DeletedUser
Jamais je n’avais vu un temps si clément. J’avais sur moi le fameux chapeau qui supportait la chaleur ardente de WYNANDOR. Ce chapeau vient de mon père qui est maintenant à le retraite. J’avais repris son atelier de marbre, il me le prête. Ca c’est le temps que j’en ai un à moi. Mais c’est ma mère qui m’avait expliqué qu’il me la donnera, le jour où il partira de là.
Depuis que le nouveau seigneur de la ville de ONAGAINE est arrivé, j’ai jamais autant travaillé de ma vie. En tout cas, même si j’ai dix ans d’expérience dans les pattes, Je travaille à en transpirer autant que j‘aurais bu tout l’eau d’un puit. Mon problème, c'est les sauts d’humeur du seigneur. Tantôt il me demande de travailler trois heures, tantôt il me demande de travailler toute une journée. Ma petite fille chérie me disait qu’il faudrait inventer des RTT… des repos Tous le temps. Ah lala jeunesse.
Mais aujourd’hui, une demande particulière m’était demandé. Afin de négocier des élixirs dans la province, je devais fabriquer du marbre plus solide que la normale. Mais je n'avais pas les matériaux. D'autant plus que l’atelier de mon père n’était pas assez grand pour tout ça. J’ai du refuser, à en avoir peur qu’il me jette à la fosse au lion. Mais ça décision m’a fait chaud au cœur. Il avait pris la décision de déclarer la guerre aux ennemis qui entouraient la propriétaire du lieu qui possédait l’élixir. Madame Lanita
Moi qui avais cru qu’il allait me faire agrandir l’atelier lorsque je lui avais dit non, j’en étais quand même le premier surpris. Alors pour éviter un énième refus et voulant devancer la concurrence entre mes voisins marbriers, j’avais déposé une demande d’agrandissement de mon atelier. Peut-être qu’après cela, je deviendrai propriétaire de ces lieux de travail.
Ma femme avait une connaissance avec des gens de lettres. C’est comme ça que j’arrivais à écrire des bafouilles d’une ligne ou deux.
Sa femme : Qu’est-ce que tu fais chéri ?
L’artisan : j’écris au royaume d'Onagaine
Sa femme : Pardon ?
L’artisan : Je fais une demande d’agrandissement de mon atelier. Quoi ?
Sa femme : Ils n’accepteront jamais.
L’artisan : Pourquoi ?
Sa femme : Si tu réussi tu seras le premier.
Ma lettre étant faite, si je n’arrive pas à table au souper, ma femme ne me fera pas la fête. Durant le repas, je lui avais raconté que mes deux concurrents, la famille GRONAT et la famille BOLLIANTA avaient engagé plusieurs artisans, faisant preuve de professionnalisme et d’acharnement, ce qui n’était pas du luxe en ces temps. Dans mon entreprise, nous n’arrivons pas à trouver du personnel. Mais si on arrivait à agrandir notre atelier, on pourra choisir sur un plateau d’argent tout personnel qui voudrait travailler. Le problème avec ma femme, comme tout couple n’étant pas parfait, (à moins d’un élixir de madame LANITA), elle n’aimait pas l’idée de me voir trainer près du bar prénommant la guinguita. Un petit bar où l’on pouvait trouver des demoiselles, rimant fortement avec plaisir, joie et autres résonances si belles. En d’autres thermes, elle payait leurs mets en soulevant leurs collants que sa soit en janvier ou en mai. Mais nous sommes en août et je partis à l’aube vers le royaume. Le bar était fermé, si ma femme savait, elle aurait été soulagé. Moi j’étais fort triste, si ma femme savait, j’aurais passé un sale quart d’heure presque mythique. Loin de moi l’idée de la tromper, mais juste le temps de me rincer l’œil, vous vous en doutez.
Le gardien : Puis-je vous aider ?
L’artisan : Mes hommages monsieur, je voudrais voir notre seigneur.
Le gardien : Ah bon ? mais il faut prendre rendez-vous.
L’artisan : Ah bon ? est-ce que vous pouvez lui donner cette lettre ?
Le gardien : Ah non, je ne suis pas payé pour ça.
L’artisan : Ah bon ! Alors que dois-je faire, je voudrais agrandir mon atelier de marbre. J’ai un engin en bois, je le voudrais en métal et plus de place pour le rangement.
Le gardien se mit à rire de façon incontrôlable attirant l’attention de ses collègues fort aimable.
