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Un conte de Pâques
« Allez, les enfants, au lit ! Que je vous raconte une histoire… »
« Oh oui, une histoire, Maman ! »
Les enfants s’assoient autour de leur mère, tous prêts à boire ses paroles.
Du temps où Elvenar n’était qu’un petit village, Abakoum le paysan disparut. Pour quelle raison, nul ne le savait. Le précieux fournisseur d’œufs du village laissait ainsi les habitants démunis et surtout…sans œufs !
Sa ferme tomba dans l’oubli jusqu’au jour où, une jeune bergère du nom de Nyreen approcha de ce lieu oublié de tous. Alors qu’elle se penchait pour remplir son seau d’eau fraiche, elle aperçut la vieille bâtisse. Oh bien sûr, sa grand-mère lui avait parlé de la mystérieuse légende. Mais la curiosité l’emporta sur les scrupules. Nyreen s’approcha prudemment. Soudain, elle s’immobilisa. Elle aurait parié avoir vu quelque chose passer devant elle. Elle balaya les alentours du regard et ne vit rien d’anormal. Mais voilà que la chose se planta devant elle, à quelques mètres seulement. Nyreen n’osait plus bouger un cil. La chose se rapprocha lentement jusqu’à être nez à nez avec la petite bergère horrifiée. De la chose, se détachaient deux grandes oreilles. Elle paraissait tout aussi stupéfaite que Nyreen. La jeune fille constata dans un soupir de soulagement que cette créature n’était en fait qu’un lapin ordinaire… ou presque, vu que ce lapin parlait !
« Vous m’avez fait peur », dit-il « Il y a bien des années que je n’ai rencontré âme qui vive ». Nyreen se dit que maintenant qu’elle avait rencontré un lapin qui parle, rien ne pouvait plus la surprendre. Elle lâcha un petit rire. Le lapin reprit :
« Au fait, je ne me suis pas présenté ! Moi, c’est Lapin de Pâques, et vous ? »
« Euh…Je m’appelle Nyreen. C’est que je ne suis pas habituée à parler avec un lapin ! » dit-elle en grimaçant. « Vous étiez le lapin d’Abakoum ? »
« Oh bien sûr, pas le seul, mais j’étais le plus vieux et le plus respecté. SI vous voulez, je peux vous raconter la fameuse légende. » dit-il d’un air mystérieux.
« Avec plaisir ! »
Le lapin entraîna Nyreen vers une souche pour s’y assoir.
« Alors voilà… J’étais le lapin à tout faire. Ne me regardez pas comme ça, c’était mon métier ! Je livrais les œufs aux villageois, tous frais pondus par les poules… J’empêchais aussi les oiseaux de picorer les fraises, les chenilles de manger les salades, jusqu’au jour où Abakoum disparut… Les cloches venaient de sonner 12 coups quand je m’en aperçus. Le village était sous le choc. On décida d’organiser une battue mas rien n’y fit. »
Une larme perla au coin de l’œil du lapin. Et en regardant Nyreen, il ajouta. « Mais ne t’apitoie pas sur mon sort… Tout cela est fini. Il s’essuya le museau d’un revers de patte.
Nyreen fut très émue de ce récit. Soudain, elle eut une idée qu’elle chuchota à l’oreille de son nouvel ami.
Cette idée, vous la devinez tous !... Depuis ce jour à Pâques, en souvenir du lapin et de son cher maître, on offre des cartes de joyeuses Pâques et des œufs en chocolat. Qui les cachent ? Les lapins, les poules et les cloches de Pâques ! On raconte même que le fantômed’Abakoum surveille encore sa ferme.
« Allez, les enfants, au lit ! Que je vous raconte une histoire… »
« Oh oui, une histoire, Maman ! »
Les enfants s’assoient autour de leur mère, tous prêts à boire ses paroles.
Du temps où Elvenar n’était qu’un petit village, Abakoum le paysan disparut. Pour quelle raison, nul ne le savait. Le précieux fournisseur d’œufs du village laissait ainsi les habitants démunis et surtout…sans œufs !
Sa ferme tomba dans l’oubli jusqu’au jour où, une jeune bergère du nom de Nyreen approcha de ce lieu oublié de tous. Alors qu’elle se penchait pour remplir son seau d’eau fraiche, elle aperçut la vieille bâtisse. Oh bien sûr, sa grand-mère lui avait parlé de la mystérieuse légende. Mais la curiosité l’emporta sur les scrupules. Nyreen s’approcha prudemment. Soudain, elle s’immobilisa. Elle aurait parié avoir vu quelque chose passer devant elle. Elle balaya les alentours du regard et ne vit rien d’anormal. Mais voilà que la chose se planta devant elle, à quelques mètres seulement. Nyreen n’osait plus bouger un cil. La chose se rapprocha lentement jusqu’à être nez à nez avec la petite bergère horrifiée. De la chose, se détachaient deux grandes oreilles. Elle paraissait tout aussi stupéfaite que Nyreen. La jeune fille constata dans un soupir de soulagement que cette créature n’était en fait qu’un lapin ordinaire… ou presque, vu que ce lapin parlait !
« Vous m’avez fait peur », dit-il « Il y a bien des années que je n’ai rencontré âme qui vive ». Nyreen se dit que maintenant qu’elle avait rencontré un lapin qui parle, rien ne pouvait plus la surprendre. Elle lâcha un petit rire. Le lapin reprit :
« Au fait, je ne me suis pas présenté ! Moi, c’est Lapin de Pâques, et vous ? »
« Euh…Je m’appelle Nyreen. C’est que je ne suis pas habituée à parler avec un lapin ! » dit-elle en grimaçant. « Vous étiez le lapin d’Abakoum ? »
« Oh bien sûr, pas le seul, mais j’étais le plus vieux et le plus respecté. SI vous voulez, je peux vous raconter la fameuse légende. » dit-il d’un air mystérieux.
« Avec plaisir ! »
Le lapin entraîna Nyreen vers une souche pour s’y assoir.
« Alors voilà… J’étais le lapin à tout faire. Ne me regardez pas comme ça, c’était mon métier ! Je livrais les œufs aux villageois, tous frais pondus par les poules… J’empêchais aussi les oiseaux de picorer les fraises, les chenilles de manger les salades, jusqu’au jour où Abakoum disparut… Les cloches venaient de sonner 12 coups quand je m’en aperçus. Le village était sous le choc. On décida d’organiser une battue mas rien n’y fit. »
Une larme perla au coin de l’œil du lapin. Et en regardant Nyreen, il ajouta. « Mais ne t’apitoie pas sur mon sort… Tout cela est fini. Il s’essuya le museau d’un revers de patte.
Nyreen fut très émue de ce récit. Soudain, elle eut une idée qu’elle chuchota à l’oreille de son nouvel ami.
Cette idée, vous la devinez tous !... Depuis ce jour à Pâques, en souvenir du lapin et de son cher maître, on offre des cartes de joyeuses Pâques et des œufs en chocolat. Qui les cachent ? Les lapins, les poules et les cloches de Pâques ! On raconte même que le fantômed’Abakoum surveille encore sa ferme.
Au fond d'un jardin , vivait un lapin du nom de Pâques ! Il aimait faire des cadeaux à ses enfants , à sa femme et à tout le monde .
Un jour , il alla chercher des fraises au marché lapins de la ville d'à côté . Il se dépêcha car sa famille et lui avait faim ! Il alla sur un stand de fraise et demanda 2 kilos de fraise au monsieur du stand . Ce monsieur ressemble à Nyreen comme deux gouttes d'eau ! Il faut se méfier lapin ... Le vendeur lui donne les fraises , Pâques lui donne l'argent et repart chez lui . Arrivé chez lui , il donna une fraise à la chenille du nom de Gatit que sa fille considère comme son animal de compagnie . La chenille a l'air de bien aimé !
Pâques en mangea une et la trouva bonne . Il regarda dehors , la nuit est déjà tombé ! A croire que cette fraise a fait tomber la nuit d'un coup ! Le lapin Pâques alla se coucher et rêva de fantômes qui mangent les poules de sont jardins . Il se réveilla en sursaut ! Le joue est revenu , il alla dans son jardin , ses poules vont bien ! Il regarde son calendrier et découvre que c'est l'anniversaire de sa fille unique ! Il a préparé un super cadeau : une chasse aux oeufs en chocolats !
Sa fille s'amuse beaucoup avec cette chasse aux trésors alors , Pâques décide de faire plaisir aussi aux autres ! Pendant le lendemain de l'anniversaire , il prépare deux tonnes de chocolats qu'il emballe dans un papier . Il envoie des cartes à tous ses amis lapins et à tous les habitants humains de son village .Tous répondent présent . Ils adorent cette chasse aux œufs et ils ont envie de la refaire l'année prochaine . Les années qui suivirent , Pâques refit cette chasse aux œufs qui plurent particulièrement aux enfants . La chasse devint une fête mondiale et s'appelle Pâques en l'honneur du lapin nommé Pâques qui aimait faire plaisir aux autres .
Un jour , il alla chercher des fraises au marché lapins de la ville d'à côté . Il se dépêcha car sa famille et lui avait faim ! Il alla sur un stand de fraise et demanda 2 kilos de fraise au monsieur du stand . Ce monsieur ressemble à Nyreen comme deux gouttes d'eau ! Il faut se méfier lapin ... Le vendeur lui donne les fraises , Pâques lui donne l'argent et repart chez lui . Arrivé chez lui , il donna une fraise à la chenille du nom de Gatit que sa fille considère comme son animal de compagnie . La chenille a l'air de bien aimé !
Pâques en mangea une et la trouva bonne . Il regarda dehors , la nuit est déjà tombé ! A croire que cette fraise a fait tomber la nuit d'un coup ! Le lapin Pâques alla se coucher et rêva de fantômes qui mangent les poules de sont jardins . Il se réveilla en sursaut ! Le joue est revenu , il alla dans son jardin , ses poules vont bien ! Il regarde son calendrier et découvre que c'est l'anniversaire de sa fille unique ! Il a préparé un super cadeau : une chasse aux oeufs en chocolats !
Sa fille s'amuse beaucoup avec cette chasse aux trésors alors , Pâques décide de faire plaisir aussi aux autres ! Pendant le lendemain de l'anniversaire , il prépare deux tonnes de chocolats qu'il emballe dans un papier . Il envoie des cartes à tous ses amis lapins et à tous les habitants humains de son village .Tous répondent présent . Ils adorent cette chasse aux œufs et ils ont envie de la refaire l'année prochaine . Les années qui suivirent , Pâques refit cette chasse aux œufs qui plurent particulièrement aux enfants . La chasse devint une fête mondiale et s'appelle Pâques en l'honneur du lapin nommé Pâques qui aimait faire plaisir aux autres .
Joyeuse pâques
Bonjour à vous, les enfants.
Aujourd'hui je vais vous conter l'histoire d'une Fêtes de Pâques. Beaucoup d'entre vous pense au Lapin de Pâques ou encore à la Cloche de Pâques, qui sont les figures emblématiques de cette journée particulière et bien sur les plus pragmatiques se demanderont si ce n'est pas plutôt une poule, car après tout ce sont bien des œufs que nous récoltons, en ce jour si précieux pour tous les enfants du monde.
Eh bien! Voici Hurlevent, une ville elfe tout à fait banale, dans une contré isolé et balayé par les vents, sur le continent de Felyndral. Comme chaque année pour la Fête de Pâques, la reine de cette magnifique cité, Nyreen, à organisé une gigantesque chasse aux trésors pour les enfants. A cause de quelques penchant sadique, la reine cache les œufs de Pâques dans toute la ville, parfois à des endroits effrayants ou introuvables. C'est pourquoi il est distribué une carte aux trésors à tous les citoyens de la ville, ainsi les adultes peuvent aussi s'amuser à chercher les œufs et surprise que leur bienveillante Reine leur à concocté. Mais cette année à été quelque peu différente.
Cette année là quand la population s'est réveillé, s'attendant à trouver une carte sur le pas de la porte, il ne trouvèrent qu'un carton d'invitation leur demandant de se rendre à l'hôtel de ville. Il se dirigèrent donc tous là bas, homme, femme et enfants. Une fois arrivé la Reine Nyreen les attendait.
"Mes chers concitoyens et amis sachez que la Fête de Pâques que je vous avait soigneusement préparé à été gâché par les vents qui ont soufflés dans la nuit, et je ne sait que faire pour corrigé cela, c'est pourquoi cette année, mes amis, je vous demande votre aide afin de retrouver tous les 22080 cadeaux que je vous avait préparé. Ils ont été emporté dans la Forêt de Soie à l'extérieur de la ville. M'aiderez-vous ?"
La population lui répondit en cœur un grand OUI, chacun rentra chez soit pour préparer quelques affaires avant de partir. Ils se retrouvèrent tous à l'entrée de la ville avec la Reine, puis prirent la direction de la Forêt de Soie. Ils se dispersèrent pour en trouver le plus possible. Beaucoup des cadeaux de la Reine avaient été pris dans les fraisiers au pied des arbres à soie, heureusement il était difficile de confondre les œufs délicatement enveloppés de poussière magique avec les fraises mauves à moitié mangés par les chenilles qui descendaient des arbres grâce à des multitudes de fils de soie.
