Si Pâques m'était conté 5

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Petite histoire de pâques….

Loin, très loin, si loin qu’il fut difficile de le trouver sur une carte, se trouvait Nyreen. Pays des cloches éternelles ou la mélodie provoquées par celles-ci étaient réputée par le monde entier. Les champs de fraises attiraient les lapins les moins gourmands…. L’un d’eux, petit lapin Moumoute, cachait un grand secret. Seul il allait, ou nul ne savait.

Au bout du petit sentier brumeux, une amie a lui, la poule Fripoune, lui avait confié son grand secret : va avec la plus petite cloche voir la chenille Batille et l’être le plus grand te sera présenté.

Se fut après des semaines de recherche que petit lapin Moumoute trouva enfin la toute petite cloche tant espérée. Par vent et grand chant des cloches allarmées du retrait de la plus petite d’entres elles, petit lapin rencontra la chenille Batille. ‘’Tu as démontré ton courage, je te présente a l’être le plus grand!’’

Ils allèrent, juste la derrière et… petit lapin Moumoute hurla sec! Un grand, très grand fantôme se tenait la! Il se tenait sur… UNE MONTAGNE DE CHOCOLAT!!!!!! La chenille Batille riait et riait de bon cœur. Petit lapin vit alors le fantôme sourire timidement puis lui dire ‘bienvenue a toi, je suis le gardien du chocolat! Et toi, ma foie, tu es le nouveau lapin de pâques!!!!

Depuis ce jour, quelque soit le pays, a chaque jour de pâques, petit ou grand entendons sonner une toute petite, si petite cloche que nous n’y prêtons pas vraiment attention. Ce jour et ce jour seulement, passe un petit lapin Moumoute avec son ami fantôme pour faire la distribution de chocolats.

Deirdra était une femme simple, paysanne dans son joli village d'Elvenar. Elle élevait seule ses six enfants et vivait chichement.

Le fantôme de son défunt mari la soutenait de son mieux, mais, de son vivant déjà, ce talentueux cartographe, qui travaillait pour le plus grand marchand de parchemins de la région, ne roulait pas sur l'or...
Aussi, à la veille de Pâques, Deirdra était bien embêtée en cherchant une idée pour faire plaisir à ses enfants.
Au petit matin, après avoir donné à manger aux lapins et être passée ramasser les oeufs de ses trois poules, elle eut une idée ! Et si elle organisait une chasse au trésor pour ses petits anges ?
A l'aide d'une carte, comme celles que fabriquait son cher époux, ils devraient parcourir la ferme à la recherche de pâtisseries qu'elle y aurait préalablement cachées...
L'après-midi allait donc être chargé ; il lui fallait préparer quantité de petits gâteaux de toutes formes et de toutes consistance : des oeufs en chocolat Nyréen, des fraises en sucre Granqvistien, et des chenilles en gélatine Heikiusienne.
Ces friandises, abondantes sur les marchés et de ce fait peu coûteuses, allaient lui permettre d'offrir à ses braves enfants une journée mémorable. Aller, elle devait maintenant se mettre aux fourneaux, pour avoir terminé avant que les cloches ne sonnent l'angélus...

C'est la petite histoire d'un lapin qui voulait se rendre dans le jardin de Nyreen pour y ramasser les oeufs de pâques.
Il n'avait pas de carte mais heureusement, un fantôme lui avait conseillé d'écouter le son de la cloche et de suivre son tintement.
En route, il croisa une poule accompagnée de ses poussins. Elle non plus ne connaissait pas le jardin mais un papillon aux couleurs éclatantes, posé sur une petite fraise des bois au bord du chemin se souvenait.
En effet, tout petit, lorsqu'il n'était encore qu'une chenille, il avait grignoté quelques fleurs dans ce jardin.
Il lui conseilla de suivre le bord de la rivière car il se souvenait de nénuphars et de grenouilles vertes, Nyreen devait habiter au bord de l'eau.
Le lapin le remercia et suivit son précieux conseil.
Il longea la rive durant deux ou trois heures mais toujours rien!
Un martin pêcheur, juché sur une branche de saule pleureur, l'observait depuis quelque temps. Il quitta son arbre et vînt à la rencontre de notre malheureux lapin.
" Que cherches-tu ainsi mon ami " lui demanda t-il?
Le lapin lui narra toutes les péripéties de son incroyable histoire en essuyant quelques larmes car il se croyait perdu.
" Tu as de la chance, mon ami!
Je connais bien ce jardin, c'est l'endroit où je pêche
Je vais te conduire, suis moi " dit le martin pêcheur.
C'est ainsi que notre lapin arriva juste à temps pour déguster les chocolats avec la jolie Nyreen...et durant ce temps le martin pêcheur mangea quelques poissons et grenouilles prés du jardin...Le bonheur des uns faisant le malheur des autres!!!

Le conte d’Elvenar

Je vais vous conter l’histoire d’un monde appelé Elvenar.
Il y vivait un petit Lapin qui rêvait de découvrir les œufs de Pâques, il partit donc à la recherche des Cloches.
Apres une heure passée à longer le grand chemin le long d’une rivière en forme de Chenille, il fut attiré par un objet qui brillait près d’un bosquet au pied d’un arbre, une luciole éclairait un joli tapis rouge, qui ressemblait à un coussin douillet, en s’approchant plus près il vit que c’était un joli carré de Fraises, il tendit la main pour en cueillir une, puis une autre, puis une autre, et encore une .. jusqu’à la dernière. Apres ce repas pantagruélique, il s’endormit au pied de l’arbre.
Il fût réveillé le lendemain par un bruit strident et sourd, « mais quel est ce bruit à cette heure du petit matin » se dit il, un regard à droite, puis un à gauche, et soudain un joli coq multicolore lui apparût sur la premiere branche d’un grand chêne centenaire,
« Bonjour monsieur Coq quelle jolie voix et quel beau chant, mais le soleil est à peine levé »
« j’ai fait un mauvais rêve » lui répondit monsieur Coq, « un vilain Fantôme m’avait volé ma voix, désolé de t’avoir réveillé», « et toi que fais-tu dans ces bois ? »
« Je cherche les cloches d’Elvenar afin de trouver les œufs de Pâques. Les cloches les ont déposés dans un endroit secret nommé Nyreen et je me suis perdu, tu veux bien m’aider ? Il me faudrait une Carte»
Je vais me faire pardonner de t’avoir réveillé, Je sais ou les cloches ont déposées leurs œufs sur Elvenar, et pas besoin de carte, Nyreen est le nom de Madame -Poule, et elle se fera un plaisir de t’offrir un de ses œufs de Pâques, suis moi nous serons à la maison dans 5 minutes.
Et voici comment le lapin trouva les œufs de Pâques sur Elvenar et se fit 2 amis, Monsieur Coq et Madame poule.
Et ils partirent tous trois ensembles à la recherche des nains et des fées sur la cité d’Elvenar… mais ça c’est une autre histoire que je vous conterai un peu plus tard… !

Nyreen était une petite elfe aux cheveux roux qui fêtait chaque année Pâques avec ses grands-
parents. Elle allait avoir 10 ans le mois prochain et se considérerait comme une grande.
Évidemment, pour elle, grande, cela voulait dire ne plus croire aux choses qu'on raconte aux petitsenfants, comme par exemple les cloches qui savent voler. Et ça, elle avait décider de le prouver à ses grandsparents.
Le lundi 28, Nyreen n'avait pas école et pouvait donc partir en vacances à la mère chez ses grands-
parents. Sa mère lui rappela maintes fois de prendre toutes ses affaires et de ne pas oublier de lui
envoyer une carte en souvenir. Elle lui dit oui et prit le train.
Une fois arrivée, Nyreen déballa ses affaires. Pas de chance ! Une chenille s'était glissée dans sa valise et avait manger sa pomme qui lui servait de goûter. Heureusement, sa grandmère avait préparé des fraises et avait rajouté du sucre, parce que Nyreen aimait ça.
Après avoir mangé ses fraises, Nyreen alla nourrir les poules avec son grandpère. Sur le chemin, elle lui expliqua son envie de grandir. Alors, il lui raconta une histoire avec des fantômes sur le thème de Pâques. Elle eu peur, mais grâce à son grandpère, elle ne crut plus aux fantômes, mais encore aux cloches sachant voler.
Les deux semaines de vacances étaient passées vite, et Nyreen devait rentrer pour aller à l'école.
Avant de partir, sa grandmère lui offrit des lapins en chocolat puis elle fit ses adieux. Son grand-
père fit de même. Elle s'en alla toute heureuse de son séjour.

FIN

il étais une fois une petite chenille nommée lilou et sont amie cocotte la poule elles rêvaient de partir a l'aventure
un matin lilou rend visite a cocotte en arrivant chez elle monsieur le facteur lui donnas une enveloppe cocotte et lilou l'ouvris et découvrirent une carte
qui indique un endroit ou trouvé le lapin de pâques
aussi tôt elles se préparaient pour une aventure palpitante
une fois en route lilou se mis sur le dos de cocotte pour indiqué le chemin a prendre
sur le chemin il y avais un petit pont avec une allée remplie de fraise et cocotte en mis dans son sac ,une fois le pont passé elles passent prés d'une petite église soudain la cloche se mis a sonné il étais déjà midi lilou et cocotte avaient faim un petit festin de fraise s'en suivis et reprirent la route
soudain elles virent une maison mais ont disais qu'elle étais hanté par un fantôme elles partirent vite de la pour ne pas faire sa rencontre et continuas leur chemin
a quelque mètres de la il y avais un panneaux qui indiqua d'une flèche un terrier a l'entrée de celui si un odeur s'en échappas , une odeur sucré avec de délicat parfum de noisettes , curieuse elles entrent dans le terrier et la un drôle de personnage fis son apparition un lapin brun avec du chocolat partout dans ses poils
il s'appelle janot , mais que fait tu lui demande cocotte et lilou
je prépare des œufs en chocolat pour pâques répond janot
lilou demandas si elles pouvaient lui donné un petit coup de main
janot lui répondis bien sur avec plaisir
lilou mis le papier pour emballé les œufs et cocotte mis les œufs dans des panier pendant que janot prépare le chocolat
après des centaines et des centaines d’œufs elles eurent finis janot étais content du coup de main
soudain lilou entendis plein de bruit dehors de plus en plus fort et la hors du terrier des dizaines de cloche arrivèrent et se posas devant cocotte , lilou et janot
la plus grosse des cloche leur dit bonjour je m'appelle nyreen et demandas a janot si les œufs en chocolat étais prêt
janot lui répondis que oui grâce a ses deux nouvelles amies qui l'on aidé
une fois les œufs chargé les cloches partirent pour faire la distribution
cocotte et lilou demande a janot est tu bien lapin de pâques et janot répondis oui je suis bien le lapin de pâques
et si vous voulez chaque année vous pouvez me rendre visite et prépare les œufs en chocolat avec moi
avec plaisir répondis les 2 amies , pour vous récompensé il leur donnas un gros sac remplis de chocolat
ils se dirent au revoir et nos deux amies rentrent chez elles arrivé a la maison les cloches passèrent au dessus d'elles et la plein d’œufs en chocolat tombe dans le jardin
après une bonne récolte elles partagèrent leur butin mangèrent quelques œufs et se rappelas cette magnifique journée quel venaient de passé
et leur nouvelles amis le lapin de pâques
vivement demain pour de nouvelle aventure

Tout commença dans une contrée lointaine, très lointaine, du nom de Winyandor, plus précisément aux abords de la petite bourgade d'Elvenar.
C'est d'ici que nous suivront les aventures de trois jeunes amis, Nyreen la Poule, Agdid l'Oie et Vyrenzo le Lapin.
Comme tous les après-midi, nos trois amis partirent explorer les alentours d'Elvenar en quête d'histoires fantastique et de découvertes.
ls décidèrent de partir vers le nord, en direction de la cabane d'Arwen la Canne.
Il y a deux siècles, cette habitante de la bourgade fut chassée dans les bois pour avoir fait usage de sorcellerie.
Après quelques dizaines de minutes de marche, ils arrivèrent devant la cabane.
Évidemment, comme à son habitude, Nyreen, la poule mouillée du groupe, demanda à Vyrenzo de passer devant car elle avait peur qu'il puisse y avoir des Fantômes à l'intérieur.
Passant donc en premier, Vyrenzo frappa à la porte puis passa le seuil, il jeta un rapide coup d’œil autour de lui.
Il constata que la cabane n'avait pas été visitée depuis longtemps à en juger par la couche de poussière qui recouvrait les meubles.
Il appela donc ses deux amies et les invita à entrer comme s'il en était le propriétaire.
Une fois les fenêtres ouvertes pour apporter un peu de clarté, nos trois amis commencèrent à fouiller afin d'en apprendre plus sur Arwen.
Dans une étagère de la salle à manger, Agdid trouva un bocal de Chenilles séchées, elle en prit une, se retourna, regarda Nyreen avec un grand sourire et ... ... lui lança !
Nyreen poussa un cri et faillit tomber en arrière en essayant de l'éviter l'affreuse bestiole.
Agdid et Vyrenzo s'esclaffèrent de rire tandis que Nyreen leur lança un regard noir.
Après plusieurs minutes de recherches infructueuses, Nyreen ouvrit le tiroir de la table de chevet et trouva enfin une Carte.
A première vu, cette carte n'avait rien de spécial, puis en y regardant de plus près, nos trois acolytes constatèrent qu'elle possédait le sceaux de la Légendaire Cloche de pâques.
Il est dit que cette cloche donnera, à celui qui la possède, le pouvoir d'invoquer des montagnes de chocolat, Fraise et autres bonbons en tout genre.
En bas de la carte, il y avait aussi une inscription mais qu'ils n’arrivèrent pas à comprendre.
Pris dans leurs recherches et enivrés par cette légende, ils prononcèrent cette phrase à voix haute.
"Naem Octé Vincius A Préor Nyellë !!"
En un éclair, nos trois compères ce retrouvèrent dans un lieu qu'ils ne connaissaient pas.
En effet, Nyreen, Agdid et Vyrenzo étaient arrivés dans le monde d'Arwen.
Un monde où le paysage était entièrement fait de meringues et de sucres d'orge, les habitations de chocolat et de nougats.
A cette instant, ils étaient loin de ce douter des aventures qu'ils allaient vivre afin de pouvoir rentrer chez eux.

La ferme ,l’œuf et le lapin fantôme


Il était une fois ,une petite fille du nom de Nyreen qui vit dans une ferme avec ses parents et son petit Frère Arwen. Dans leur ferme , il y avait des vaches,des cochons,des poules ,des lapins,etc... Un jour Arwen se levis de bonheur pour aller jouer dehors ,mais quand
il vit un énorme œuf dans un arbre il pensa tout de suite que c’était un des poules qui avait fait sa.Mais quand il sen approcha il découdra que c’était un œuf en chocolat mais il garda quand même l'origine de cet œuf. Il partit en courant vers la maison et partit réveiller sa sœur et lui dire sa découverte.
Sa sœur étonner lui dit: «Mais c'est impossible,tu est pas encore bien réveiller ou ta une imagination très fertile.»
Arwen :«Mais non ,je te dit que je viens de voir sa alors si tu me croie pas viens voir aller viens,je suis sur que tu en croirai pas de tes yeux .»
Nyreen voulait savoir le fin mots de cette histoire alors il se leva aussi vite que possible et partit dehors voir ce fameux œuf. Arriver devant cet arbre et devant l’œuf par la même occasion ,elle ne pu que dire que sont frère avait raison.Alors ,elle cherchait qui aurait bien pu le mettre la.
Arwen lui dit alors:«je suis sur que c'est une poule »
Nyreen :«mais c'est impossible c'est beaucoup trop gros pour que sa sois une poule et en chocolat en plus.»
Arwen:«Mais qui veux tu que sa soit d'autre.»
C'est alors qu'il entendit un voix:«Mais c'est moi les enfants»
Nyreen et Arwen se retournèrent et fut surpris de se retrouver face a un lapin.Mais pas n'importe qu'elle sort de lapin.Ce lapin était bleu transparent ,comme s'il aurait été un fantôme.Il avait une cloche autour du coup avec un dessin de fraise dessus.Puis près de
lui,il y avait une chenille bleu aussi comme le lapin,mais lui au lieu de la cloche il y avait un mini carte dans une mini bouteille sur une chaîne autour de son cou.
Nyreen:«Mais vous êtes quoi au juste?Et pourquoi.»
Le lapin:«C’est simple ,nous somme des fantômes qui donne des chocolats géants a partir de cette année et la journée ou vous la recevrez sa serait Pâque.»
Nyreen et Arween :«Cool,je vous remercie même si c'est bizarre.»
Le lapin:«Mais de rien les enfants bonne journée. »
Alors les enfants alla dire se qui se passe a leurs parents encore au lit et en discutèrent pendant un demi-heure....

HISTOIRE DE PÂQUES

Tout commença par un beau lundi matin ensoleillé. La ville de Nyreen se réveillait lentement mais sûrement. La rosée livrait ses dernières gouttes sur la forêt et les premiers rayons de soleil traversaient les feuilles des arbres. Au sol, la vie s’animait. Lucius, père de 9 petits lapineaux très enjoués partait avec sa marmaille pour aller déjeuner. Tout au long de leur route, Lucius se sentait suivi par le fantôme de sa défunte tuée un an plus tôt, par un chasseur.
Pino, le plus vieux de ses fils, avait plus de difficulté suite au départ de sa mère. Son chagrin était sans fin. Lucius aurais bien voulu lui parler du fantôme de sa mère mais il ne trouvait pas les mots. Pino avait fait une rencontre deux semaines auparavant, une chenille du nom de Chloé. Cette chenille était superbe. Avec ses longs poils d’un rouge qui faisait penser à des fraises. Le seul problème c’est que Chloé ne se déplaçait pas très rapidement, comparé à Pino.
À chaque jour, lors de la randonnée matinale, Pino s’arrêtait pour lui parler un peu. Chloé était au courant du malheur de Pino et elle réfléchissait au moyen de rendre le sourire au jeune lapin.> Pino lui demanda ou elle se rendait comme ça. Chloé lui expliqua qu’elle voulait se rendre ou venait ce bruit qu’elle entendait à chaque jour. Ce bruit qui sonnait comme une musique à ses oreilles. Pino qui voulait aider son amie, demanda à son père, la permission d’aller voir d’où venait ce bruit afin de dire à Chloé à quelle distance se trouvait cette musique. Lucius accepta, se disant qu’apporter son aide à une amie, pourrait aider Pino à surmonter son chagrin. Pino parti donc à la recherche de la musique pour Chloé. Son problème c’est que la musique ne jouait qu’une fois par jour. Pino décida de dessiner son trajet pour que Chloé puisse suivre son plan sur une carte. Au bout de trois jours il arriva enfin au village et vit d’où venait cette musique qui fascinait tant Chloé. Pino savait for bien que son amie, vu sa vitesse de déplacement n’arriverait jamais jusqu’au village. Une forêt
dense, une rivière et de nombreux dangers étaient pour elle, des obstacles impossibles à traverser. Il décida plus tôt de l’accompagner en la transportant sur son dos. Ils partirent donc tous les deux et pendant trois jours, au rythme des bonds de Pino, ils traversèrent la rivière et la forêt sans s’arrêter, sauf pour manger et dormir. La troisième journée, arrivant au village ils durent attendre que la musique se fasse entendre. Lorsque la musique commença, Chloé avait beau regarder mais elle ne voyait que la poule qui était juchée sur un toit. La musique ne peut pas venir de cette si petite poule s’exclama Chloé. Pino lui expliqua que la poule en question n’était pas une poule mais un coq et qu’il ne faisait pas de musique. C’était un coq en métal qui servait de girouette et que la musique elle, venait des cloches de l’église et qu’elles faisaient de la musique pour annoncer qu’il était midi. À son retour près de sa famille, Pino se rendit compte que sa maman aurait été fière de lui.

« L'histoire que je vais vous conter mes enfants, est une histoire légendaire que les bardes se transmettent de pères en fils depuis des générations. Écoutez bien car un jour, ce sera à vous de la raconter.
« Il était une fois un lapin qui était né avec un pelage violet. Toute son enfance, le pauvre petit lapin souffrit des moqueries de ses pairs et il se réfugiait donc régulièrement dans une forêt à l'abri des regards, il pouvait ainsi soulager sa peine et sa rage à grands cris.
C'est pas bientôt fini ce boucan ? Y en a qui essayent de dormir, ici !
C'était une petite chenille qui venait de prendre la parole. Elle était jusqu'alors blottie dans le creux d'un tronc d'arbre mais s'était laissée glisser sur les fleurs pour se retrouver à la hauteur de la boule de poil trop bruyante à son goût.
Et pourquoi tu pleures d'abord ? J'ai jamais vu un lapin pleurer. C'est normal ? Je veux dire, ça pleure un lapin ? Continua telle à toute vitesse.
- Oui ça pleure.
- Et pourquoi ?
- Ça te regarde ?
- J'ai bien le droit de savoir pourquoi j'ai été tiré de mon sommeil ?
- Si tu tiens tant que ça à le savoir, c'est parque les autres se moquent de moi à l'école, tout ça parce que je suis violet et pas eux !
- Et c'est tout ? Ils n'ont jamais vu de lapin violet ? Sûrement que non, d'accord. Mais ce n'est pas une raison pour autant voyons ! Et puis c'est joli le violet, non ? Moi j'aime bien le violet. Plus tard je voudrai être un papillon violet ! Ou bleu. Pas jaune en tout cas. Peut être rouge. Ou orange, c'est joli le orange aussi, non ?
La chenille était partie dans un monologue sans queue ni tête quand à la couleur de ses futures ailes. Le lapin réfléchissait à la façon dont il allait fausser compagnie à cette bavarde qu'il n'avait jamais cherché à rencontrer.
- Dis, tu m'écoutes ?
- Euh...
- Je te disais qu'il ne faut pas que tu laisses faire par des idiots. Et tu sais quoi ? La meilleure manière pour qu'ils arrêtent de t'embêter, c'est qu'ils te respectent. Et tu sais comment te faire respecter ? Leur montrer que Dame Nyreen tient à toi et éprouve de l'honneur à te compter parmi les siens !
- Dame Nyreen ? Mais je ne suis pas à la hauteur ! Comment pourraisje attirer son
attention ?
- Tu sais nous les chenilles, nous fabriquons notre cocon pour nous protéger lors de notre transformation. Mais avant cela, si on veut dormir au chaud, il faut bien trouver quelque chose qui nous réchauffera ! L'autre nuit je suis tombée sur une carte un peu spéciale, je pensais que c'était une fausse, une pale copie faite par un apprenti aventurier... Mais en y repensant, il est fortement possible qu'elle soit vraie !
- Une carte ? Comment une carte pourrait m'aider ? Je ne suis pas perdu !
- Une carte au trésor, idiot ! Mais pas n'importe laquelle... La carte qui indique le lieu de couvaison des poules majestueuses. Tu imagines ? Si tu arrives à ramener un des œufs magiques de ces poules, tu deviendra le lapin le plus connu au monde !
- Tu dis n'importe quoi, c'est impossible ! Les poules magiques ont disparues depuis des siècles ! Personne n'en a aperçu depuis des lustres !
- Tu ne veux pas me croire ? C'est ton problème. Mais en tout cas moi, dès demain, je pars à l'aventure !
- Toi ? Mais tu es trop petite pour partir à l'aventure !
- Et toi, tu es trop violet.
- Je ne vois pas le rapport ? Ce n'est pas parce que je suis violet que je ne peux pas voyager !
- Ah ah ! Tu vois ? Eh bien, comme la couleur, ce n'est pas la taille qui compte !
Et même si tu parviens à trouver l'emplacement de leurs nids, comment feras-tu ? Les poules ne feront qu'une bouchée de toi !