Le gardien : J’ai un rigolo qui veut faire agrandir son atelier.
Son collègue ne riait pas et garda son sérieux malgré tout ça.
J’aurais pu commencer à expliquer aux gardiens ma démarche, expliquant sans me démonter que je ne suis pas un lâche. Que j’ai du être l’un des seul à dire non au seigneur, car c’est la vérité, je ne pouvais pas fabriquer du marbre plus solide même avec beaucoup de cœur. J’aurais pu commencer a expliqué tout ça. En vain…
Parce que l’un d’eux avait rigolé pendant longtemps de si bon matin. C’était tellement humiliant que j’ai raconté en version longue pourquoi je suis venu. J’ai commencé à parler du chapeau de mon père, même si le monde s’en fout royalement de cette anecdote, qui pour moi à de l’importance et qui m’est chère. Je leur ai parlé des valeurs de mon métier et du respect de la hiérarchie. Le temps où mon père m’a initié de ce travail qui est devenu si important dans ma vie.
L’artisan : Alors voila, vous comprenez que si on n’agrandit pas l’atelier de marbre, jamais on pourra fabriquer du marbre plus solide et jamais on pourra fabriquer du marbre en plus grand quantité.
Je leur avais tellement saoulé avec mon histoire du chapeau et des valeurs paternelles, qu’ils ne savaient plus quoi dire et qu’un des leurs est descendu de sa scelle.
Chef gardien : Vous allez me suivre, le seigneur et parti en province avec une armée mais le premier conseiller pourra vous aiguiller.
La personne m’accompagna dans une grande allée fleurie, ou l’on pouvait admirer ce que la richesse pouvait produire ici. Tout était beau, magnifique et d’y habiter à cet endroit j’en avais envie. Mais nous voilà arrivés devant un escalier, m’invitant à le prendre où je pourrais trouver mon interlocuteur, espérant qu’il pourra me comprendre. Le conseiller était assez grand et surtout assez vieux. Il me dit d’attendre un moment, je commençais à regarder le lieu. Moi qui n’étais pas beaucoup à l’école, on sentait que le conseiller était baigné de cette idée folle. La culture pouvait donner un pouvoir dans cette ville. Des livres envahissaient toute la salle, en nombre ça dépassait sûrement les mille.
Le conseiller : Voyez-vous, le problème avec les gardiens, c’est qu’ils font entrez n’importe qui sans me faire les présentations. Mais que voulez-vous plus personne veut faire gardien. Ils s’emmerdent tellement. Je vous écoute.
Croyez-moi ou non, avec le conseiller, j’ai raconté la version courte.
L’artisan : Voila, la dernière fois que le seigneur était venu me voir, c’était pour me demander du marbre plus solide pour des raisons de négociation. Je lui ai dit non. C’est pour ça qu’il est parti avec une armée je suppose. J’ai écrit une lettre demandant un agrandissement de mon atelier. C’est avantageux pour moi, par rapport à mes concurrents et le seigneur y gagne par rapport à sa demande.
Le conseiller m’a regardé de haut en bas en caressant sa barbichette de-ci de-là. Il ne parlait pas et je commençais à avoir l’impression d’être de trop dans cette pièce marron. Il prit un livre et s’arrêta à une page très précise.
Le conseiller : savez-vous combien ça coute ?
L’artisan : Non vous savez, tout ça pour moi c’est du charabia.
Le conseiller :Avant de commencer à agrandir des maisons il en fallait des livres à lire. Et pour attirer de nouveaux habitants, ça à couter la moitié du budget à notre seigneur.
L’artisan : En gros je peux mettre une croix sur mon projet d’agrandissement ?
Le conseiller : Sauf si vous devenez l’artisan premier de notre seigneur. Il faudra attendre son retour, je vais lui en parler, nous verrons bien. Et puis, ça coute moins cher qu’agrandir une maison.
L’artisan : Bon d’accord, merci de m’avoir reçu… Ceci étant, je ne comprends pas pourquoi c’est si compliquer de mettre un engin métallique plutôt qu’en bois… Ne me dites as que des gens écrivent des livres, pour que dans cent ans on puisse mettre des engins métallique à moindre coûts ?
Le conseiller : Tout à fait… je suis désolé mais j’ai du travail.