Les villageois et la Reine se retrouvèrent tous au crépuscule, il ne leur manquait plus qu'un cadeau, La Reine avait réussi à déterminer sa position, une vielle manufacture de soie abandonné , depuis des années on disait qu'elle était hanté par le maitre des lieux, qui était mort d'un crise cardiaque à l'âge de 173 ans. Son fantôme se baladait dans la vielle bâtisse pour continuer à entretenir les animaux qui produisaient la soie, il s'en était tellement bien occupé qu'ils avaient fini par envahir la forêt toute entière.
La Reine ne pouvait pas laisser ses sujet entrée dans ce bâtiment, elle prit donc la décision d'y entrée seule, elle donna l'ordre à ses citoyens de retourner en ville et de distribuer les œufs à tous le monde car il y avait un nom sur chacun. Une fois tous le monde à l'abris des mur de la ville, la Reine entra dans la vielle manufacture, et se retrouva tous de suite face au maitre des lieux, elle lui parla de la Fête de Pâques, des enfants, et du vent qui avait emporté les cadeaux, et lui demanda s'il n'en avait pas trouvé un. Il lui répondit qu'en effet il en avait trouvé un piégé dans les fils de la manufacture, mais qu'il ne l'avait pas ouvert car le nom d'un autre était écrit dessus. Il le donna à la Reine qui lui promit de revenir bientôt avec un œuf gravé de son nom, et rentra en ville. Elle donna le dernier œuf à une petite fille qui l'attendait et à qui il revenait, puis chacun l'ouvrit pour en manger le chocolat enchanté. Il trouvèrent à l'intérieur un petit cristal mauve semblable à celui de l'hôtel de ville.
Afin de respecter son engagement auprès du fantôme la Reine fit un œuf de soie doré avec son nom gravé dessus et le lui apporta, lorsqu'il l'ouvrit il trouva le même cristal que tous les villageois. La Reine lui dit alors que ce cristal était un morceau du cristal de vie qui trônait au dessus de l'hôtel de ville et qu'il l'aiderai à trouver la paix et le repos de l'âme.
La Reine rentra en ville et fit noter un nouveau nom dans le registre des habitants de la ville afin que l'année prochaine le fantôme ne soit pas oublié. Ainsi chacun à le droit de Fêter Pâques même ceux dont le nom à été oublié. C'est pourquoi, les enfants, je vous souhaite aujourd'hui une joyeuse Pâques.
Bonjour à vous, les enfants.
Aujourd'hui je vais vous conter l'histoire d'une Fêtes de Pâques. Beaucoup d'entre vous pense au Lapin de Pâques ou encore à la Cloche de Pâques, qui sont les figures emblématiques de cette journée particulière et bien sur les plus pragmatiques se demanderont si ce n'est pas plutôt une poule, car après tout ce sont bien des œufs que nous récoltons, en ce jour si précieux pour tous les enfants du monde.
Eh bien! Voici Hurlevent, une ville elfe tout à fait banale, dans une contré isolé et balayé par les vents, sur le continent de Felyndral. Comme chaque année pour la Fête de Pâques, la reine de cette magnifique cité, Nyreen, à organisé une gigantesque chasse aux trésors pour les enfants. A cause de quelques penchant sadique, la reine cache les œufs de Pâques dans toute la ville, parfois à des endroits effrayants ou introuvables. C'est pourquoi il est distribué une carte aux trésors à tous les citoyens de la ville, ainsi les adultes peuvent aussi s'amuser à chercher les œufs et surprise que leur bienveillante Reine leur à concocté. Mais cette année à été quelque peu différente.
Cette année là quand la population s'est réveillé, s'attendant à trouver une carte sur le pas de la porte, il ne trouvèrent qu'un carton d'invitation leur demandant de se rendre à l'hôtel de ville. Il se dirigèrent donc tous là bas, homme, femme et enfants. Une fois arrivé la Reine Nyreen les attendait.
"Mes chers concitoyens et amis sachez que la Fête de Pâques que je vous avait soigneusement préparé à été gâché par les vents qui ont soufflés dans la nuit, et je ne sait que faire pour corrigé cela, c'est pourquoi cette année, mes amis, je vous demande votre aide afin de retrouver tous les 22080 cadeaux que je vous avait préparé. Ils ont été emporté dans la Forêt de Soie à l'extérieur de la ville. M'aiderez-vous ?"
La population lui répondit en cœur un grand OUI, chacun rentra chez soit pour préparer quelques affaires avant de partir. Ils se retrouvèrent tous à l'entrée de la ville avec la Reine, puis prirent la direction de la Forêt de Soie. Ils se dispersèrent pour en trouver le plus possible. Beaucoup des cadeaux de la Reine avaient été pris dans les fraisiers au pied des arbres à soie, heureusement il était difficile de confondre les œufs délicatement enveloppés de poussière magique avec les fraises mauves à moitié mangés par les chenilles qui descendaient des arbres grâce à des multitudes de fils de soie.
Les villageois et la Reine se retrouvèrent tous au crépuscule, il ne leur manquait plus qu'un cadeau, La Reine avait réussi à déterminer sa position, une vielle manufacture de soie abandonné , depuis des années on disait qu'elle était hanté par le maitre des lieux, qui était mort d'un crise cardiaque à l'âge de 173 ans. Son fantôme se baladait dans la vielle bâtisse pour continuer à entretenir les animaux qui produisaient la soie, il s'en était tellement bien occupé qu'ils avaient fini par envahir la forêt toute entière.
La Reine ne pouvait pas laisser ses sujet entrée dans ce bâtiment, elle prit donc la décision d'y entrée seule, elle donna l'ordre à ses citoyens de retourner en ville et de distribuer les œufs à tous le monde car il y avait un nom sur chacun. Une fois tous le monde à l'abris des mur de la ville, la Reine entra dans la vielle manufacture, et se retrouva tous de suite face au maitre des lieux, elle lui parla de la Fête de Pâques, des enfants, et du vent qui avait emporté les cadeaux, et lui demanda s'il n'en avait pas trouvé un. Il lui répondit qu'en effet il en avait trouvé un piégé dans les fils de la manufacture, mais qu'il ne l'avait pas ouvert car le nom d'un autre était écrit dessus. Il le donna à la Reine qui lui promit de revenir bientôt avec un œuf gravé de son nom, et rentra en ville. Elle donna le dernier œuf à une petite fille qui l'attendait et à qui il revenait, puis chacun l'ouvrit pour en manger le chocolat enchanté. Il trouvèrent à l'intérieur un petit cristal mauve semblable à celui de l'hôtel de ville.
Afin de respecter son engagement auprès du fantôme la Reine fit un œuf de soie doré avec son nom gravé dessus et le lui apporta, lorsqu'il l'ouvrit il trouva le même cristal que tous les villageois. La Reine lui dit alors que ce cristal était un morceau du cristal de vie qui trônait au dessus de l'hôtel de ville et qu'il l'aiderai à trouver la paix et le repos de l'âme.
La Reine rentra en ville et fit noter un nouveau nom dans le registre des habitants de la ville afin que l'année prochaine le fantôme ne soit pas oublié. Ainsi chacun à le droit de Fêter Pâques même ceux dont le nom à été oublié. C'est pourquoi, les enfants, je vous souhaite aujourd'hui une joyeuse Pâques.
souvenirs d'enfance
Dans la petite maisonnette tout était calme et tranquille
Le jour commençait à poindre à l’horizon et le village se réveillait doucement Dans son lit la petite NYREEN attendait avec impatience que sa maman vienne la chercher pour le petit déjeuner Mais non elle n’avait pas faim, mais cela faisait déjà quelques jours qu’elle pensait avec impatience à ce jour précis
He oui, ce jour béni ou les cloches allaient venir lui déposer une belle et gourmande surprise Bien sur elle avait été sage, bien sage, pour que ce jour de paques soit rempli de jolis œufs en chocolat, et rien que d’y penser nyreen devenait folle d’impatience
« maman, maman, tu crois que les cloches on vues que j’avais eté une gentille petite fille ?? »
Et sa maman la taquinant lui répondait que peut être oui si les cloches avaient eu le temps de passer par là ! Le petit déjeuner fut pris avec rapidité, presque englouti tellement nyreen avait hâte de sortir dans le jardin ! et en rien de temps pour le dire elle se retrouva dehors, son panier au bras avec des œufs pleins les yeux !!
En s’avançant vers le carré de fraises, elle trouva par terre une petite carte toute froissée, Dessiné dessus il y avait un plan indiquant ou aller pour trouver ces sacrés œufs tant désirés ! Il fallait aller vers les clapiers, car Jeannot lapin avait un œuf à donner à nyreen, puis ensuite direction le poulailler car madame Ginette la jolie poule avait cachée trois jolis œufs aussi Ses yeux pétillaient tellement la petite fille était heureuse et excitée ! en regardant sa carte elle vit qu’il fallait aller dans le carré de fraises, car une petite chenille du nom de Ludivine avait elle aussi quelques œufs bien emballés à lui donner !
Apres avoir bien regardé partout, son panier plein et l’envie de commencer a déballer ses jolis œufs si bien emballés dans un magnifique papier de toutes les couleurs, nyreen rentra vers sa maman qui le sourire aux lèvres savourait le bonheur de voir sa petite fille si heureuse
Nyreen, eu le droit de croquer avec gourmandises quelques œufs, il fallait bien récompenser tant de courage et d’énergie passés a chercher ses œufs !! Sourire
Une fois ce petit moment de grand bonheur passé, la petite fille fatiguée de sa course a travers le jardin s’endormie dans les bras de sa maman qui d’un revers de sa main chasserait tous les fantômes qui oseraient approcher la petite fille pendant son sommeil rempli de chocolat et de cloches
Dans la petite maisonnette tout était calme et tranquille
Le jour commençait à poindre à l’horizon et le village se réveillait doucement Dans son lit la petite NYREEN attendait avec impatience que sa maman vienne la chercher pour le petit déjeuner Mais non elle n’avait pas faim, mais cela faisait déjà quelques jours qu’elle pensait avec impatience à ce jour précis
He oui, ce jour béni ou les cloches allaient venir lui déposer une belle et gourmande surprise Bien sur elle avait été sage, bien sage, pour que ce jour de paques soit rempli de jolis œufs en chocolat, et rien que d’y penser nyreen devenait folle d’impatience
« maman, maman, tu crois que les cloches on vues que j’avais eté une gentille petite fille ?? »
Et sa maman la taquinant lui répondait que peut être oui si les cloches avaient eu le temps de passer par là ! Le petit déjeuner fut pris avec rapidité, presque englouti tellement nyreen avait hâte de sortir dans le jardin ! et en rien de temps pour le dire elle se retrouva dehors, son panier au bras avec des œufs pleins les yeux !!
En s’avançant vers le carré de fraises, elle trouva par terre une petite carte toute froissée, Dessiné dessus il y avait un plan indiquant ou aller pour trouver ces sacrés œufs tant désirés ! Il fallait aller vers les clapiers, car Jeannot lapin avait un œuf à donner à nyreen, puis ensuite direction le poulailler car madame Ginette la jolie poule avait cachée trois jolis œufs aussi Ses yeux pétillaient tellement la petite fille était heureuse et excitée ! en regardant sa carte elle vit qu’il fallait aller dans le carré de fraises, car une petite chenille du nom de Ludivine avait elle aussi quelques œufs bien emballés à lui donner !
Apres avoir bien regardé partout, son panier plein et l’envie de commencer a déballer ses jolis œufs si bien emballés dans un magnifique papier de toutes les couleurs, nyreen rentra vers sa maman qui le sourire aux lèvres savourait le bonheur de voir sa petite fille si heureuse
Nyreen, eu le droit de croquer avec gourmandises quelques œufs, il fallait bien récompenser tant de courage et d’énergie passés a chercher ses œufs !! Sourire
Une fois ce petit moment de grand bonheur passé, la petite fille fatiguée de sa course a travers le jardin s’endormie dans les bras de sa maman qui d’un revers de sa main chasserait tous les fantômes qui oseraient approcher la petite fille pendant son sommeil rempli de chocolat et de cloches
ce dimanche j ai nettoye les plants de fraises car avec les beaux jours l herbe pousse vite j espere que mon lapin ne les mangera pas car il est en liberte il faut que je le remettre dans sa cage.Je dios traitee pour les chenilles car elles devorent tous sur leur passage il me reste la possibilite de mettre des cloches de protection. il faut que je prepare des cartes d identitee pour fraisier pourremplacer celles qui sont abimees .j ai reve que nyreen un fantome se promanai dans la ferme pour faire des farces au jaroin ou dans le poulallier il s en est pris au poules qui se sont sauvees il a fallu remettre de l ordre dans tous ca .ce n etait qu un reve
La famille Jeannot lapin,
Jeannot le papa, Jeannette la maman Nono le fils et Nina la fille.
Ce soir là la famille Jeannot décidèrent de ce coucher tôt car le lendemain une rude journée les attendait !
Maman accompagne ses enfants et leur raconte une histoire comme tous les soirs pour les endormir, l'histoire, l'histoire de l'elfe Nyreen venant d'Elvenar le royaume des elfes. Les enfants endormi, elle rejoignit jeannot occupé à consulter la carte pour repérer les meilleurs endroits pour effectuer leur besogne tant attendu déposer les oeufs en chocolat réservé aux enfants, ce fameux dimanche de Pâques. Passer dans le village, traverser la place de l'église poursuivre par de petites routes . Trouver les bons endroits bien caché tout en restant visible pour les enfants !
