Chiigo
Esprit de la Canopée
Bonjour
J'espère que vous prendrez autant de plaisir que moi en découvrant les oeuvres de nos artistes.
Vous pouvez voter pour vos 2 textes préférés. Vous aurez 7 jours pour faire votre choix.
Vous pouvez en discuter ici.
Bon vote !
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= La tribu des sorcières ermites =
Il y a longtemps, dans une société humaine oubliée alors décadente, un groupe de femmes, rejetant la domination patriarcale, s'est réfugié dans une profonde forêt. Las de l'inversion des valeurs de bien, des artifices qu'elles connaissaient dans cette société antique, elles étaient prises d'une volonté de retour à la nature. Elles oeuvrèrent, et œuvrent encore, à la construction d'une société pacifique, douce, et régénératrice. Mues par le feu de l'injustice que le patriarcat avait fait naître en elles, elles atteignirent l'apogée de leur civilisation peu après, innovant dans une communion avec la nature et le génie humain, ou plutôt humaine, et surent former les esprits de la nature selon leur imagination, apportant une vague régénératrice soignant les terres abusées, surexploitées de cette civilisation mourante. Et alors que celle ci s'éteignit, tout souvenir de cette communauté de femmes disparut avec elle.
Ces sorcières, comme elles s'appelaient elles-mêmes, obtinrent de leur savoir faire avec les esprits de la nature la parthénogénèse, la capacité d'enfanter sans mâles, et devinrent ainsi une civilisation florissante, prospérant loin des yeux de tous, dans un espace à cheval entre le monde réel et le monde des esprits. Elles vivent sans besoin de domination, d'expansion, de multiplication: aussi leur civilisation est centrée en une unique grande ville sylvestre, dans cet entre deux mondes, et bien que n'ayant jamais reproduit le miracle régénératif de leurs fondatrices, elles vivent en harmonie avec elles-mêmes et toute chose vivante.
= Intégration au gameplay: =
Une de nos chercheuses, lors d'un travail innovant de recherche d'harmonie dans les plans d'existence, est tombée sur cet entre-deux monde et a pris contact. Les sorcières voient notre civilisation d'un œil favorable, loin de la corruption de leur légendes, et elles sont prêtes à nous enseigner les arts de la nature - s'assurant ainsi que jamais notre mère nature ne soit oubliée, spoliée dans les développements futurs de votre société. Pour cela, elle nous apprendront à créer un cercle de recueil, dans lequel chaque nuit iront se recueillir les esprits de la nature, jusqu'à la capacité du cercle.
Au matin, ces esprits peuvent être collectés et formés en diverses natures ; ils peuvent notamment être utilisés pour créer la légendaire graine de l'arbre de la vie, dont, selon la légende, le fruit même est cette vague régénératrice. Les esprits collectés peuvent aussi être formés pour nourrir la graine, puis l'arbre, pour accélérer sa croissance, et lui fournir toute la force pour la régénération à venir: pour cela il faut lui fournir suffisamment de ces esprits transformés en force de vie en un temps donné (journée), et toute force de vie additionnelle dans la fenêtre de temps donnée accélère d'autant la croissance de l'arbre. Plus l'arbre grandit et plus il peut accueillir d'esprits !
Il y a longtemps, dans une société humaine oubliée alors décadente, un groupe de femmes, rejetant la domination patriarcale, s'est réfugié dans une profonde forêt. Las de l'inversion des valeurs de bien, des artifices qu'elles connaissaient dans cette société antique, elles étaient prises d'une volonté de retour à la nature. Elles oeuvrèrent, et œuvrent encore, à la construction d'une société pacifique, douce, et régénératrice. Mues par le feu de l'injustice que le patriarcat avait fait naître en elles, elles atteignirent l'apogée de leur civilisation peu après, innovant dans une communion avec la nature et le génie humain, ou plutôt humaine, et surent former les esprits de la nature selon leur imagination, apportant une vague régénératrice soignant les terres abusées, surexploitées de cette civilisation mourante. Et alors que celle ci s'éteignit, tout souvenir de cette communauté de femmes disparut avec elle.
Ces sorcières, comme elles s'appelaient elles-mêmes, obtinrent de leur savoir faire avec les esprits de la nature la parthénogénèse, la capacité d'enfanter sans mâles, et devinrent ainsi une civilisation florissante, prospérant loin des yeux de tous, dans un espace à cheval entre le monde réel et le monde des esprits. Elles vivent sans besoin de domination, d'expansion, de multiplication: aussi leur civilisation est centrée en une unique grande ville sylvestre, dans cet entre deux mondes, et bien que n'ayant jamais reproduit le miracle régénératif de leurs fondatrices, elles vivent en harmonie avec elles-mêmes et toute chose vivante.
= Intégration au gameplay: =
Une de nos chercheuses, lors d'un travail innovant de recherche d'harmonie dans les plans d'existence, est tombée sur cet entre-deux monde et a pris contact. Les sorcières voient notre civilisation d'un œil favorable, loin de la corruption de leur légendes, et elles sont prêtes à nous enseigner les arts de la nature - s'assurant ainsi que jamais notre mère nature ne soit oubliée, spoliée dans les développements futurs de votre société. Pour cela, elle nous apprendront à créer un cercle de recueil, dans lequel chaque nuit iront se recueillir les esprits de la nature, jusqu'à la capacité du cercle.
Au matin, ces esprits peuvent être collectés et formés en diverses natures ; ils peuvent notamment être utilisés pour créer la légendaire graine de l'arbre de la vie, dont, selon la légende, le fruit même est cette vague régénératrice. Les esprits collectés peuvent aussi être formés pour nourrir la graine, puis l'arbre, pour accélérer sa croissance, et lui fournir toute la force pour la régénération à venir: pour cela il faut lui fournir suffisamment de ces esprits transformés en force de vie en un temps donné (journée), et toute force de vie additionnelle dans la fenêtre de temps donnée accélère d'autant la croissance de l'arbre. Plus l'arbre grandit et plus il peut accueillir d'esprits !
J‘imagine la nouvelle race invitée sous l'eau qui ressemblerait à des sirènes. Elles auraient tout une ville dans les fonds marins et leur tâche serait de préserver la faune et la flore océanique. Elles auraient à volonté le choix de marcher dans les fonds ou de nager sur la surface pour distribuer aux fées de la terre leurs minéraux pour une terre plus prolifiques et les orcs pour transporter les vitamines sous les montagne. elles seraient aider des hippocampes pour se déplacer et des poissons pour les transports, le nettoyage des marchandises utiles à la fabrication les baleines pour les transmissions et les requins po le service d’ordre. Leur ville serait bâtie en corail très colorée, des champs de cultures d’algues aux formes et couleurs différentes pour la production de minéraux et vitamine, les travailleurs des champs des crevettes des crabes et des homard. Voilà j’imagine une race invitée aquatique.
Nous approchons d’une énorme cité, j’ai entendu les éclaireurs de mon père faire leurs rapports. Une grande fête s’organise en notre honneur paraît-il !
Enfin !
Suis heureuse de me poser après tant de journées passées sur les routes et chemins, curieuse aussi de découvrir toutes les beautés et richesses des lieux. Tout semble si différent de nos contrées nordiques, froides et brumeuses.
Encore un campement à installer, une nuit à patienter…
C’est vrai, nous ne nous connaissons pas, mon petit nom est Mist, la plus jeune des 12 filles du dieu des guerriers, le grand Odin. Un magicien respecté aussi, tout comme notre mère, la douce Frigg.
Des filles qui sont également les servantes de leur auguste père, depuis la nuit des temps.
Nous survolons inlassablement les champs de bataille pour lui, choisissant les hommes appelés à mourir. Et guidons les plus méritants vers son immense forteresse, le Walhalla.
Eh oui, nos journées sont composées de fureur et de sang, les mauvaises langues nous traitent de femmes cruelles, épouvantables Walkyries aux armures éblouissantes, montées sur de féroces loups.
Et pourtant, je suis différente de certaines de mes sœurs qui, sans pitié pour quiconque, tissent sur une immense toile le déroulement des combats.
J’aimerais tellement qu’un soldat, un jour, ne lève pas les yeux vers nous, aveuglé par notre beauté… ainsi il aurait la vie sauve…
Le soir venu, il n’est pas question de repos.
Après avoir revêtu de longues tuniques fluides et coiffé nos blondes chevelures, nous voici toutes à veiller au bon déroulement du festin qu’Odin offre aux combattants élus, en leur servant pièces de viande et hydromel à profusion.
Vous en conviendrez, ma vie est bien morose !
Heureusement toute occasion est bonne à prendre pour m’évader. Cette halte d’aujourd’hui est une bénédiction qui va me permettre de renouer avec une sensibilité mise à mal trop souvent.
Trouver un coin tranquille afin de me poser, dérouler un précieux parchemin, tailler une fine plume, mélanger des pigments et enfin emplir mes yeux, mon être de calme, de nature, de concentration aussi afin de reproduire le paysage alentour au gré de mon inspiration.
M’éclipser du campement n’a guère été un problème, j’ai appris d’un simple regard à soumettre la plus rude des sentinelles. Quelques heures volées valent bien un éventuel reproche parental. Un peu de marche dans un sous-bois et me voici installée aux abords d’une prairie ensoleillée.
Mes pensées volent vers mon enfance accompagnée d’une elfe nourrice merveilleuse et tandis que mon parchemin se couvre de couleurs délicates, je récite de mémoire les poèmes qu’elle m’enseignait, je la revoie m’apprendre la danse au rythme d’un joyeux tambourin qu’elle maniait avec dextérité… que de beaux souvenirs loin du fracas des armes… me voici agréablement nostalgique tout à coup !
C’est elle aussi qui m’avait offert le don de me transformer en cygne, de voler, de savourer la baignade dans l’eau fraiche des rivières… et d’approcher des mortels, de les observer dans leurs tâches quotidiennes comme dans leurs moments de repos.
Plus d’une fois je me suis demandé à quoi ressemblerait ma vie si j’étais l’une d’entre eux…
Bien plus tard, rentrée sans bruit à la faveur d’une nuit complice, mon sommeil tarde cependant à venir malgré le plaisir procuré par ma belle escapade. En cause mon inquiétude de ces derniers jours, revenue en force. Accentuée par le souvenir du sourire triste de ma chère mère lors de notre conversation matinale.
Quelles sont donc les intentions de mon père ? Pourquoi se lancer dans ce long voyage avec ses troupes d’élite ? Et puis j’ai bien vu l’entraînement poussé auquel s’adonnaient quotidiennement mes grandes sœurs, le soin porté à l’entretien de leurs armes et armures…
Inutile de me voiler la face plus longtemps, ces citoyens si heureux de nous accueillir vivent leurs derniers instants de quiétude, j’en ai bien peur.
Mais que puis-je y faire ? Revêtir ma peau de cygne, quitter le campement et les prévenir du danger ? Et donc trahir mon père ?
Un premier son de cor retentit, interrompant le fil de mes sombres réflexions.
Déjà l’aube !
Je sais d’instinct qu’il est grand temps de me préparer afin de rejoindre mes sœurs pour une nouvelle chevauchée meurtrière…
Enfin !
Suis heureuse de me poser après tant de journées passées sur les routes et chemins, curieuse aussi de découvrir toutes les beautés et richesses des lieux. Tout semble si différent de nos contrées nordiques, froides et brumeuses.
Encore un campement à installer, une nuit à patienter…
C’est vrai, nous ne nous connaissons pas, mon petit nom est Mist, la plus jeune des 12 filles du dieu des guerriers, le grand Odin. Un magicien respecté aussi, tout comme notre mère, la douce Frigg.