J’ai quitté le royaume avec l’idée en tête que le monde était d’une grande complexité malheureusement. Espérant qu’il le sera beaucoup moins, dans les années à venir ne serait-ce que pour nos enfants. Tout ça pour avoir un engin métallique, il fallait que je sois l’artisan privilégier du seigneur, la vie est magnifique
Depuis que le nouveau seigneur de la ville de ONAGAINE est arrivé, j’ai jamais autant travaillé de ma vie. En tout cas, même si j’ai dix ans d’expérience dans les pattes, Je travaille à en transpirer autant que j‘aurais bu tout l’eau d’un puit. Mon problème, c'est les sauts d’humeur du seigneur. Tantôt il me demande de travailler trois heures, tantôt il me demande de travailler toute une journée. Ma petite fille chérie me disait qu’il faudrait inventer des RTT… des repos Tous le temps. Ah lala jeunesse.
Mais aujourd’hui, une demande particulière m’était demandé. Afin de négocier des élixirs dans la province, je devais fabriquer du marbre plus solide que la normale. Mais je n'avais pas les matériaux. D'autant plus que l’atelier de mon père n’était pas assez grand pour tout ça. J’ai du refuser, à en avoir peur qu’il me jette à la fosse au lion. Mais ça décision m’a fait chaud au cœur. Il avait pris la décision de déclarer la guerre aux ennemis qui entouraient la propriétaire du lieu qui possédait l’élixir. Madame Lanita
Moi qui avais cru qu’il allait me faire agrandir l’atelier lorsque je lui avais dit non, j’en étais quand même le premier surpris. Alors pour éviter un énième refus et voulant devancer la concurrence entre mes voisins marbriers, j’avais déposé une demande d’agrandissement de mon atelier. Peut-être qu’après cela, je deviendrai propriétaire de ces lieux de travail.
EPISODE 2
À quinze minutes du souper.
À quinze minutes du souper.
Ma femme avait une connaissance avec des gens de lettres. C’est comme ça que j’arrivais à écrire des bafouilles d’une ligne ou deux.
Sa femme : Qu’est-ce que tu fais chéri ?
L’artisan : j’écris au royaume d'Onagaine
Sa femme : Pardon ?
L’artisan : Je fais une demande d’agrandissement de mon atelier. Quoi ?
Sa femme : Ils n’accepteront jamais.
L’artisan : Pourquoi ?
Sa femme : Si tu réussi tu seras le premier.
Ma lettre étant faite, si je n’arrive pas à table au souper, ma femme ne me fera pas la fête. Durant le repas, je lui avais raconté que mes deux concurrents, la famille GRONAT et la famille BOLLIANTA avaient engagé plusieurs artisans, faisant preuve de professionnalisme et d’acharnement, ce qui n’était pas du luxe en ces temps. Dans mon entreprise, nous n’arrivons pas à trouver du personnel. Mais si on arrivait à agrandir notre atelier, on pourra choisir sur un plateau d’argent tout personnel qui voudrait travailler. Le problème avec ma femme, comme tout couple n’étant pas parfait, (à moins d’un élixir de madame LANITA), elle n’aimait pas l’idée de me voir trainer près du bar prénommant la guinguita. Un petit bar où l’on pouvait trouver des demoiselles, rimant fortement avec plaisir, joie et autres résonances si belles. En d’autres thermes, elle payait leurs mets en soulevant leurs collants que sa soit en janvier ou en mai. Mais nous sommes en août et je partis à l’aube vers le royaume. Le bar était fermé, si ma femme savait, elle aurait été soulagé. Moi j’étais fort triste, si ma femme savait, j’aurais passé un sale quart d’heure presque mythique. Loin de moi l’idée de la tromper, mais juste le temps de me rincer l’œil, vous vous en doutez.
Je m’étais retrouvé devant la grande muraille du château principal.
Le gardien : Puis-je vous aider ?
L’artisan : Mes hommages monsieur, je voudrais voir notre seigneur.
Le gardien : Ah bon ? mais il faut prendre rendez-vous.
L’artisan : Ah bon ? est-ce que vous pouvez lui donner cette lettre ?
Le gardien : Ah non, je ne suis pas payé pour ça.
L’artisan : Ah bon ! Alors que dois-je faire, je voudrais agrandir mon atelier de marbre. J’ai un engin en bois, je le voudrais en métal et plus de place pour le rangement.
Le gardien se mit à rire de façon incontrôlable attirant l’attention de ses collègues fort aimable.
Le gardien : J’ai un rigolo qui veut faire agrandir son atelier.
Son collègue ne riait pas et garda son sérieux malgré tout ça.