Soudain un cri et des pleurs c'est Nono qui vient de se réveiller il a fait un cauchemar, il a vu un fantôme hanter la chambre et souffler de l'air froid sur sa frimousse, vite maman monte le consoler en lui disant qu'il n'y a personne qu'il peut se rendormir sans aucune crainte !
Une fois la chose accompli, le calme revenu les parents vont se coucher à leur tour.
Le lendemain matin, la cloche retenti, il est l'heure de se lever de prendre le petit déjeuner, de se brosser les dents de faire un brin de toilette et voilà la petite famille parti avec leur petits paniers bien garni, sur le chemin du village l'un après l'autre dépose un oeuf, une poule en chocolat tout en respectant le parcours jusqu'à la clairière comme un jeu de piste
En passant près d'une ferme Nina vit de belles grosses fraises toutes rouge, elle ne pu s'empêcher et alla en cueillir quelques unes trop contente de sa découverte elle n'a pas remarqué la chenille qui se trouve sur l'une des fraise et avala le tout .
au bout d'un très court moment Nina commença à se gratter, se gratter ! maman se dit qu'elle est allergique et que la prochaine fois elle ne prendra rien sans avoir l'autorisation ou l'avoir passer à l'eau !
Les voilà arrivé à la clairière, les paniers sont vides, ils ont bien travaillé, ils vont pouvoir s'amuser gambader et regarder les enfants émerveillés en trouvant tous les chocolats que la famille Jeannot à distribuer par cette belle journée ensoleillée de ce début de printemps
Jeannot le papa, Jeannette la maman Nono le fils et Nina la fille.
Ce soir là la famille Jeannot décidèrent de ce coucher tôt car le lendemain une rude journée les attendait !
Maman accompagne ses enfants et leur raconte une histoire comme tous les soirs pour les endormir, l'histoire, l'histoire de l'elfe Nyreen venant d'Elvenar le royaume des elfes. Les enfants endormi, elle rejoignit jeannot occupé à consulter la carte pour repérer les meilleurs endroits pour effectuer leur besogne tant attendu déposer les oeufs en chocolat réservé aux enfants, ce fameux dimanche de Pâques. Passer dans le village, traverser la place de l'église poursuivre par de petites routes . Trouver les bons endroits bien caché tout en restant visible pour les enfants !
Soudain un cri et des pleurs c'est Nono qui vient de se réveiller il a fait un cauchemar, il a vu un fantôme hanter la chambre et souffler de l'air froid sur sa frimousse, vite maman monte le consoler en lui disant qu'il n'y a personne qu'il peut se rendormir sans aucune crainte !
Une fois la chose accompli, le calme revenu les parents vont se coucher à leur tour.
Le lendemain matin, la cloche retenti, il est l'heure de se lever de prendre le petit déjeuner, de se brosser les dents de faire un brin de toilette et voilà la petite famille parti avec leur petits paniers bien garni, sur le chemin du village l'un après l'autre dépose un oeuf, une poule en chocolat tout en respectant le parcours jusqu'à la clairière comme un jeu de piste
En passant près d'une ferme Nina vit de belles grosses fraises toutes rouge, elle ne pu s'empêcher et alla en cueillir quelques unes trop contente de sa découverte elle n'a pas remarqué la chenille qui se trouve sur l'une des fraise et avala le tout .
au bout d'un très court moment Nina commença à se gratter, se gratter ! maman se dit qu'elle est allergique et que la prochaine fois elle ne prendra rien sans avoir l'autorisation ou l'avoir passer à l'eau !
Les voilà arrivé à la clairière, les paniers sont vides, ils ont bien travaillé, ils vont pouvoir s'amuser gambader et regarder les enfants émerveillés en trouvant tous les chocolats que la famille Jeannot à distribuer par cette belle journée ensoleillée de ce début de printemps
En ce lundi de pâques,la famille LAPIN prenait son déjeuner bien à l'abri dans leur terrier.
Il y avait papa,maman et NYREEN leur enfant.
Papa lapin dit à Nyreen en lui donnant la CARTE du jardin.
"Tu dois trouver les oeufs que la CLOCHE a apporté cette nuit.Pour t'aider,je les ai cochés sur la carte".
Il ne faisait pas encore tout à fait jour et Nyreen n'etait pas rassuré....il avait peur du noir et surtout des ombres et du FANTÖME qui pouvait s'y cacher.
Il s'arma de courage en pensant au butin qu'il allait ramasser,prit la carte et sortit du terrier.
Il trouva rapidement les premiers oeufs,mais le dernier (le plus gros) etait bien caché.
Heureusement le jour s'etait levé et le soleil avait fait son apparition.
Les ombres et les fantômes avaient disparus et à la place Nyreen retrouvait le jardin familier qu'il aimait tant
Au détour d'une allée il salua (,en petit lapin bien élevé qu'il etait) la famille escargot qui habitait sous une grosse pièrre,et s'arrêta pour se rafraichir de la rosée pas encore evaporée de la nuit.
Il suivit pas à pas les indications notés par son pére.
Il devait aller jusqu'à l'enclos de Cocote la POULE,puis tourner vers le potager.
En passant il en profita pour manger une FRAISE.
En regardant autour de lui,il le vit soudain,dépassant d'une feuille de salade....il etait énorme,emballé dans un magnifique papier doré.
il lacha la carte et les oeufs déjà ramassés et se précipita.
En courant,il faillit marcher sur maman CHENILLE qui rentrait de courses.
Heu ! ! désolé ! ! dit il en récupérant son oeuf.
Il se dit qu'il aurait du prendre un panier pour y mettre tous ses oeufs.
Les cloches avaient été trés généreuses et il manquait de pattes pour tout porter.
IL lui vint une idée....
Quand ses parents le virent rentrer;c'est accompagné de maman chenille et ses enfants,suivit de madame cocote et de tous les escargots qui aidaient et portaient comme ils le pouvaient les oeufs de pâques.
"J'en ai beaucoup trop pour moi tout seul" dit-il
Nyreen et ses amis s'installèrent autour de la table pour partager les oeufs.
Youpi s'exclama t-il....vive le jour de pâques.
Il y avait papa,maman et NYREEN leur enfant.
Papa lapin dit à Nyreen en lui donnant la CARTE du jardin.
"Tu dois trouver les oeufs que la CLOCHE a apporté cette nuit.Pour t'aider,je les ai cochés sur la carte".
Il ne faisait pas encore tout à fait jour et Nyreen n'etait pas rassuré....il avait peur du noir et surtout des ombres et du FANTÖME qui pouvait s'y cacher.