Des filles qui sont également les servantes de leur auguste père, depuis la nuit des temps.
Nous survolons inlassablement les champs de bataille pour lui, choisissant les hommes appelés à mourir. Et guidons les plus méritants vers son immense forteresse, le Walhalla.
Eh oui, nos journées sont composées de fureur et de sang, les mauvaises langues nous traitent de femmes cruelles, épouvantables Walkyries aux armures éblouissantes, montées sur de féroces loups.
Et pourtant, je suis différente de certaines de mes sœurs qui, sans pitié pour quiconque, tissent sur une immense toile le déroulement des combats.
J’aimerais tellement qu’un soldat, un jour, ne lève pas les yeux vers nous, aveuglé par notre beauté… ainsi il aurait la vie sauve…
Le soir venu, il n’est pas question de repos.
Après avoir revêtu de longues tuniques fluides et coiffé nos blondes chevelures, nous voici toutes à veiller au bon déroulement du festin qu’Odin offre aux combattants élus, en leur servant pièces de viande et hydromel à profusion.
Vous en conviendrez, ma vie est bien morose !
Heureusement toute occasion est bonne à prendre pour m’évader. Cette halte d’aujourd’hui est une bénédiction qui va me permettre de renouer avec une sensibilité mise à mal trop souvent.
Trouver un coin tranquille afin de me poser, dérouler un précieux parchemin, tailler une fine plume, mélanger des pigments et enfin emplir mes yeux, mon être de calme, de nature, de concentration aussi afin de reproduire le paysage alentour au gré de mon inspiration.
M’éclipser du campement n’a guère été un problème, j’ai appris d’un simple regard à soumettre la plus rude des sentinelles. Quelques heures volées valent bien un éventuel reproche parental. Un peu de marche dans un sous-bois et me voici installée aux abords d’une prairie ensoleillée.
Mes pensées volent vers mon enfance accompagnée d’une elfe nourrice merveilleuse et tandis que mon parchemin se couvre de couleurs délicates, je récite de mémoire les poèmes qu’elle m’enseignait, je la revoie m’apprendre la danse au rythme d’un joyeux tambourin qu’elle maniait avec dextérité… que de beaux souvenirs loin du fracas des armes… me voici agréablement nostalgique tout à coup !
C’est elle aussi qui m’avait offert le don de me transformer en cygne, de voler, de savourer la baignade dans l’eau fraiche des rivières… et d’approcher des mortels, de les observer dans leurs tâches quotidiennes comme dans leurs moments de repos.
Plus d’une fois je me suis demandé à quoi ressemblerait ma vie si j’étais l’une d’entre eux…
Bien plus tard, rentrée sans bruit à la faveur d’une nuit complice, mon sommeil tarde cependant à venir malgré le plaisir procuré par ma belle escapade. En cause mon inquiétude de ces derniers jours, revenue en force. Accentuée par le souvenir du sourire triste de ma chère mère lors de notre conversation matinale.
Quelles sont donc les intentions de mon père ? Pourquoi se lancer dans ce long voyage avec ses troupes d’élite ? Et puis j’ai bien vu l’entraînement poussé auquel s’adonnaient quotidiennement mes grandes sœurs, le soin porté à l’entretien de leurs armes et armures…
Inutile de me voiler la face plus longtemps, ces citoyens si heureux de nous accueillir vivent leurs derniers instants de quiétude, j’en ai bien peur.
Mais que puis-je y faire ? Revêtir ma peau de cygne, quitter le campement et les prévenir du danger ? Et donc trahir mon père ?
Un premier son de cor retentit, interrompant le fil de mes sombres réflexions.
Déjà l’aube !
Je sais d’instinct qu’il est grand temps de me préparer afin de rejoindre mes sœurs pour une nouvelle chevauchée meurtrière…
Les Bi_êtres
Le grand spirite erre parmi les décombres de la ville morte.
Le ciel est opaque et sombre, une lueur diffuse suffit à peine à distinguer les alentours.
Les tours aériennes aux formes gracieuses et aux couleurs lumineuses ne sont plus que tas informes recouverts de poussière grise. Les voies de transport autrefois emplies de fluides opalescents sont devenus des courants de boue épaisse charriant des gravats .
Mais le pire n'est pas cet univers morne et triste, le pire est l'absence de vie autour de lui, et en lui.
Quelques essences sans âme flottent au milieu des ruines. Le grand Spirite ferme son esprit pour ne pas les voir. Certains étaient autrefois ses amis... Depuis la catastrophe et la disparition des Frêles ils ont perdu peu à peu leur conscience. Ils sont de moins en moins nombreux et ne survivront plus très longtemps.
Le grand Spirite avait été lié au plus puissant des Frêles, au meilleur d'entre eux, le roi Farel. Lorsque leurs astrophysiciens avaient annoncé qu'une météorite géante allait frapper leur monde et rendre l'atmosphère irrespirable , les dirigeants s'étaient unis pour protéger à tout prix l'hôpital des enfants avec ses réserves d'oxygène.
Les vingt plus puissants Bi_êtres avaient accumulé autant de biens indispensables à la survie des petits Frêles et créé un dôme au-dessus de l'édifice . Puis concentré toute leur puissance mentale pour le soutenir au moment de l'impact . Pendant des heures ils avaient résisté sous les avalanches de poussière et de rocs. Petit à petit tous les Frêles adultes s'étaient éteints mais le dôme avait tenu. Seuls les spirites avaient survécu, ainsi que les quelques jeunes Frêles , sauvés dans leurs couveuses ou leurs bulles d'oxygène.