- Sauf si tu viens avec moi pour me protéger.
Le lapin ce tût, il s'était fait avoir. Il accepta donc de suivre la chenille dans son périple et ils partirent le jour suivant, uns besace remplie de provisions sur le dos du . Il serait d'ailleurs plus juste de dire que la chenille le suivit car étant donné sa petitesse, le lapin fut obligé d'accepter quelle monte sur sa tête afin de na pas devoir l'attendre.
Vous raconter leur voyage ne serait pas intéressant de ma part car cela vous dévoilerait la localisation de cette espèce rare de volaille et ce n'est pas mon but. Les seules remarques que je pourrais faire sur ce voyage sont que la chenille fût très bavarde et le lapin fit preuve d'une extrême patience pour supporter ce papotage constant. Ils firent plus amples connaissances et c'est ainsi que Hervé le lapin et Odile la chenille se découvrirent quelques points communs et beaucoup de différences. Le voyage en lui même ne fût pas simple mais ils suivirent à la lettre la carte qui se trouva être véritable. Finalement, au bout de huit jours de voyages, ils arrivèrent dans une cité fantôme qui avait sûrement été abandonnée plusieurs siècles auparavant. Les deux seuls bâtiments qui tenaient encore sur eux mêmes étaient une petite église avec un grand clocher et un puits. Les autres bâtisses étaient en ruine et la nature commençait à reprendre ses droits, des arbustes fruitiers
sauvages poussant par-ci, par-là.
- Je te parie que les poules mettent leurs œufs à l'abri dans l'église ! C'est logique, il n'y fais pas trop froid la nuit, ils ne sont pas en plein soleil, ni en plein vent. Nous savons trouver les endroits sans vent, nous les chenilles, sinon tu imagines ? Nos pauvres cocons ne résisteraient pas longtemps ! Et...
- Merci, je crois que j'ai compris. On rentre maintenant ? Et tais toi, sinon nous allons nous faire repérer !
- Repérer ? Ne t'inquiète pas, je sais comment ne pas me faire repérer ! Il suffit d'être trèès discrète. Et je suis discrète. Ma maman disait que non mais mon papa...
- Odile. Chut.
- Oh ? Euh oui, bien sûr.
Ils se remirent donc en route, silencieusement, Odile dans le pelage du cou du lapin. Elle se faufila dans le trou de la serrure de l'église pour vérifier que la voie était libre. Par chance toutes les poules étaient sorties et des dizaines de nids étaient éparpillés à travers la pièce principale. Ils s’approchèrent tout doucement, faisant attention à ne pas écraser un œuf. C'était magnifique, tous ces œufs bariolés à portée de patte ! Ils en prirent un dans un nid éloigné des autres qui semblait abandonné. Le lapin déposa le précieux objet dans sa besace et le cala de sorte qu'il ne se casse pas.
- Hervé ?
- Quoi ? Soupira til
- J'ai un mauvais pressentiment. Et ne soupire pas une nouvelle fois ! Je voudrai juste, pour être rassurée, que tu te retournes trèès doucement.
- Et pourquoi tu ne le ferais pas toimême ?
- Je viens de te le dire : j'ai un mauvais pressentiment !
Quelque peu inquiété par les paroles de sa compagne d'aventure, il se retourna, la boule au ventre.
A son grand soulagement, il n'y avait rien.
- Ça valait la peine de me faire peu...
Il se coupa en voyant une plume voleter doucement vers le sol. Il n'y avait pas de plume qui voletaient lorsqu'ils étaient rentrés. Il leva tout doucement la tête et se figea. Des dizaines de poules les regardaient fixement. Odile ne les avait pas vues et continuait d'exprimer son soulagement en babillement joyeux.
- Odile ? Tiens toi très fort à moi.
- Quoi ? Pourquoi ?
- Ne discute pas. Fais le, c'est tout. Tu avais raison d'avoir un mauvais pressentiment.