Il s'arma de courage en pensant au butin qu'il allait ramasser,prit la carte et sortit du terrier.
Il trouva rapidement les premiers oeufs,mais le dernier (le plus gros) etait bien caché.
Heureusement le jour s'etait levé et le soleil avait fait son apparition.
Les ombres et les fantômes avaient disparus et à la place Nyreen retrouvait le jardin familier qu'il aimait tant
Au détour d'une allée il salua (,en petit lapin bien élevé qu'il etait) la famille escargot qui habitait sous une grosse pièrre,et s'arrêta pour se rafraichir de la rosée pas encore evaporée de la nuit.
Il suivit pas à pas les indications notés par son pére.
Il devait aller jusqu'à l'enclos de Cocote la POULE,puis tourner vers le potager.
En passant il en profita pour manger une FRAISE.
En regardant autour de lui,il le vit soudain,dépassant d'une feuille de salade....il etait énorme,emballé dans un magnifique papier doré.
il lacha la carte et les oeufs déjà ramassés et se précipita.
En courant,il faillit marcher sur maman CHENILLE qui rentrait de courses.
Heu ! ! désolé ! ! dit il en récupérant son oeuf.
Il se dit qu'il aurait du prendre un panier pour y mettre tous ses oeufs.
Les cloches avaient été trés généreuses et il manquait de pattes pour tout porter.
IL lui vint une idée....
Quand ses parents le virent rentrer;c'est accompagné de maman chenille et ses enfants,suivit de madame cocote et de tous les escargots qui aidaient et portaient comme ils le pouvaient les oeufs de pâques.
"J'en ai beaucoup trop pour moi tout seul" dit-il
Nyreen et ses amis s'installèrent autour de la table pour partager les oeufs.
Youpi s'exclama t-il....vive le jour de pâques.
Jethro se réveilla bien tôt ce dimanche matin. Il n’avait pas oublié que c’était le dimanche de Pâques, et bien qu’il n’eût que 4 ans, il savait pertinemment que la journée allait être remplie de belles surprises. Le soleil était déjà au rendez-vous et le petit garçon était fort impatient de pouvoir sortir.
« Maman, crois-tu que le Lapin de Pâques est déjà passé ? » demanda-t’il à sa maman pendant que celle-ci l’habillait?
« Maman, crois-tu que le Lapin de Pâques est déjà passé ? » demanda-t’il à sa maman pendant que celle-ci l’habillait?
- As-tu déjà vu un lapin pondre des œufs répondit sa mère en souriant ?
- Non c’est vrai, rétorqua Jéthro, mais sur la carte que Nyreen m’a envoyée, c’est bien un lapin qui apporte les œufs. »
Le ton décidé du petit garçon fit de nouveau sourire la maman. Elle termina de lui boutonner son manteau, enroula tendrement une écharpe autour de son cou et tout en lui embrassant la joue lui dit :
« Allez, va au jardin voir si tu en trouves. Prends ton petit panier, on ne sait jamais… »
Le petit garçon s’élança dehors. L’air était vif malgré les rayons du soleil, et ses joues ne tardèrent pas à se colorer. Il dépassa bientôt sa zone de jeux. La balançoire semblait l’appeler, elle bougeait toute seule, comme si un petit fantôme malicieux l’occupait déjà. Mais il avait mieux à faire ce matin-là ! Il se dirigea directement vers les clapiers. Bravant l’interdiction de les ouvrir, il ne put s’empêcher de glisser une main furtive par l’entrebâillement de la petite porte pour caresser sa lapine préférée, toute noire avec une jolie tache blanche sur le bout du museau. Son papa l’avait prévenu que bientôt elle allait avoir des bébés, et il avait chaque matin l’espoir qu’enfin les petits seraient arrivés. Mais la lapine était blottie dans le fond de son clapier et ne bougea pas à l’appel du petit. Avant de fermer la porte du clapier, il s’assura tout de même qu’aucun œuf n’était caché sous le foin servant de litière.
Jethro continua donc son petit bonhomme de chemin. Puis que les œufs n’étaient pas chez les lapins, il se dirigeait donc vers le poulailler. De loin il aperçut la petite pouleblanche qui picorait déjà le sol. Allait-elle manger les œufs en chocolat ? ou plus probablement une petite chenille dodue ! Il s’élança… mais tout à coup s’arrêta net. Là, dans les fraisiers, il crut voir une petite tache rouge. Une fraise déjà ? Gourmand il s’approcha… Et regardant de plus près, il vit non pas une seule tache de couleur, mais deux, puis trois, puis ici encore, et là… les œufs colorés étaient bien cachés parmi les fraisiers. Ravi le petit garçon commença à les déposer délicatement dans son petit panier.
Mais tout à coup, il entendit la cloche de l’entrée qu’on agitait vigoureusement au loin. Peu de temps après, il vit la petite Zoé, sa voisine et amie, qui venait le rejoindre au jardin. Elle aussi avait un petit panier à la main, et on pouvait voir que ce panier n’était pas vide !
Après avoir bien vérifié qu’il ne restait pas un seul œuf dans les fraisiers, les deux enfants retournèrent vers la maison afin de montrer leurs trésors. Ce fut un dimanche bien plaisant !
« Allez, va au jardin voir si tu en trouves. Prends ton petit panier, on ne sait jamais… »
Le petit garçon s’élança dehors. L’air était vif malgré les rayons du soleil, et ses joues ne tardèrent pas à se colorer. Il dépassa bientôt sa zone de jeux. La balançoire semblait l’appeler, elle bougeait toute seule, comme si un petit fantôme malicieux l’occupait déjà. Mais il avait mieux à faire ce matin-là ! Il se dirigea directement vers les clapiers. Bravant l’interdiction de les ouvrir, il ne put s’empêcher de glisser une main furtive par l’entrebâillement de la petite porte pour caresser sa lapine préférée, toute noire avec une jolie tache blanche sur le bout du museau. Son papa l’avait prévenu que bientôt elle allait avoir des bébés, et il avait chaque matin l’espoir qu’enfin les petits seraient arrivés. Mais la lapine était blottie dans le fond de son clapier et ne bougea pas à l’appel du petit. Avant de fermer la porte du clapier, il s’assura tout de même qu’aucun œuf n’était caché sous le foin servant de litière.
Jethro continua donc son petit bonhomme de chemin. Puis que les œufs n’étaient pas chez les lapins, il se dirigeait donc vers le poulailler. De loin il aperçut la petite pouleblanche qui picorait déjà le sol. Allait-elle manger les œufs en chocolat ? ou plus probablement une petite chenille dodue ! Il s’élança… mais tout à coup s’arrêta net. Là, dans les fraisiers, il crut voir une petite tache rouge. Une fraise déjà ? Gourmand il s’approcha… Et regardant de plus près, il vit non pas une seule tache de couleur, mais deux, puis trois, puis ici encore, et là… les œufs colorés étaient bien cachés parmi les fraisiers. Ravi le petit garçon commença à les déposer délicatement dans son petit panier.