Les Spirites étaient toujours là mais sans leurs âmes soeurs, ils n'étaient plus que l'ombre d'eux mêmes . Bientôt ils ne seraient plus rien. Les Spirites adultes ne pouvaient pas se lier avec des Frêles immatures. Et leur deuil était si profond que peu d'entre eux étaient encore capables d'envisager un avenir. Il n'y avait plus un seul Bi-être survivant.
Mais le grand Spirite avait juré, juré à son autre soi-même, au roi Farel, qu'il lutterait jusqu'au bout pour sauver leur peuple, leur race unique et magnifique de Bi_êtres.
Se déplaçant une dernière fois dans la ville dévastée il se rappelle ce qu'il a appris de l'Histoire de sa race.
Sur leur jeune monde au brillant soleil, à l'origine erraient des créatures éthérée sans nom et sans conscience mais dotées d'étranges pouvoirs de création et de métamorphose, puis la vie était apparue il y a quelques millions d'années, et parmi les êtres évolués étaient nés les Frêles. Ces humanoïdes dotés d'une empathie profonde avaient progressivement apprivoisé les spirites sauvages et petit à petit des êtres fusionnels s'étaient formés, les Bi_êtres. Ils étaient devenus la race dominante de Solaria.
Les Frêles étaient des êtres fins et gracieux, hauts de deux mètres environ à l'age adulte. Leurs visages dans le prolongement de leur corps leur donnait l'aspect de longues tiges souples, de diverses nuances allant du vert pâle( le plus courant) jusqu'à un bleu turquoise, et dotées de grands yeux sombres. Ils avaient de longs bras dotés de mains préhensiles, mais pas de membres inférieurs. Pour se déplacer ils flottaient légèrement au-dessus du sol et étaient capables de nager en faisant onduler leur corps.
A l'adolescence, chaque Frêle se liait avec un spirite . C'était un choix mutellement consenti, par une sorte d'instinct , mais le spirite n'avait au départ qu'une conscience très vague et evanescente. Ses pouvoirs étaient incontrôlés. Progressivement , le Frêle éveillait son compagnon Spirite, jusqu'à l'âge adulte où de leur fusion naissait un Bi_être. Cette fusion était mentale et émotionnelle, mais leurs "corps" restaient séparés : le corps biologique du Frêle , et le corps éthéré du spirite. Le lien durait toute la vie du Frêle.
Selon les capacités du spirite, le Bi_être pouvait être doté du pouvoir de façonnage, il transformait la matière pour créer des objets, de la nourriture où même des édifices.
D'autres étaient dotés du pouvoir de terraformation, ils créaient les canaux de transport, modifiaient les paysages pour l'implantation des villes et villages.
Certains pratiquaient la biocréation, faisant pousser la végétation .
Il y avait également les rêveurs, artistes qui créaient la beauté autour d'eux.
Et enfin les planificateurs et les forgeliens, qui dirigeaient le monde, tout simplement parce que c'est ce qu'ils faisaient le mieux.
Le grand Spirite et le roi Farel avaient constitué un Forgelien , le plus grand des empathes. Leur Bi_être avait fait régner l'harmonie sur le monde, jusqu'au dernier instant.
Et grâce à lui/eux subsistait aujourd'hui leur dernier espoir de survie.
Le grand Spirite avait réussi à surmonter sont immense douleur et soutenu ses plus proches compagnons pour qu'ils ne sombrent pas dans le néant. Parmi eux trois télépathes avaient projeté leurs esprits vers d'autres mondes afin de trouver celui où ils pourraient transporter les petits Frêles avant que ne s'épuisent les réserves d'oxygène.
Ils avaient découvert Elvenar . Ce monde magique où les humains et les elfes semblaient vivre en harmonie, qui avait su accueillir avec générosité des races si diverses .
Là-bas quelques uns d'entre eux seraient peut-être capables de surmonter leur deuil et tenter de forger des liens avec un elfe ou un humain volontaire. Ce serait difficile, peut-être impossible. Ils créeraient une nouvelle race d'êtres fusionnels. Mais ils enverraient également autant qu'ils pourraient de couveuses et de bulles contenant les petits Frêles, sauvés sous le dôme de l'hopital, en espérant que les elvenariens pourraient les maintenir en vie et leur permettre de grandir et de devenir forts. Parmi eux le fils du roi Farel, né prématurément quelques semaines avant le cataclysme. Ils enverraient également des petits spirites sauvages . Et un jour des Bi_êtres renaitraient.
Le grand Spirite l'avait juré.
Le grand spirite erre parmi les décombres de la ville morte.
Le ciel est opaque et sombre, une lueur diffuse suffit à peine à distinguer les alentours.
Les tours aériennes aux formes gracieuses et aux couleurs lumineuses ne sont plus que tas informes recouverts de poussière grise. Les voies de transport autrefois emplies de fluides opalescents sont devenus des courants de boue épaisse charriant des gravats .
Mais le pire n'est pas cet univers morne et triste, le pire est l'absence de vie autour de lui, et en lui.
Quelques essences sans âme flottent au milieu des ruines. Le grand Spirite ferme son esprit pour ne pas les voir. Certains étaient autrefois ses amis... Depuis la catastrophe et la disparition des Frêles ils ont perdu peu à peu leur conscience. Ils sont de moins en moins nombreux et ne survivront plus très longtemps.
Le grand Spirite avait été lié au plus puissant des Frêles, au meilleur d'entre eux, le roi Farel. Lorsque leurs astrophysiciens avaient annoncé qu'une météorite géante allait frapper leur monde et rendre l'atmosphère irrespirable , les dirigeants s'étaient unis pour protéger à tout prix l'hôpital des enfants avec ses réserves d'oxygène.