EPISODE 3
J’aurais pu commencer à expliquer aux gardiens ma démarche, expliquant sans me démonter que je ne suis pas un lâche. Que j’ai du être l’un des seul à dire non au seigneur, car c’est la vérité, je ne pouvais pas fabriquer du marbre plus solide même avec beaucoup de cœur. J’aurais pu commencer a expliqué tout ça. En vain…
Parce que l’un d’eux avait rigolé pendant longtemps de si bon matin. C’était tellement humiliant que j’ai raconté en version longue pourquoi je suis venu. J’ai commencé à parler du chapeau de mon père, même si le monde s’en fout royalement de cette anecdote, qui pour moi à de l’importance et qui m’est chère. Je leur ai parlé des valeurs de mon métier et du respect de la hiérarchie. Le temps où mon père m’a initié de ce travail qui est devenu si important dans ma vie.
L’artisan : Alors voila, vous comprenez que si on n’agrandit pas l’atelier de marbre, jamais on pourra fabriquer du marbre plus solide et jamais on pourra fabriquer du marbre en plus grand quantité.
Je leur avais tellement saoulé avec mon histoire du chapeau et des valeurs paternelles, qu’ils ne savaient plus quoi dire et qu’un des leurs est descendu de sa scelle.
Chef gardien : Vous allez me suivre, le seigneur et parti en province avec une armée mais le premier conseiller pourra vous aiguiller.
La personne m’accompagna dans une grande allée fleurie, ou l’on pouvait admirer ce que la richesse pouvait produire ici. Tout était beau, magnifique et d’y habiter à cet endroit j’en avais envie. Mais nous voilà arrivés devant un escalier, m’invitant à le prendre où je pourrais trouver mon interlocuteur, espérant qu’il pourra me comprendre. Le conseiller était assez grand et surtout assez vieux. Il me dit d’attendre un moment, je commençais à regarder le lieu. Moi qui n’étais pas beaucoup à l’école, on sentait que le conseiller était baigné de cette idée folle. La culture pouvait donner un pouvoir dans cette ville. Des livres envahissaient toute la salle, en nombre ça dépassait sûrement les mille.
Le conseiller : Voyez-vous, le problème avec les gardiens, c’est qu’ils font entrez n’importe qui sans me faire les présentations. Mais que voulez-vous plus personne veut faire gardien. Ils s’emmerdent tellement. Je vous écoute.
Croyez-moi ou non, avec le conseiller, j’ai raconté la version courte.
L’artisan : Voila, la dernière fois que le seigneur était venu me voir, c’était pour me demander du marbre plus solide pour des raisons de négociation. Je lui ai dit non. C’est pour ça qu’il est parti avec une armée je suppose. J’ai écrit une lettre demandant un agrandissement de mon atelier. C’est avantageux pour moi, par rapport à mes concurrents et le seigneur y gagne par rapport à sa demande.
Le conseiller m’a regardé de haut en bas en caressant sa barbichette de-ci de-là. Il ne parlait pas et je commençais à avoir l’impression d’être de trop dans cette pièce marron. Il prit un livre et s’arrêta à une page très précise.
Le conseiller : savez-vous combien ça coute ?
L’artisan : Non vous savez, tout ça pour moi c’est du charabia.
Le conseiller :Avant de commencer à agrandir des maisons il en fallait des livres à lire. Et pour attirer de nouveaux habitants, ça à couter la moitié du budget à notre seigneur.
L’artisan : En gros je peux mettre une croix sur mon projet d’agrandissement ?
Le conseiller : Sauf si vous devenez l’artisan premier de notre seigneur. Il faudra attendre son retour, je vais lui en parler, nous verrons bien. Et puis, ça coute moins cher qu’agrandir une maison.
L’artisan : Bon d’accord, merci de m’avoir reçu… Ceci étant, je ne comprends pas pourquoi c’est si compliquer de mettre un engin métallique plutôt qu’en bois… Ne me dites as que des gens écrivent des livres, pour que dans cent ans on puisse mettre des engins métallique à moindre coûts ?
Le conseiller : Tout à fait… je suis désolé mais j’ai du travail.
J’ai quitté le royaume avec l’idée en tête que le monde était d’une grande complexité malheureusement. Espérant qu’il le sera beaucoup moins, dans les années à venir ne serait-ce que pour nos enfants. Tout ça pour avoir un engin métallique, il fallait que je sois l’artisan privilégier du seigneur, la vie est magnifique
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