Mais tout à coup, il entendit la cloche de l’entrée qu’on agitait vigoureusement au loin. Peu de temps après, il vit la petite Zoé, sa voisine et amie, qui venait le rejoindre au jardin. Elle aussi avait un petit panier à la main, et on pouvait voir que ce panier n’était pas vide !
Après avoir bien vérifié qu’il ne restait pas un seul œuf dans les fraisiers, les deux enfants retournèrent vers la maison afin de montrer leurs trésors. Ce fut un dimanche bien plaisant !
Jeannot lapin s'affairait comme un diable ce matin.
Où avait-il mis son panier et sa carte des jardins?!
Yolande la chenille, l'observait du coin de l'œil
Etendue sur une fraise qu'elle croquait avec soin.
Un, deux, trois... comptait Jeannot qui déposait
Soigneusement, dans son panier retrouvé
Enfin, de jolis œufs de toutes les couleurs, qu'il avait peints.
Sautillant d'allégresse , une fois son œuvre accomplie, il franchit la
Porte de son logis, et passa gaiement devant le temple des
Âges, au moment où la grosse cloche se mit à résonner.
Que le fantôme de la faim disparaisse ! Chantait-il en déposant
Un à un, ses œufs gourmands dans les recoins de chaque jardin.
Enthousiaste, il termina sa course chez Nyreen la poule qu'il
Salua et remercia pour tous ses beaux œufs pondus pour l'occasion.
Où avait-il mis son panier et sa carte des jardins?!
Yolande la chenille, l'observait du coin de l'œil
Etendue sur une fraise qu'elle croquait avec soin.
Un, deux, trois... comptait Jeannot qui déposait
Soigneusement, dans son panier retrouvé
Enfin, de jolis œufs de toutes les couleurs, qu'il avait peints.
Sautillant d'allégresse , une fois son œuvre accomplie, il franchit la
Porte de son logis, et passa gaiement devant le temple des
Âges, au moment où la grosse cloche se mit à résonner.
Que le fantôme de la faim disparaisse ! Chantait-il en déposant
Un à un, ses œufs gourmands dans les recoins de chaque jardin.
Enthousiaste, il termina sa course chez Nyreen la poule qu'il
Salua et remercia pour tous ses beaux œufs pondus pour l'occasion.
Il y a fort longtemps, dans un pays bordé de toutes parts par une immense forêt d’arbres millénaires, vivait une famille royale à la longue et honorable tradition militaire dont le dernier fils, Nyreen, n’aimait pas se battre. Le roi son père était fort désespéré et à l’approche des vingt ans de son fils alla le trouver : « Mon fils, voici qu’approche le jour de ton vingtième anniversaire et tu n’as toujours mené aucune bataille ni gagné aucune guerre. J’ai trouvé pour toi une mission qui pourrait sauver l’honneur de notre famille et te permettrait de trouver une épouse : le sorcier Wizz retient la princesse Agdid dans son antre au fin fond de la forêt, tu vas tuer ce sorcier qui terrorise la population afin de la libérer et de l’épouser. » Nyreen n’arrivait pas à expliquer à son père qu’il ne voulait tuer personne et s’équipa donc pour cette longue aventure. Alors que la cloche du château sonnait pour que tous viennent saluer le courageux prince, le roi donna à son fils la carte pour trouver l’antre de l’affreux sorcier ainsi que la plus belle épée que l’on n’ait jamais vue.
Nyreen entama donc la longue chevauchée vers sa mission le cœur lourd. Le soir venu, le prince mit pied à terre et alors que sa monture broutait l’herbe environnante se mit en quête de fraises de bois pour son diner. C’est alors que le prince trouva un charmant lapin prit dans le piège d’un chasseur. Le prince qui refusait de tuer eu pitié de l’animal et libéra doucement le lapin. A sa grande surprise, plutôt que de fuir, le lapin prit alors la parole pour le remercier et se proposa de partager avec lui ses carottes pour le diner. Le prince partagea aussi ses fraises des bois, et ils commencèrent à se lier d’amitié. Le lendemain matin, les deux compagnons décidèrent de prendre la route ensemble.
Le prince avait alors le cœur un peu plus léger de chevaucher en compagnie de son nouvel ami. Chemin faisant, ils croisèrent une poule qui poursuivait une chenille. Le prince eu pitié de la chenille et tenta de comprendre pourquoi la poule voulait absolument tuer cette petite chenille. La poule ne voulait rien comprendre et expliqua que c’était ainsi depuis des millénaires, les poules mangent les chenilles. Alors le prince alla cueillir dans le champ voisin quelques grains de blés qu’il tendit à la poule et il déposa la chenille sur une feuille en hauteur afin qu’elle puisse se reposer et se nourrir. Le prince prouva ainsi à la poule qu’elle pouvait se nourrir sans tuer la chenille et que chacun pouvait vivre en paix. La poule rassasiée décida alors de faire route commune avec ce prince si bon pour tous.
La petite bande, aidée de la carte du roi, traversait donc la grande forêt millénaire, sans tuer qui que ce soit et en partageant les mets savoureux que leur offrait la nature.
Finalement arrivés devant l’antre du sorcier qui terrorisait tout le pays, le prince et ses deux nouveaux amis se trouvèrent devant une grande douve infranchissable. Le prince avait sa belle épée, mais n’avait rien pour franchir un si grand précipice et ne voyait pas comment libérer la princesse. C’est alors que la poule se proposa de voler sur l’autre versant de la douve et de faire descende le pont pour permettre au prince de passer. Aussitôt dit, aussitôt fait, et le prince traversa l’obstacle sans aucune difficulté.
La petite bande entra alors dans l’antre sombre du sorcier et fut tout d’un coup assourdit par les tintements effrayants de chaines. Le lapin frappa trois fois du pied, très fort, pour faire cesser le bruit. Et à la surprise de la petite bande, un fantôme très ancien se tourna vers eux pour voir qui faisait plus de bruit que lui. Le fantôme dévisagea le lapin et commença à faire sonner ses chaines, le lapin lui répondit en rythme et les deux sonneurs se mirent à jouer ensemble une belle musique joyeuse et dansante.