Les vingt plus puissants Bi_êtres avaient accumulé autant de biens indispensables à la survie des petits Frêles et créé un dôme au-dessus de l'édifice . Puis concentré toute leur puissance mentale pour le soutenir au moment de l'impact . Pendant des heures ils avaient résisté sous les avalanches de poussière et de rocs. Petit à petit tous les Frêles adultes s'étaient éteints mais le dôme avait tenu. Seuls les spirites avaient survécu, ainsi que les quelques jeunes Frêles , sauvés dans leurs couveuses ou leurs bulles d'oxygène.
Les Spirites étaient toujours là mais sans leurs âmes soeurs, ils n'étaient plus que l'ombre d'eux mêmes . Bientôt ils ne seraient plus rien. Les Spirites adultes ne pouvaient pas se lier avec des Frêles immatures. Et leur deuil était si profond que peu d'entre eux étaient encore capables d'envisager un avenir. Il n'y avait plus un seul Bi-être survivant.
Mais le grand Spirite avait juré, juré à son autre soi-même, au roi Farel, qu'il lutterait jusqu'au bout pour sauver leur peuple, leur race unique et magnifique de Bi_êtres.
Se déplaçant une dernière fois dans la ville dévastée il se rappelle ce qu'il a appris de l'Histoire de sa race.
Sur leur jeune monde au brillant soleil, à l'origine erraient des créatures éthérée sans nom et sans conscience mais dotées d'étranges pouvoirs de création et de métamorphose, puis la vie était apparue il y a quelques millions d'années, et parmi les êtres évolués étaient nés les Frêles. Ces humanoïdes dotés d'une empathie profonde avaient progressivement apprivoisé les spirites sauvages et petit à petit des êtres fusionnels s'étaient formés, les Bi_êtres. Ils étaient devenus la race dominante de Solaria.
Les Frêles étaient des êtres fins et gracieux, hauts de deux mètres environ à l'age adulte. Leurs visages dans le prolongement de leur corps leur donnait l'aspect de longues tiges souples, de diverses nuances allant du vert pâle( le plus courant) jusqu'à un bleu turquoise, et dotées de grands yeux sombres. Ils avaient de longs bras dotés de mains préhensiles, mais pas de membres inférieurs. Pour se déplacer ils flottaient légèrement au-dessus du sol et étaient capables de nager en faisant onduler leur corps.
A l'adolescence, chaque Frêle se liait avec un spirite . C'était un choix mutellement consenti, par une sorte d'instinct , mais le spirite n'avait au départ qu'une conscience très vague et evanescente. Ses pouvoirs étaient incontrôlés. Progressivement , le Frêle éveillait son compagnon Spirite, jusqu'à l'âge adulte où de leur fusion naissait un Bi_être. Cette fusion était mentale et émotionnelle, mais leurs "corps" restaient séparés : le corps biologique du Frêle , et le corps éthéré du spirite. Le lien durait toute la vie du Frêle.
Selon les capacités du spirite, le Bi_être pouvait être doté du pouvoir de façonnage, il transformait la matière pour créer des objets, de la nourriture où même des édifices.
D'autres étaient dotés du pouvoir de terraformation, ils créaient les canaux de transport, modifiaient les paysages pour l'implantation des villes et villages.
Certains pratiquaient la biocréation, faisant pousser la végétation .
Il y avait également les rêveurs, artistes qui créaient la beauté autour d'eux.
Et enfin les planificateurs et les forgeliens, qui dirigeaient le monde, tout simplement parce que c'est ce qu'ils faisaient le mieux.
Le grand Spirite et le roi Farel avaient constitué un Forgelien , le plus grand des empathes. Leur Bi_être avait fait régner l'harmonie sur le monde, jusqu'au dernier instant.
Et grâce à lui/eux subsistait aujourd'hui leur dernier espoir de survie.
Le grand Spirite avait réussi à surmonter sont immense douleur et soutenu ses plus proches compagnons pour qu'ils ne sombrent pas dans le néant. Parmi eux trois télépathes avaient projeté leurs esprits vers d'autres mondes afin de trouver celui où ils pourraient transporter les petits Frêles avant que ne s'épuisent les réserves d'oxygène.
Ils avaient découvert Elvenar . Ce monde magique où les humains et les elfes semblaient vivre en harmonie, qui avait su accueillir avec générosité des races si diverses .
Là-bas quelques uns d'entre eux seraient peut-être capables de surmonter leur deuil et tenter de forger des liens avec un elfe ou un humain volontaire. Ce serait difficile, peut-être impossible. Ils créeraient une nouvelle race d'êtres fusionnels. Mais ils enverraient également autant qu'ils pourraient de couveuses et de bulles contenant les petits Frêles, sauvés sous le dôme de l'hopital, en espérant que les elvenariens pourraient les maintenir en vie et leur permettre de grandir et de devenir forts. Parmi eux le fils du roi Farel, né prématurément quelques semaines avant le cataclysme. Ils enverraient également des petits spirites sauvages . Et un jour des Bi_êtres renaitraient.
Le grand Spirite l'avait juré.
Les Centaures
Lorsque les Elvenariens entrèrent en contact pour la première fois avec les Centaures, ils furent bien surpris ! Des créatures hybrides entre eux-mêmes et leurs gracieuses licornes, quelle découverte fabuleuse. Ils furent donc extrêmement curieux et désireux de les connaître mieux.
Les Centaures vivent sur Alpha, un monde de forêts et de vastes étendues herbeuses, au climat capricieux, et plutôt humide.
Malgré leur vive intelligence, ces êtres au corps de cheval surmonté d'un puissant buste humanoïde , ont un mode de vie primitif.
Leur corps encombrant n'a pas favorisé le développement de capacités fines de manipulation qu'auraient peut-être permis dans d'autres circonstances leurs mains habiles.
Ils vivent donc dans les sous-bois, en petits groupes familiaux. Construisent des abris rustiques contre les intempéries. Mais préfèrent quand c'est possible, dormir debout sous les étoiles. Ils savent façonner des outils plutôt rudimentaires, et des ustensiles pour contenir les vivres et leurs quelques biens matériels.
