je suis sur le point de disparaître? J'étais partout, je me retrouve nulle part. Ah, si... cet endroit... effrayant... dans lequel nul être vivant souhaiterait se trouver. Puis-je toutefois me qualifier d'être vivant? La Peur, elle m'a avalée, consumée. Pourtant, je vis en elle, tout comme elle vivait en moi. Quelle fin absurde, condamné à subsister dans ce sentiment pour n'avoir pas su lui survivre... Cocasse n'est-ce pas? Je vais m'endormir. Et un jour... me réincarner? Oui, vivre à travers autrui... pour survivre.
L'équilibre est maintenant rompu, ce monde court à sa perte. Est-ce ma faute? Sans doutes... Oui, c'est moi qui vais être la cause de la destruction des peuples qui le composent.
Mon Champion, infaillible? Non, plus maintenant... Mort. Tout comme sa lignée. Je n'ai pas su les protéger. Ils portaient mon nom, ma bénédiction... et ils sont mort. J'ai laissé la Peur s'insinuer en chacun d'entre eux. Ils se sont entre-tués. Aurai-je du prévoir cette éventualité? Oui, j'aurais dû. Où étais-je lorsque mon Champion se mit à massacrer sa famille et mon peuple? Aveugle, négligeant, trop heureux de m'aimer et de me complaire dans cette partie du monde, de me baigner dans les moments intimes et joyeux de la vie du peuple dont mon Champion était le gardien plutôt que d'empêcher les graines de la Peur de germer dans leurs coeurs. De doux souvenirs, de doux moments... Mon peuple... Non, plus maintenant. Le peuple de la Peur?
Ma conscience... se volatilise? Je... m'endors? Mais au fait, qui étais-je? Je... J'oublie. Ce sentiment, c'est... ai-je... peur?
Que va-t-il arriver à mon peuple maintenant que je suis sur le point de disparaître? J'étais partout, je me retrouve nulle part. Ah, si... cet endroit... effrayant... dans lequel nul être vivant souhaiterait se trouver. Puis-je toutefois me qualifier d'être vivant? La Peur, elle m'a avalée, consumée. Pourtant, je vis en elle, tout comme elle vivait en moi. Quelle fin absurde, condamné à subsister dans ce sentiment pour n'avoir pas su lui survivre... Cocasse n'est-ce pas? Je vais m'endormir. Et un jour... me réincarner? Oui, vivre à travers autrui... pour survivre.
L'équilibre est maintenant rompu, ce monde court à sa perte. Est-ce ma faute? Sans doutes... Oui, c'est moi qui vais être la cause de la destruction des peuples qui le composent.
Mon Champion, infaillible? Non, plus maintenant... Mort. Tout comme sa lignée. Je n'ai pas su les protéger. Ils portaient mon nom, ma bénédiction... et ils sont mort. J'ai laissé la Peur s'insinuer en chacun d'entre eux. Ils se sont entre-tués. Aurai-je du prévoir cette éventualité? Oui, j'aurais dû. Où étais-je lorsque mon Champion se mit à massacrer sa famille et mon peuple? Aveugle, négligeant, trop heureux de m'aimer et de me complaire dans cette partie du monde, de me baigner dans les moments intimes et joyeux de la vie du peuple dont mon Champion était le gardien plutôt que d'empêcher les graines de la Peur de germer dans leurs coeurs. De doux souvenirs, de doux moments... Mon peuple... Non, plus maintenant. Le peuple de la Peur?
Ma conscience... se volatilise? Je... m'endors? Mais au fait, qui étais-je? Je... J'oublie. Ce sentiment, c'est... ai-je... peur?
J'essaierai de mettre la suite demain si j'y pense pour ceux que ça intéresse, à bientôt!