C’est alors que le sorcier vint lui aussi voir ce qui se passait et qui osait déranger la sombre tristesse de sa demeure. Il découvrit le prince et afin de le combattre décida de se transformer en immense dragon. Alors que le dragon lui faisait face et menaçait sa vie et celle de ses amis, le prince à contrecœur sortit sa belle épée pour entamer le combat qu’il était venu mener. Mais comme tout le monde le sait, les dragons aiment tout ce qui brille et celui-ci resta stupéfait devant un aussi bel objet. Le prince proposa alors de lui échanger ce splendide bijou contre ce qu’il possédait de plus beau dans son antre, la jeune captive. Bien sûr, le dragon accepta sans discuter, voyant plus de valeur dans l’épée ornée de joyaux que dans le cœur pure de la jeune fille.
Le prince et la princesse quittèrent alors la bâtisse au sommet de laquelle dormait le dragon satisfait, qui refusait à présent que le sorcier se retransforme en humain et préférait veiller sur son trésor. Les habitants ne furent plus jamais dérangés par les vilains tours du sorcier qui s’était transformé pour toujours en dragon, cloitré chez lui pour veiller sur sa magnifique épée.
Le jour des noces eu lieu le premier jour du printemps suivant, alors que le lapin et le fantôme jouaient une ancienne musique au rythme de la cloche du château, une nuée de papillons tous descendants de la chenille sauvée dans la forêt, accompagnait Agdid et Nyreen à la descente des marches pour honorer ce merveilleux couple qui avait décidé de faire régner la paix et l’harmonie dans leur royaume.
Tous les ans ont fêterait à présent ce nouveau règne au début du printemps et cette fête que l'on appela Pâques était symbolisé par la poule et le lapin. Alors tous les pâtissiers du royaume réalisaient de magnifique poules et lapins en chocolat avant de les cacher dans la forêt pour tous les enfants du royaume pendant que la cloche du château sonnait la joie de tous de vivre en paix et qu'un grand banquet était organisé afin que tout le monde partage ensemble les mets offert par la nature. Seul restait le dragon en haut de son antre car il avait trop peur de quitter des yeux son trésor.
Nyreen entama donc la longue chevauchée vers sa mission le cœur lourd. Le soir venu, le prince mit pied à terre et alors que sa monture broutait l’herbe environnante se mit en quête de fraises de bois pour son diner. C’est alors que le prince trouva un charmant lapin prit dans le piège d’un chasseur. Le prince qui refusait de tuer eu pitié de l’animal et libéra doucement le lapin. A sa grande surprise, plutôt que de fuir, le lapin prit alors la parole pour le remercier et se proposa de partager avec lui ses carottes pour le diner. Le prince partagea aussi ses fraises des bois, et ils commencèrent à se lier d’amitié. Le lendemain matin, les deux compagnons décidèrent de prendre la route ensemble.
Le prince avait alors le cœur un peu plus léger de chevaucher en compagnie de son nouvel ami. Chemin faisant, ils croisèrent une poule qui poursuivait une chenille. Le prince eu pitié de la chenille et tenta de comprendre pourquoi la poule voulait absolument tuer cette petite chenille. La poule ne voulait rien comprendre et expliqua que c’était ainsi depuis des millénaires, les poules mangent les chenilles. Alors le prince alla cueillir dans le champ voisin quelques grains de blés qu’il tendit à la poule et il déposa la chenille sur une feuille en hauteur afin qu’elle puisse se reposer et se nourrir. Le prince prouva ainsi à la poule qu’elle pouvait se nourrir sans tuer la chenille et que chacun pouvait vivre en paix. La poule rassasiée décida alors de faire route commune avec ce prince si bon pour tous.
La petite bande, aidée de la carte du roi, traversait donc la grande forêt millénaire, sans tuer qui que ce soit et en partageant les mets savoureux que leur offrait la nature.
Finalement arrivés devant l’antre du sorcier qui terrorisait tout le pays, le prince et ses deux nouveaux amis se trouvèrent devant une grande douve infranchissable. Le prince avait sa belle épée, mais n’avait rien pour franchir un si grand précipice et ne voyait pas comment libérer la princesse. C’est alors que la poule se proposa de voler sur l’autre versant de la douve et de faire descende le pont pour permettre au prince de passer. Aussitôt dit, aussitôt fait, et le prince traversa l’obstacle sans aucune difficulté.
La petite bande entra alors dans l’antre sombre du sorcier et fut tout d’un coup assourdit par les tintements effrayants de chaines. Le lapin frappa trois fois du pied, très fort, pour faire cesser le bruit. Et à la surprise de la petite bande, un fantôme très ancien se tourna vers eux pour voir qui faisait plus de bruit que lui. Le fantôme dévisagea le lapin et commença à faire sonner ses chaines, le lapin lui répondit en rythme et les deux sonneurs se mirent à jouer ensemble une belle musique joyeuse et dansante.
C’est alors que le sorcier vint lui aussi voir ce qui se passait et qui osait déranger la sombre tristesse de sa demeure. Il découvrit le prince et afin de le combattre décida de se transformer en immense dragon. Alors que le dragon lui faisait face et menaçait sa vie et celle de ses amis, le prince à contrecœur sortit sa belle épée pour entamer le combat qu’il était venu mener. Mais comme tout le monde le sait, les dragons aiment tout ce qui brille et celui-ci resta stupéfait devant un aussi bel objet. Le prince proposa alors de lui échanger ce splendide bijou contre ce qu’il possédait de plus beau dans son antre, la jeune captive. Bien sûr, le dragon accepta sans discuter, voyant plus de valeur dans l’épée ornée de joyaux que dans le cœur pure de la jeune fille.
Le prince et la princesse quittèrent alors la bâtisse au sommet de laquelle dormait le dragon satisfait, qui refusait à présent que le sorcier se retransforme en humain et préférait veiller sur son trésor. Les habitants ne furent plus jamais dérangés par les vilains tours du sorcier qui s’était transformé pour toujours en dragon, cloitré chez lui pour veiller sur sa magnifique épée.
Le jour des noces eu lieu le premier jour du printemps suivant, alors que le lapin et le fantôme jouaient une ancienne musique au rythme de la cloche du château, une nuée de papillons tous descendants de la chenille sauvée dans la forêt, accompagnait Agdid et Nyreen à la descente des marches pour honorer ce merveilleux couple qui avait décidé de faire régner la paix et l’harmonie dans leur royaume.
Tous les ans ont fêterait à présent ce nouveau règne au début du printemps et cette fête que l'on appela Pâques était symbolisé par la poule et le lapin. Alors tous les pâtissiers du royaume réalisaient de magnifique poules et lapins en chocolat avant de les cacher dans la forêt pour tous les enfants du royaume pendant que la cloche du château sonnait la joie de tous de vivre en paix et qu'un grand banquet était organisé afin que tout le monde partage ensemble les mets offert par la nature. Seul restait le dragon en haut de son antre car il avait trop peur de quitter des yeux son trésor.
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