Ce sont d'excellents chasseurs, et , au contraire du reste de leurs fabrications, leurs arcs sont des merveilles de finesse et de précision.
Ils se nourrissent donc de gibier et des produits de la nature.
Certains d'entre eux sont de véritables artistes peintres et décorent les rochers, les parois des grottes et des abris, de leurs créations colorées, parfois très humoristiques, représentant des scènes de leur vie quotidienne.
Mais leur plus grand talent est la musique. Les Centaures sont dotés d'une ouie très fine et d'une oreille absolue. Chaque clan dispose d'instruments multiples , à cordes, à vent ou à percussion qu'ils ont eux-mêmes conçus et ils jouent une infinité de mélodies qu'ils composent et improvisent.
Hors la musique , leur principal divertissement est la course.
Chaque année sont organisés de grands rassemblements à l'occasion desquels ils se livrent durant la journée à des compétitions de vitesse, d'endurance, de sauts d'obstacles etc... Il y en a pour tous les âges.
Les soirées sont réservées à la musique et ce sont de fabuleuses heures d'échanges, de créativité et de détente qui se prolongent tard dans la nuit.
Des amitiés se créent, des couples se forment, des clans se scindent où se regroupent.
Mais toute cette riche vie sociale est néanmoins handicapée d'une grave lacune, les Centaures n'ont pas de langage. Malgré une bouche , et un larynx, ils ne peuvent pas parler.
Ils communiquent par un langage des signes et des rudiments d'écriture, et ont élaboré un système simple de calcul.
Leur rencontre avec les ELvenariens a donc été pour ces être sociables et amicaux un énorme choc culturel. Et les Centaures n'ont eu de cesse que d'apprendre à parler. Cependant leurs premiers efforts n'ont été couronnés que d'un succès incomplet.
Certes Ils ont acquis la possibilité de faire vibrer leurs cordes vocales et peuvent maintenant produire des voyelles . Immédiatement leur musique s'est enrichie de chants mélodieux pour leur plus grand bonheur.
Mais cela ne leur suffit pas, et il ont donc décidé d'envoyer des clans sur Elvenar, volontaires pour se soumettre aux thérapeutes humains et aux magiciens elfes dans l'espoir de leur permettre de produire les consonnes indispensables à un langage compréhensible.
De leur côté les Centaures ont promis de d'enseigner aux enfants elvenariens à développer leur oreille musicale, ainsi qu'à créer et construire de nouveaux instruments de musique, à en jouer et composer des mélodies ...
Tous attendent ce moment avec espoir et enthousiasme.
Lorsque les Elvenariens entrèrent en contact pour la première fois avec les Centaures, ils furent bien surpris ! Des créatures hybrides entre eux-mêmes et leurs gracieuses licornes, quelle découverte fabuleuse. Ils furent donc extrêmement curieux et désireux de les connaître mieux.
Les Centaures vivent sur Alpha, un monde de forêts et de vastes étendues herbeuses, au climat capricieux, et plutôt humide.
Malgré leur vive intelligence, ces êtres au corps de cheval surmonté d'un puissant buste humanoïde , ont un mode de vie primitif.
Leur corps encombrant n'a pas favorisé le développement de capacités fines de manipulation qu'auraient peut-être permis dans d'autres circonstances leurs mains habiles.
Ils vivent donc dans les sous-bois, en petits groupes familiaux. Construisent des abris rustiques contre les intempéries. Mais préfèrent quand c'est possible, dormir debout sous les étoiles. Ils savent façonner des outils plutôt rudimentaires, et des ustensiles pour contenir les vivres et leurs quelques biens matériels.
Ce sont d'excellents chasseurs, et , au contraire du reste de leurs fabrications, leurs arcs sont des merveilles de finesse et de précision.
Ils se nourrissent donc de gibier et des produits de la nature.
Certains d'entre eux sont de véritables artistes peintres et décorent les rochers, les parois des grottes et des abris, de leurs créations colorées, parfois très humoristiques, représentant des scènes de leur vie quotidienne.
Mais leur plus grand talent est la musique. Les Centaures sont dotés d'une ouie très fine et d'une oreille absolue. Chaque clan dispose d'instruments multiples , à cordes, à vent ou à percussion qu'ils ont eux-mêmes conçus et ils jouent une infinité de mélodies qu'ils composent et improvisent.
Hors la musique , leur principal divertissement est la course.
Chaque année sont organisés de grands rassemblements à l'occasion desquels ils se livrent durant la journée à des compétitions de vitesse, d'endurance, de sauts d'obstacles etc... Il y en a pour tous les âges.
Les soirées sont réservées à la musique et ce sont de fabuleuses heures d'échanges, de créativité et de détente qui se prolongent tard dans la nuit.
Des amitiés se créent, des couples se forment, des clans se scindent où se regroupent.
Mais toute cette riche vie sociale est néanmoins handicapée d'une grave lacune, les Centaures n'ont pas de langage. Malgré une bouche , et un larynx, ils ne peuvent pas parler.
Ils communiquent par un langage des signes et des rudiments d'écriture, et ont élaboré un système simple de calcul.
Leur rencontre avec les ELvenariens a donc été pour ces être sociables et amicaux un énorme choc culturel. Et les Centaures n'ont eu de cesse que d'apprendre à parler. Cependant leurs premiers efforts n'ont été couronnés que d'un succès incomplet.
Certes Ils ont acquis la possibilité de faire vibrer leurs cordes vocales et peuvent maintenant produire des voyelles . Immédiatement leur musique s'est enrichie de chants mélodieux pour leur plus grand bonheur.
Mais cela ne leur suffit pas, et il ont donc décidé d'envoyer des clans sur Elvenar, volontaires pour se soumettre aux thérapeutes humains et aux magiciens elfes dans l'espoir de leur permettre de produire les consonnes indispensables à un langage compréhensible.
