DeletedUser8885
Il était temps pour moi de reprendre la route pour voir des terres inconnues, mon immobilité avait assez duré…. Un charriot qui ressemblais plutôt à une arche fermée sur quatre roues partait de la ville ou je me trouvais avec des colons, je me joignis á eux pour vivre une nouvelle aventure (j’avais reçu un message me demandant de me rendre sur les terres d’Elvenar)
Au commencement je n'entendais que le vent qui fouettait le véhicule cahotant; et j'essayais de voir par des fentes les différents paysages qui défilaient le long du voyage.
Je devinais plus que voir, les parfums me parvenaient comme un cadeau du vent, qui s'infiltrait par l'ouverture de la toiture; le doux arôme du blé fit place à celui plus amer des prairies, celui humide des marécages, enfin vers la fin il se fit plus pur, je dirais cristallin.
Finalement le conducteur arrêta son attelage:
*-Tout le monde descend on est arrivés; votre obole en passant s'il vous plait, c'est 5 piécettes d'or, les pourboires sont acceptés*
Dit l'homme en me faisant un clin d'œil quand je déposais ma bourse dans sa main.
J'avais à peine quitté le carroyage, que j'étais entourée d'une myriade de gouttelettes scintillantes, qui s'accrochaient dans mes cheveux qui tombaient librement sur mes épaules.
J'ouvrais les yeux tout grands, une énorme quantité d'eau dévalait la montage pour tomber tout prés d'une grande bâtisse qui semblait à première vue un temple; mais ce qui me fascinait c'était le chant des glaciers que l’on voyait au loin....Des glaciers chantant......Leurs vibrations formaient une mélodie, soulignée par le chant d’une cascade pour le moment invisible!
Au commencement je n'entendais que le vent qui fouettait le véhicule cahotant; et j'essayais de voir par des fentes les différents paysages qui défilaient le long du voyage.
Je devinais plus que voir, les parfums me parvenaient comme un cadeau du vent, qui s'infiltrait par l'ouverture de la toiture; le doux arôme du blé fit place à celui plus amer des prairies, celui humide des marécages, enfin vers la fin il se fit plus pur, je dirais cristallin.
Finalement le conducteur arrêta son attelage:
*-Tout le monde descend on est arrivés; votre obole en passant s'il vous plait, c'est 5 piécettes d'or, les pourboires sont acceptés*
Dit l'homme en me faisant un clin d'œil quand je déposais ma bourse dans sa main.
J'avais à peine quitté le carroyage, que j'étais entourée d'une myriade de gouttelettes scintillantes, qui s'accrochaient dans mes cheveux qui tombaient librement sur mes épaules.
J'ouvrais les yeux tout grands, une énorme quantité d'eau dévalait la montage pour tomber tout prés d'une grande bâtisse qui semblait à première vue un temple; mais ce qui me fascinait c'était le chant des glaciers que l’on voyait au loin....Des glaciers chantant......Leurs vibrations formaient une mélodie, soulignée par le chant d’une cascade pour le moment invisible!
Dernière édition par un modérateur: