DeletedUser
Recueil de poèmes et de récits.
Tu as voulu prendre le train !
Destination demain
C'est pas comme ci, c'est pas comme ça
Le monde tourne rond.
Le monde tourne en rond.
L'on finira à la même adresse
Par une simple maladresse
Tu verras l'on finit tous au même endroit
Même si tu aboies, bien que tu sois droit.
Le temps nous attrape tous
De son plus beau plumard.
Peu importe, il te trouvera partout.
Tu te rappelleras tes plus beaux cauchemars.
Cette nuit là, c'était l'ennuie.
J'avais presque perdu patience
Loin de mes croyances entendus
Des gouttelettes sur nos peaux
Une pluie de propos
Sans queue ni tête
Petit, tu sèmes le temps
Sur ton chemin qui ne t'attend pas.
C'est pas comme ci, c'est pas comme ça
Le monde tourne rond.
Le monde tourne en rond.
Viens je t'emmène sur les étoiles
On y marchera, on y écrira nos plus belles histoires.
Si il n'est pas trop tard, rien ne te retiens
Si tu t'en donnes les moyens
Nous pourrions faire tomber la lune.
Franchir les dunes.
Pour oublier, pour oublier...
Nos mauvais songes.
C'est pas si facile, mais je crois en toi !
Du moins quelquefois...
Je t'en prie, ne prend pas le train maintenant
Il n'y aurait plus impertinent...
Nous finirons au même endroit
Dans quelques années, laisse toi le temps...
Tu y seras sûrement à l'heure.
Laisse toi aller, c'est pas si facile...
Le monde tourne rond.
Le monde tourne en rond.
Ne t'y abandonne pas, ne la laisse pas te prendre.
Cette ombre qui nous attend tous
Destination, destination demain !
Destination demain
C'est pas comme ci, c'est pas comme ça
Le monde tourne rond.
Le monde tourne en rond.
L'on finira à la même adresse
Par une simple maladresse
Tu verras l'on finit tous au même endroit
Même si tu aboies, bien que tu sois droit.
Le temps nous attrape tous
De son plus beau plumard.
Peu importe, il te trouvera partout.
Tu te rappelleras tes plus beaux cauchemars.
Cette nuit là, c'était l'ennuie.
J'avais presque perdu patience
Loin de mes croyances entendus
Des gouttelettes sur nos peaux
Une pluie de propos
Sans queue ni tête
Petit, tu sèmes le temps
Sur ton chemin qui ne t'attend pas.
C'est pas comme ci, c'est pas comme ça
Le monde tourne rond.
Le monde tourne en rond.
Viens je t'emmène sur les étoiles
On y marchera, on y écrira nos plus belles histoires.
Si il n'est pas trop tard, rien ne te retiens
Si tu t'en donnes les moyens
Nous pourrions faire tomber la lune.
Franchir les dunes.
Pour oublier, pour oublier...
Nos mauvais songes.
C'est pas si facile, mais je crois en toi !
Du moins quelquefois...
Je t'en prie, ne prend pas le train maintenant
Il n'y aurait plus impertinent...
Nous finirons au même endroit
Dans quelques années, laisse toi le temps...
Tu y seras sûrement à l'heure.
Laisse toi aller, c'est pas si facile...
Le monde tourne rond.
Le monde tourne en rond.
Ne t'y abandonne pas, ne la laisse pas te prendre.
Cette ombre qui nous attend tous
Destination, destination demain !
Qui sommes-nous ?
L'hiver s'efface
On se regarde en face
Sur les quais du monde.
A écrire pour sourire
D'une peine trop profonde
Pendant que je me vois vieillir.
Chaque jour encore plus
Que le temps soit exclu.
Corps à corps, sans accord...
Ma vie se ravi pendant qu'elle s'efface
Tout comme l'hiver se frottant à ma peau
Écrasant nos idéaux
L'on s'invente des croyances
Pour vendre et revendre la bienveillance
Mais quand on se retourne...
On se regarde en face
Loin de nos angoisses
Qu'elles ne restent pas là !
Je les attendrais en l'au-delà
••
Or, il n'en est rien
Même pour le plus petit comédien
Il le sait !
Les apparences sont nos plus beaux rêves
La réalité, notre plus grand regret
Qu'est ce qu'on aimerait rien qu'une trêve
Pour écrire des souvenirs à la craie
Brûlant au moindre souffle
Personne n'y échappera
Si je disparais, j'aimerai me dire
Qu'il n'y a rien qui me retiens
Au quotidien les larmes de chacun
Un engrenage sans souries coquins
Alors viens !
On se mêle à la foule
Jusqu'à ce que l'on se retourne
Qu'on oublie nos faux semblants
Nos faux visages, nos masques
Qui font de nous les esclaves
D'une pièce de théâtre sans fin
Notre seul enclave
L'odeur de ton parfum
Suffira-elle a nous faire oublier...
Qui nous sommes ?
L'hiver s'efface
On se regarde en face
Sur les quais du monde.
A écrire pour sourire
D'une peine trop profonde
Pendant que je me vois vieillir.
Chaque jour encore plus
Que le temps soit exclu.
Corps à corps, sans accord...
Ma vie se ravi pendant qu'elle s'efface
Tout comme l'hiver se frottant à ma peau
Écrasant nos idéaux
L'on s'invente des croyances
Pour vendre et revendre la bienveillance
Mais quand on se retourne...
On se regarde en face
Loin de nos angoisses
Qu'elles ne restent pas là !
Je les attendrais en l'au-delà
••
Or, il n'en est rien
Même pour le plus petit comédien
Il le sait !
Les apparences sont nos plus beaux rêves
La réalité, notre plus grand regret
Qu'est ce qu'on aimerait rien qu'une trêve
Pour écrire des souvenirs à la craie
Brûlant au moindre souffle
Personne n'y échappera
Si je disparais, j'aimerai me dire
Qu'il n'y a rien qui me retiens
Au quotidien les larmes de chacun
Un engrenage sans souries coquins
Alors viens !
On se mêle à la foule
Jusqu'à ce que l'on se retourne
Qu'on oublie nos faux semblants
Nos faux visages, nos masques
Qui font de nous les esclaves
D'une pièce de théâtre sans fin
Notre seul enclave
L'odeur de ton parfum
Suffira-elle a nous faire oublier...
Qui nous sommes ?
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