De leur côté les Centaures ont promis de d'enseigner aux enfants elvenariens à développer leur oreille musicale, ainsi qu'à créer et construire de nouveaux instruments de musique, à en jouer et composer des mélodies ...
Tous attendent ce moment avec espoir et enthousiasme.
Sur l'air de Manhattan-Kabou, Renaud & Axelle Red
D’astre en étoile, dans la boue, le sable ou le limon,
D’un monde à l’autre sans aucune racine
Ils désespèrent de trouver une terre paisible
D’un monde à l’autre, ils ne trouvèrent qu’inhospitalité
Leur vie, leurs rêves laissés de côté
Survivre est devenu leur réalité
Une volonté, une vie paisible si heureuse
Du bout du doigt, ils espèrent la trouver
Au sein d’Elvenar, leur espoir exposé
Une vie tranquille, en harmonie avec la nature
La rivière les nourrit, la forêt les abrite
Il ne leur manque que des voisins amicaux.
Une volonté, une vie paisible si heureuse
Du bout du doigt, ils espèrent la trouver
Au sein d’Elvenar, leur espoir exposé
Bonjour, nous venons amicalement
En espérant apprendre à vous connaître
Partager nos cultures et façon d’être
C’est notre envie naturelle et sincère
Leur mode de vie est calme
Tranquille, simple et naturel
Sans chercher à combattre, juste à partager
Ils ne souhaitent que tranquillité
Elfes dans l’esprit
Taille de fée et air de troll
La peur est la première pensée des visiteurs
Alors qu’ils sont entièrement inoffensifs
Une volonté, une vie paisible si heureuse
Du bout du doigt, ils espèrent la trouver
Au sein d’Elvenar, leur espoir exposé
Une fête, en Enar occasion parfaite
Des regards inhabituels mais pourtant
Accueillis, en ami, leur rêve accompli
D’astre en étoile, dans la boue, le sable ou le limon,
D’un monde à l’autre sans aucune racine
Ils désespèrent de trouver une terre paisible
D’un monde à l’autre, ils ne trouvèrent qu’inhospitalité
Leur vie, leurs rêves laissés de côté
Survivre est devenu leur réalité
Une volonté, une vie paisible si heureuse
Du bout du doigt, ils espèrent la trouver
Au sein d’Elvenar, leur espoir exposé
Une vie tranquille, en harmonie avec la nature
La rivière les nourrit, la forêt les abrite
Il ne leur manque que des voisins amicaux.
Une volonté, une vie paisible si heureuse
Du bout du doigt, ils espèrent la trouver
Au sein d’Elvenar, leur espoir exposé
Bonjour, nous venons amicalement
En espérant apprendre à vous connaître
Partager nos cultures et façon d’être
C’est notre envie naturelle et sincère
Leur mode de vie est calme
Tranquille, simple et naturel
Sans chercher à combattre, juste à partager
Ils ne souhaitent que tranquillité
Elfes dans l’esprit
Taille de fée et air de troll
La peur est la première pensée des visiteurs
Alors qu’ils sont entièrement inoffensifs
Une volonté, une vie paisible si heureuse
Du bout du doigt, ils espèrent la trouver
Au sein d’Elvenar, leur espoir exposé
Une fête, en Enar occasion parfaite
Des regards inhabituels mais pourtant
Accueillis, en ami, leur rêve accompli
Voici les éphémères. Des êtres qui sont apparus il y a bien longtemps lorsque deux espèces différentes d'un royaume d'enar s’unirent. Ils vécurent à l’abri des regards pendant de longues années, avant que Peregrim ne les trouve et ne les utilise comme cobaye pour ses horribles expériences. Hélas une fois qu’il eut fini il ne se contenta pas de partir, il leur jeta un puissant sortilèges, qui les contraint à se cacher pendant des millénaires pour ne pas être écrasés comme de vulgaire insecte, par les autres races. Pendant tout ce temps, ils ont cherché une solution pour briser les sortilèges, mais encore aujourd’hui leurs recherches n’ont rien donné. Cependant ils sont une lueur d’espoir, retrouver Peregrim et le forcer à briser son sortilège. Pour ce faire, ils ont exploité toutes les ressources à leur disposition pour évoluer et se préparer à combattre Peregrim.
Cette race est répartie en 5 clans : les papilloneuses, les moustipiqueuses, les butineuses, les scarabages et les libréllules. Chacun de ces 5 clans à son objectifs.
Les papilloneuses, sont les exploratrices. Belles, élégantes et gracieuses, avec leurs grandes ailes, elles ressemblent à s’y méprendre au papillon. Si vous êtes attentifs vous pourrez les apercevoir près des fées.
Les moustipiqeuses, sont les guerrières. Rapides, silencieuses et discrètes, avec leur long corps et leur trompe acérée, elles se confondent avec les moustiques. Si vous vous sentez fatigué soudainement, c’est à coup sûr que l’une d’entre elles est passée par là.
Les butineuses sont les scientifiques. Intelligentes, malignes et efficaces, avec leur corps jaune et noir, sans oublié leur dards, il est facile de les prendre pour des abeilles. Cependant si vous ne voyez aucune abeilles près d’un parc plein de belles fleurs, vous pouvez être sûr qu’elles ne sont pas très loin dans leur labo, plongé dans leur recherches.
Les scarabaraqués sont les constructeurs. Endurant, fort et musclés, ils passent leur journées à construire. Mais beaucoup les prennent pour des scarabés, avec leur manteaux noirs ce n’est pas étonnant.
Les libréllules sont les incarnations de quelques esprits de leurs ancêtres. Immortelles, libres et légères, il est compliqué de les différencier des libellules. Si vous entendez des voix près des étangs, soyez assuré que vous allez les trouver à proximité.
Ainsi depuis que Peregrim leur à lancer le sortilèges ils n’ont eu de cesse de chercher une solution. Les papilloneuses n’ont cessé de d’explorer, de s’informer de part et d’autre du monde dans l’espoir d’aider les butineuses à faire des avancées dans leur recherche. De leur côté les moustipiqueuses, ont passé leur temps à s'entraîner pour combattre Peregrim et grâce à l’aide des butineuses elles peuvent maintenant combattre ses sbires. Les butineuses sont sans arrêt plongées dans leur recherche et grâce aux libréllules ils sont de plus en plus nombreux chaque jour. Les scarabaraqués sont devenues de grands constructeurs, tant dans les armes, les bâtiments que les artéfacts améliorés. Les Libréllules, lorsqu’elles ne sont pas avec les butineuses, passent beaucoup de temps à entraîner leur compréhension du mana, des graines divines et de l’unurium, récemment découvert par les papilloneuses. Elles ont ainsi pu développer, avec les butineuses : 1 nouveau sortilèges; Croissance des richesses, 1 nouvelle ressource; les pièces magiques et 1 nouveau bâtiment; l’arbre enchanté.
La croissance des richesses permet de réduire le temps de production des bâtiments temporaires.
Les pièces magiques permettent de récupérer le temps pendant lequel les bâtiments temporaires ne produisaient rien.
L’arbre enchanté permet d’allonger le temps de vie des bâtiments temporaires.
Depuis maintenant quelques mois, les éphémères cherchent un moyen de fusionner la croissance des richesse, les pièces magiques et l’arbre enchanté. Mais pour le moment elles n’ont pu obtenir qu’un avatar qui double les productions de marchandises ordinaires pendant 24h. Peut-être arriveront elles au bout de leur recherche et ainsi obtenir d’autres avatars temporaires plus efficaces. En attendant les butineuses continuent leurs recherches, les moustipiqeuses persévèrent dans leurs entraînements, les scarabaraqués améliorent leur créations, les papilloneuses explorent toujours plus loin et les libréllules sont chaque jour plus nombreuses. Cependant soyez assuré d’une chose, lorsque les éphémères auront atteint tous leurs objectifs, votre ville ne sera plus jamais la même.
Cette race est répartie en 5 clans : les papilloneuses, les moustipiqueuses, les butineuses, les scarabages et les libréllules. Chacun de ces 5 clans à son objectifs.
Les papilloneuses, sont les exploratrices. Belles, élégantes et gracieuses, avec leurs grandes ailes, elles ressemblent à s’y méprendre au papillon. Si vous êtes attentifs vous pourrez les apercevoir près des fées.
Les moustipiqeuses, sont les guerrières. Rapides, silencieuses et discrètes, avec leur long corps et leur trompe acérée, elles se confondent avec les moustiques. Si vous vous sentez fatigué soudainement, c’est à coup sûr que l’une d’entre elles est passée par là.
Les butineuses sont les scientifiques. Intelligentes, malignes et efficaces, avec leur corps jaune et noir, sans oublié leur dards, il est facile de les prendre pour des abeilles. Cependant si vous ne voyez aucune abeilles près d’un parc plein de belles fleurs, vous pouvez être sûr qu’elles ne sont pas très loin dans leur labo, plongé dans leur recherches.
Les scarabaraqués sont les constructeurs. Endurant, fort et musclés, ils passent leur journées à construire. Mais beaucoup les prennent pour des scarabés, avec leur manteaux noirs ce n’est pas étonnant.
Les libréllules sont les incarnations de quelques esprits de leurs ancêtres. Immortelles, libres et légères, il est compliqué de les différencier des libellules. Si vous entendez des voix près des étangs, soyez assuré que vous allez les trouver à proximité.
Ainsi depuis que Peregrim leur à lancer le sortilèges ils n’ont eu de cesse de chercher une solution. Les papilloneuses n’ont cessé de d’explorer, de s’informer de part et d’autre du monde dans l’espoir d’aider les butineuses à faire des avancées dans leur recherche. De leur côté les moustipiqueuses, ont passé leur temps à s'entraîner pour combattre Peregrim et grâce à l’aide des butineuses elles peuvent maintenant combattre ses sbires. Les butineuses sont sans arrêt plongées dans leur recherche et grâce aux libréllules ils sont de plus en plus nombreux chaque jour. Les scarabaraqués sont devenues de grands constructeurs, tant dans les armes, les bâtiments que les artéfacts améliorés. Les Libréllules, lorsqu’elles ne sont pas avec les butineuses, passent beaucoup de temps à entraîner leur compréhension du mana, des graines divines et de l’unurium, récemment découvert par les papilloneuses. Elles ont ainsi pu développer, avec les butineuses : 1 nouveau sortilèges; Croissance des richesses, 1 nouvelle ressource; les pièces magiques et 1 nouveau bâtiment; l’arbre enchanté.
La croissance des richesses permet de réduire le temps de production des bâtiments temporaires.
Les pièces magiques permettent de récupérer le temps pendant lequel les bâtiments temporaires ne produisaient rien.
L’arbre enchanté permet d’allonger le temps de vie des bâtiments temporaires.
Depuis maintenant quelques mois, les éphémères cherchent un moyen de fusionner la croissance des richesse, les pièces magiques et l’arbre enchanté. Mais pour le moment elles n’ont pu obtenir qu’un avatar qui double les productions de marchandises ordinaires pendant 24h. Peut-être arriveront elles au bout de leur recherche et ainsi obtenir d’autres avatars temporaires plus efficaces. En attendant les butineuses continuent leurs recherches, les moustipiqeuses persévèrent dans leurs entraînements, les scarabaraqués améliorent leur créations, les papilloneuses explorent toujours plus loin et les libréllules sont chaque jour plus nombreuses. Cependant soyez assuré d’une chose, lorsque les éphémères auront atteint tous leurs objectifs, votre ville ne sera plus jamais la même.