Odile, soudainement paniquée s'agrippa de toutes ses forces à la fourrure d'Hervé qui commença à s'approcher très lentement et très doucement de la sortie. Soudain, un son de cloche se fit entendre, de nombreux coups commencèrent à être donnés. Simultanément, les poules déployèrent leurs ailes et foncèrent à pic sur les deux pauvres aventuriers qui prirent la fuite à toutes pattes. Ils se faufilèrent en vitesse par la porte restée ouverte et commencèrent à s'enfoncer dans les bois pour fuir mais des poules les attendaient à l'orée de la forêt et les attaquèrent avec les baies et fruits des arbustes alentours, des groseilles, des mûres, des fraises, des myrtilles.... Hervé se prit des groseilles sur le crâne mais ne ressentit que très peu de douleur. La chose la plus inquiétante selon lui était que cela allait abîmer la belle couleur violette de son pelage ! Il fila aussi vite qu'il le pût, Odile dans son cou et les poules majestueuses à leurs trousses.
Ce n'est qu'au bout de presque une heure qu'il fut satisfait de la distance qu'il avait mis entre lui et leurs poursuivants qu'il s'arrêta enfin pour reprendre son souffle. Odile vérifia que l’œuf était intact et puisque c'était le cas, ils purent prendre un repos bien mérité avant de prendre le chemin du retour et de rentrer chez eux.
Hervé pensait déjà aux regards ébahis et envieux quand il rentrerait au village avec l’œuf magique à la vue de tous. Il allait enfin pouvoir prendre sa revanche et leur montrer qu'il avait autant de valeurs que les autres, peut importe la couleur de son pelage.
Odile pensait à peu près la même chose, si ce n'est qu'elle pensait à la différence de taille et non de couleurs.
Ils firent bonne route lors du retour et ne mirent que 6jours, tant leur enthousiasme leurs faisaient pousser des ailes. A ce sujet là, Odile souhaitait aussi presser leur retour car elle sentait le moment de faire son cocon venu. Elle se sentait prête pour devenir papillon.
Ils arrivèrent à l'aube et se dirigèrent directement vers le temple de Dame Nyreen. Les écoliers sur le chemin de l'école lapine les regardèrent avec étonnement, tout le monde savait que le lapin violet était parti mais personne d'autres que ces parents ne savaient où ni pour combien de temps.
Une fois arrivés au temple, ils attendirent patiemment que quelqu'un prévienne Dame Nyreen de leur présence. Ce furent les serviteurs Arwen et Vyrenzo qui se chargèrent de cette périlleuse mission, des rumeurs de couloirs racontent même qu'ils essayèrent de soudoyer quelque apprenti pour aller réveiller à leurs places la fameuse Dame de la Forêt Enchantée. On leurs accorda audience et bien qu'intimidés par la prestance de la Dame, ils parvinrent à exposer a raison de leur visite. Ils firent offrande de l’œuf magique aux Esprit de la Forêt, suivant ainsi la requête de Dame Nyreen qui, pour les remercier et valoriser leurs courage et leur vaillance, fit de ce jour un jour férié où désormais tous les petits partiraient à la chasse aux œufs pour
montrer leur mérite à leurs parents.
Plus aucun enfant ne se moqua d'Hervé, Odile se transforma en papillon bleu et blanc. Pour transmettre aux générations futures le goût de l'aventure et le respect d'autrui, ils devinrent tous deux professeurs et on raconte qu'ils vécurent heureux, Hervé rencontra Jeanine et Odile rencontra Virgile. Et c'est ainsi que ce termine l'histoire de l'origine de Pâques.»
- Vous avez aimé les enfants ?
- Oui ! On peut avoir du chocolat maintenant papy ?
- Ah ces enfants, aucune conscience artistique...»
 
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