Thorondhor
Élève assidu
Voici le moment de découvrir les textes des participants au concours !
Ils sont classés par thème, puis par ordre de réception
Vous pouvez voter pour vos trois textes préférés, toutes catégories confondues.
Thème 1
Texte n°1
Texte n°2
Texte n° 3
( pdf joint : https://fr.forum.elvenar.com/index.php?attachments/un-redac-chef-en-action-pdf.41897/)
Texte n°4
Ils sont classés par thème, puis par ordre de réception
Vous pouvez voter pour vos trois textes préférés, toutes catégories confondues.
Thème 1
Texte n°1
« Bonjour, ici Robin, rédacteur du LibrE’VenaR, aujourd’hui plongez au cœur du journal ! Derrière la caméra Narlyen, qui me suivra toute la journée.
- Et ce n’est pas chose facile au quotidien, croyez moi. »
L’elfe sourit face à la caméra, et poussa la porte des locaux occupés par toute l’équipe. Il salua joyeusement ses camarades, certains le saluèrent, d’autres étaient bien trop plongés dans leur travail pour y prêter attention.
« Par ici, la machine à café ! Galadriel et Thorondhor ne peuvent pas commencer une journée sans leur dose de caféine.
- Ou finir leur nuit de travail.
- Ne fait pas genre, devant la caméra, que tu bosses toute la nuit Thoron !
- Et pourtant, c’est bien le cas, parfois, pour boucler les dernières finitions et offrir notre chère gazette à nos lecteurs ! »
Galadriel fit un petit signe de la main et rejoignit les rédacteurs en plein travail. Robin suivit la fée, et la caméra filma l’écran de son ordi, avant qu’elle ne les chasse, protégeant son travail et la confidentialité de son travail, un point important que toute l’équipe devait respecter. Un peu plus loin, Kyhd, Gamafey, Lolali et M.Erobrine étaient en pleine discussion autour d’une grande table ronde, des feuilles éparpillées sur la surface à côté d’ordinateurs, et d’enregistreurs.
« C’est toujours en début de matinée qu’on débat des sujets et des informations que nous avons obtenues. On se réunit autour de la table pour en discuter. Et là, il semblerait, que nous venons d’avoir des informations provenant de notre informateur ! Un scoop pour le journal ! Gama qu’est-ce qu’on a ?
- Il y a un voleur de cornichons à Énar ! Il faut mobiliser les habitants, leur dire de se méfier et de faire des dons à la ligue des cornichons, pour les aider à faire face à cette catastrophe, nous serons en pénurie de cornichons cet été ! »
Devant la mine décomposée de Robin, ils partirent dans un grand fou rire. Heureusement qu’ils pouvaient compter sur Gamafey pour mettre l’ambiance et les détendre.
« Faux scoop dans les locaux, il faudra attendre de lire le journal pour connaître les grandes actualités. M.Erobrine, tu es le dernier à avoir rejoint le journal, un petit mot aux lecteurs qui ne te connaissent pas.
- Ils m’appellent caliméro et ils me maltraitent tous, ne rentrez pas au journal, vous ne pourrez plus jamais vous enfuir ! »
Kyhd l’embrassa sur la joue, avant de lui donner des notes, et de le pousser à se remettre au travail, puis elle prit son pc et s’installa sur un canapé un peu à l’écart.
« Il veut juste protéger son boulot, personne n’est maltraité en public chez nous, nous aurions des instruments de tortures ici, si c’était le cas. Voyons ce qui se passe du côté graphique de notre journal. »
L’elfe sylvain fit le tour de la grande table, Narlyen filmant le grand bureau bien rangé. Un peu plus loin sur un ordi portable, Isil était en pleine création pour la mise en page du journal, mais Topaze empêcha la caméra d’approcher et de dévoiler le travail de leur graphiste, qui ne releva même pas la tête, concentrée sur son travail.
« Va donc embêter caliméro, et laisse Isil travailler en paix, ce que vous devriez faire tous les deux. »
Snotra qui passait par là récupéra la caméra et les deux filles rejoignirent Thorondhor, leur rédacteur en chef.
« Un petit mot à nos lecteurs !
- Le prochain numéro viendra au-cours de l’été, soyez patient, vous retrouverez rapidement des histoires, des jeux et plein de pages sympathiques à lire ! Sans oublier les prédictions de madame Irma de Juin, et les recettes d’été à partager entre amis et voisins.
- Voilà pour un aperçu des coulisses du LibrE’VenaR et de son équipe au complet !
- Euh non Topaze, y’a pas Ludo.
- On l’a transformé en canard !
- Mais non ne dit pas n’importe quoi Gama, vous êtes juste trop bruyant, il est parti s’installer dans le bureau d’à côté pour faire des corrections.
- Tu te trompes Gala, moi je pense qu’il a été faire une petite sieste sur la méridienne.
- Robin tu vas enquêter ou écrire ton article ?!
- Mais c’est une mission importante Kyhd, nous devons retrouver Ludo ! Le journal ne peut pas travailler si l’équipe n’est pas au complet !
- Et dire que c’est comme ça tous les jours. C’était Topaze et toute l’équipe de votre journal préféré, merci Snotra d’avoir joué le caméraman pour les coulisses du journal. »
Avant de se couper, la caméra filma Robin en train de crier « Ludo réveille-toi ! » et Gamafey brandir un rouleau de scotch. Quel dommage, personne ne saura ce qui s’est passé, peut-être rien d’intéressant, ou peut-être une aventure incroyable
- Et ce n’est pas chose facile au quotidien, croyez moi. »
L’elfe sourit face à la caméra, et poussa la porte des locaux occupés par toute l’équipe. Il salua joyeusement ses camarades, certains le saluèrent, d’autres étaient bien trop plongés dans leur travail pour y prêter attention.
« Par ici, la machine à café ! Galadriel et Thorondhor ne peuvent pas commencer une journée sans leur dose de caféine.
- Ou finir leur nuit de travail.
- Ne fait pas genre, devant la caméra, que tu bosses toute la nuit Thoron !
- Et pourtant, c’est bien le cas, parfois, pour boucler les dernières finitions et offrir notre chère gazette à nos lecteurs ! »
Galadriel fit un petit signe de la main et rejoignit les rédacteurs en plein travail. Robin suivit la fée, et la caméra filma l’écran de son ordi, avant qu’elle ne les chasse, protégeant son travail et la confidentialité de son travail, un point important que toute l’équipe devait respecter. Un peu plus loin, Kyhd, Gamafey, Lolali et M.Erobrine étaient en pleine discussion autour d’une grande table ronde, des feuilles éparpillées sur la surface à côté d’ordinateurs, et d’enregistreurs.
« C’est toujours en début de matinée qu’on débat des sujets et des informations que nous avons obtenues. On se réunit autour de la table pour en discuter. Et là, il semblerait, que nous venons d’avoir des informations provenant de notre informateur ! Un scoop pour le journal ! Gama qu’est-ce qu’on a ?
- Il y a un voleur de cornichons à Énar ! Il faut mobiliser les habitants, leur dire de se méfier et de faire des dons à la ligue des cornichons, pour les aider à faire face à cette catastrophe, nous serons en pénurie de cornichons cet été ! »
Devant la mine décomposée de Robin, ils partirent dans un grand fou rire. Heureusement qu’ils pouvaient compter sur Gamafey pour mettre l’ambiance et les détendre.
« Faux scoop dans les locaux, il faudra attendre de lire le journal pour connaître les grandes actualités. M.Erobrine, tu es le dernier à avoir rejoint le journal, un petit mot aux lecteurs qui ne te connaissent pas.
- Ils m’appellent caliméro et ils me maltraitent tous, ne rentrez pas au journal, vous ne pourrez plus jamais vous enfuir ! »
Kyhd l’embrassa sur la joue, avant de lui donner des notes, et de le pousser à se remettre au travail, puis elle prit son pc et s’installa sur un canapé un peu à l’écart.
« Il veut juste protéger son boulot, personne n’est maltraité en public chez nous, nous aurions des instruments de tortures ici, si c’était le cas. Voyons ce qui se passe du côté graphique de notre journal. »
L’elfe sylvain fit le tour de la grande table, Narlyen filmant le grand bureau bien rangé. Un peu plus loin sur un ordi portable, Isil était en pleine création pour la mise en page du journal, mais Topaze empêcha la caméra d’approcher et de dévoiler le travail de leur graphiste, qui ne releva même pas la tête, concentrée sur son travail.
« Va donc embêter caliméro, et laisse Isil travailler en paix, ce que vous devriez faire tous les deux. »
Snotra qui passait par là récupéra la caméra et les deux filles rejoignirent Thorondhor, leur rédacteur en chef.
« Un petit mot à nos lecteurs !
- Le prochain numéro viendra au-cours de l’été, soyez patient, vous retrouverez rapidement des histoires, des jeux et plein de pages sympathiques à lire ! Sans oublier les prédictions de madame Irma de Juin, et les recettes d’été à partager entre amis et voisins.
- Voilà pour un aperçu des coulisses du LibrE’VenaR et de son équipe au complet !
- Euh non Topaze, y’a pas Ludo.
- On l’a transformé en canard !
- Mais non ne dit pas n’importe quoi Gama, vous êtes juste trop bruyant, il est parti s’installer dans le bureau d’à côté pour faire des corrections.
- Tu te trompes Gala, moi je pense qu’il a été faire une petite sieste sur la méridienne.
- Robin tu vas enquêter ou écrire ton article ?!
- Mais c’est une mission importante Kyhd, nous devons retrouver Ludo ! Le journal ne peut pas travailler si l’équipe n’est pas au complet !
- Et dire que c’est comme ça tous les jours. C’était Topaze et toute l’équipe de votre journal préféré, merci Snotra d’avoir joué le caméraman pour les coulisses du journal. »
Avant de se couper, la caméra filma Robin en train de crier « Ludo réveille-toi ! » et Gamafey brandir un rouleau de scotch. Quel dommage, personne ne saura ce qui s’est passé, peut-être rien d’intéressant, ou peut-être une aventure incroyable
Texte n°2
C'est un jour ordinaire ...
Je file sur la route d'"Elvenar", encore à la bourre....
Mais ce n'était pas de ma faute...Non!
Ma machine à café était encore tombée en panne, en la triturant j'arrivais à extraire une mixture, plus ou moins épaisse, avec du marc... Qui n'avait de "café", que le nom.
Mais ce matin rien à faire, la cafetière m'opposait une volonté farouche de ne rien faire couler.
Le ventre vide, les nerfs à fleur de peau, je recherchais des infos, pour "Elvenar", la gazette, qui me faisait vivre plus ou moins honorablement, depuis deux ans.... Dans la mesure où mes scoops étaient publiés!
Après ma traditionnelle lecture en diagonale des infos d'internet nocturne, un sujet retient mon attention:
Avant de me lancer, comme d'habitude, je vérifie si des infos se recoupent...
Un super héros se cacherait parmi les journalistes binoclards du "Daily Elvenet" ?
Qu'ont-ils vus dans le ciel? Est-ce un oiseau? Est-ce un avion? Ou est-ce juste un gars avec une paire de collants, et sa culotte par dessus?
Il sortait d'où? D'une voiture? D'une ruelle? D'une cabine téléphonique? D'un placard à balai? Qu'est-ce qu'il y faisait?
Et voilà la série d'appels auprès de mes informateurs les plus à même de répondre à mes questions; avec une envie de café frôlant l'hystérie....
Rendez-vous est pris au café de l'angle de la 6ème et 9ème avenue.
Comme d'habitude, les places de parking étaient loin, et mes talons aiguilles ne m'aidaient pas...
Pour couronner le tout, mon informateur de ce matin n'est pas apparu pas au rendez-vous...
Je suis restée à poiroter sur cette chaise bancale, toute une heure pour rien.
A relire des canards infâmes.
Sur une table, elle aussi, bancale et arborant de grosses tâches collantes d'origines inconnues; Il valait d'ailleurs mieux ignorer leurs origines et la date de leur apparition.
Rêvant de reposer mes pieds endoloris sur ma méridienne, après un bon bain chaud, plein de mousse et de sels multicolores et odorants.
Histoire d'oublier ce boui-boui nauséabond, mais qui avait le mérite de servir du café, du vrai, sans marc de café dedans.
Jimmy n'avait même pas daigné appeler.
Quand énervée, j'ai fini par l'avoir au bout du fil, je lui ai balancé toute ma mauvaise humeur, le traitant de "cornichon".
Evidemment ça n'a pas arrangé les choses, mais ça défoule un peu.
Je repassais la conversation dans ma tête, à la recherche de la raison pour laquelle Jimmy m'avait demandé de ne pas faire mon "caliméro"...
Il n'avait pas tord, il y a des jours comme ça, où rien ne va.
Où je collectionne la malchance, j'essaie de rattraper le temps perdu, bataille perdue d'avance.
Je n'ai pas le scoop espéré, j'en pioche un, qui n'a que peu d’intérêts, dans mon stock de réserve.
Je n'aurai pas eu le temps aujourd'hui non plus de changer ma cafetière récalcitrante.
L'idée de retourner demain matin dans le café de la 6ème avenue, avait le don de me hérisser les poils, tout le long du dos.
Et je roule vers le bureau, avant la sortie du tirage papier, pour l'édition du soir....
Je file sur la route d'"Elvenar", encore à la bourre....« c'est vraiment trop injuste »
Je file sur la route d'"Elvenar", encore à la bourre....
Mais ce n'était pas de ma faute...Non!
Ma machine à café était encore tombée en panne, en la triturant j'arrivais à extraire une mixture, plus ou moins épaisse, avec du marc... Qui n'avait de "café", que le nom.
Mais ce matin rien à faire, la cafetière m'opposait une volonté farouche de ne rien faire couler.
Le ventre vide, les nerfs à fleur de peau, je recherchais des infos, pour "Elvenar", la gazette, qui me faisait vivre plus ou moins honorablement, depuis deux ans.... Dans la mesure où mes scoops étaient publiés!
Après ma traditionnelle lecture en diagonale des infos d'internet nocturne, un sujet retient mon attention:
Avant de me lancer, comme d'habitude, je vérifie si des infos se recoupent...
Un super héros se cacherait parmi les journalistes binoclards du "Daily Elvenet" ?
Qu'ont-ils vus dans le ciel? Est-ce un oiseau? Est-ce un avion? Ou est-ce juste un gars avec une paire de collants, et sa culotte par dessus?
Il sortait d'où? D'une voiture? D'une ruelle? D'une cabine téléphonique? D'un placard à balai? Qu'est-ce qu'il y faisait?
Et voilà la série d'appels auprès de mes informateurs les plus à même de répondre à mes questions; avec une envie de café frôlant l'hystérie....
Rendez-vous est pris au café de l'angle de la 6ème et 9ème avenue.
Comme d'habitude, les places de parking étaient loin, et mes talons aiguilles ne m'aidaient pas...
Pour couronner le tout, mon informateur de ce matin n'est pas apparu pas au rendez-vous...
Je suis restée à poiroter sur cette chaise bancale, toute une heure pour rien.
A relire des canards infâmes.
Sur une table, elle aussi, bancale et arborant de grosses tâches collantes d'origines inconnues; Il valait d'ailleurs mieux ignorer leurs origines et la date de leur apparition.
Rêvant de reposer mes pieds endoloris sur ma méridienne, après un bon bain chaud, plein de mousse et de sels multicolores et odorants.
Histoire d'oublier ce boui-boui nauséabond, mais qui avait le mérite de servir du café, du vrai, sans marc de café dedans.
Jimmy n'avait même pas daigné appeler.
Quand énervée, j'ai fini par l'avoir au bout du fil, je lui ai balancé toute ma mauvaise humeur, le traitant de "cornichon".
Evidemment ça n'a pas arrangé les choses, mais ça défoule un peu.
Je repassais la conversation dans ma tête, à la recherche de la raison pour laquelle Jimmy m'avait demandé de ne pas faire mon "caliméro"...
Il n'avait pas tord, il y a des jours comme ça, où rien ne va.
Où je collectionne la malchance, j'essaie de rattraper le temps perdu, bataille perdue d'avance.
Je n'ai pas le scoop espéré, j'en pioche un, qui n'a que peu d’intérêts, dans mon stock de réserve.
Je n'aurai pas eu le temps aujourd'hui non plus de changer ma cafetière récalcitrante.
L'idée de retourner demain matin dans le café de la 6ème avenue, avait le don de me hérisser les poils, tout le long du dos.
Et je roule vers le bureau, avant la sortie du tirage papier, pour l'édition du soir....
Je file sur la route d'"Elvenar", encore à la bourre....« c'est vraiment trop injuste »
Texte n° 3
( pdf joint : https://fr.forum.elvenar.com/index.php?attachments/un-redac-chef-en-action-pdf.41897/)
Un rédac chef en action
Thorondhor, rédacteur en chef de la gazette imaginaire du monde tout aussi imaginaire d'Elvenar, rêvait à du journalisme d'investigation, avec des informateurs anonymes à protéger contre la curiosité malsaine du pouvoir... En buvant son café, il baissa le nez et contempla la "rédaction" : un groupe discord où il était seul connecté...
Il rafraîchit la page, en désespoir de cause et soupira devant le triste spectacle de sa solitude. "C'est injuste, c'est vraiment trop injuste" cria-t-il. Puis, tournant la tête, il remarqua que ses vrais collègues de son vrai travail, en pause méridienne comme lui, le regardait d'un drôle d'air. En même temps, ça se comprenait : il avait l'air fin, à secouer son sandwich canard cornichon au dessus de sa tête, en geignant façon Caliméro!
Un petit sourire gêné, en pensant qu'il aimerait bien entrer dans sa coquille, et il ouvrit le sommaire prévu du numéro du jour, puis sa messagerie. Et surprise, tous les sujets étaient rentrés, bien rangés dans sa boîte mail! Une bien belle équipe, que celle du journal!
Son sourire revenu, fier comme Artaban, il releva les yeux pour constater que tout le monde était occupé dans les locaux de son employeur. Il lui restait officiellement 10 minutes avant de reprendre son boulot rémunéré. Un peu court pour rédiger un éditorial, relire 75 pages, demander des corrections, ordonner et maquetter tout ça.. Un rapide coup d’œil sur la "rédaction" lui fit prendre conscience qu'il n'était plus seul. Tous les rédacteurs se vantaient de leur papier, et commençaient à lui demander un son avis, l'autre la date de parution, un autre encore à voir son édito.
Horreur ! Tous avaient fini, sauf lui, et voilà que sa pause se terminait !
Un rapide « je vous tiens au courant », et il plongea dans son travail officiel.
Un bon quart d’heure de dévouement plus tard, il ouvrit le premier sujet du journal. L’un après l’autre, entre 2 tâches pour son employeur, il relu tous les textes des rédacteurs. Son éditorial prenait forme en même temps que la relecture. Quelques heures supplémentaires plus tard, il avait renvoyé à tous leurs textes annotés de corrections (surtout des coupes à faire!) et ouvrait la « rédaction ».
258 687 messages de l’équipe, depuis le midi, soit plus de texte que l’ensemble des articles !
« Au boulot les pipelettes ! Je veux les corrections pour demain matin ! », inscrit-il en gros caractères. 12 smileys de formes variées plus tard, chacun avait reçu ses devoirs. L’un des rédacteurs, plus effronté encore que les autres, lui demanda la date de parution et où en était son édito. « La parution était prévue la semaine dernière », rappela Thorondhor, « et tu connais la réponse à toutes les questions qui commencent par « où » ». Non mais ! Avec le contenu de l’éditorial qui flottait dans sa tête, il pris fort peu de temps pour en rédiger une première version. Il se réservait le temps d’une relecture le lendemain, avec la maquette toute prête. « Finalement, on va en sortir un, de journal ! » se dit-il en étirant tous ses membres...
Thorondhor, rédacteur en chef de la gazette imaginaire du monde tout aussi imaginaire d'Elvenar, rêvait à du journalisme d'investigation, avec des informateurs anonymes à protéger contre la curiosité malsaine du pouvoir... En buvant son café, il baissa le nez et contempla la "rédaction" : un groupe discord où il était seul connecté...
Il rafraîchit la page, en désespoir de cause et soupira devant le triste spectacle de sa solitude. "C'est injuste, c'est vraiment trop injuste" cria-t-il. Puis, tournant la tête, il remarqua que ses vrais collègues de son vrai travail, en pause méridienne comme lui, le regardait d'un drôle d'air. En même temps, ça se comprenait : il avait l'air fin, à secouer son sandwich canard cornichon au dessus de sa tête, en geignant façon Caliméro!
Un petit sourire gêné, en pensant qu'il aimerait bien entrer dans sa coquille, et il ouvrit le sommaire prévu du numéro du jour, puis sa messagerie. Et surprise, tous les sujets étaient rentrés, bien rangés dans sa boîte mail! Une bien belle équipe, que celle du journal!
Son sourire revenu, fier comme Artaban, il releva les yeux pour constater que tout le monde était occupé dans les locaux de son employeur. Il lui restait officiellement 10 minutes avant de reprendre son boulot rémunéré. Un peu court pour rédiger un éditorial, relire 75 pages, demander des corrections, ordonner et maquetter tout ça.. Un rapide coup d’œil sur la "rédaction" lui fit prendre conscience qu'il n'était plus seul. Tous les rédacteurs se vantaient de leur papier, et commençaient à lui demander un son avis, l'autre la date de parution, un autre encore à voir son édito.
Horreur ! Tous avaient fini, sauf lui, et voilà que sa pause se terminait !
Un rapide « je vous tiens au courant », et il plongea dans son travail officiel.
Un bon quart d’heure de dévouement plus tard, il ouvrit le premier sujet du journal. L’un après l’autre, entre 2 tâches pour son employeur, il relu tous les textes des rédacteurs. Son éditorial prenait forme en même temps que la relecture. Quelques heures supplémentaires plus tard, il avait renvoyé à tous leurs textes annotés de corrections (surtout des coupes à faire!) et ouvrait la « rédaction ».
258 687 messages de l’équipe, depuis le midi, soit plus de texte que l’ensemble des articles !
« Au boulot les pipelettes ! Je veux les corrections pour demain matin ! », inscrit-il en gros caractères. 12 smileys de formes variées plus tard, chacun avait reçu ses devoirs. L’un des rédacteurs, plus effronté encore que les autres, lui demanda la date de parution et où en était son édito. « La parution était prévue la semaine dernière », rappela Thorondhor, « et tu connais la réponse à toutes les questions qui commencent par « où » ». Non mais ! Avec le contenu de l’éditorial qui flottait dans sa tête, il pris fort peu de temps pour en rédiger une première version. Il se réservait le temps d’une relecture le lendemain, avec la maquette toute prête. « Finalement, on va en sortir un, de journal ! » se dit-il en étirant tous ses membres...
Texte n°4
La visite de Mangas chez Elvenar
Tout le monde sur le pont, nous recevons nos visiteurs venus du soleil levant. Ils arrivent...
« cornichons » ha ! honorables visiteurs, je vous ai en envoyé un taxi, j’espère que le conducteur n’a pas été trop brutal dans les rues parisiennes surchargées.
Je vous souhaite la bienvenue à bord de notre vaisseau amiral, Je m’appelle Omnibus je vous présente l’équipage d’Elvenar :
- TableauOïd, notre robot multi-fonction chargé aussi de la mise en page de la Gazette.
Dit bonjour à nos invités Tab !
Tab : Corr Nichonn Haaa
Excusez-le, il est encore en version « béta » !
- Orient-Express chargé de la mouture et la réalisation du meilleur café du quartier que je me permet de vous offrir. Goutez-moi ce nectar accompagné de ces chocolats elfiques.
On m’a beaucoup parlé de l’odorat pointus des Mangas, c’est grâce à votre « Manga-nez » ?
Vous avez raison, on a beaucoup d’autres ressources et capacités. Mon informateur, qui s’appelle Calimero, m’a fait savoir, cher-e-s Elvenarien-ne-s, que votre ressource cachée se trouvait dans votre capacité à communiquer en mode collaboratif. Nous sommes très intéressé à en savoir un peu plus et notamment sur ce qui conduit vos contributeurs à vous proposer des articles innovants.
Nous aborderons ce sujet pendant la pause méridienne.
Que pensez-vous de ce café ?
Honorable Omnibus, je suis transporté par tant de délicatesse dans les arômes et la couleur de cette mousse qui me fait doucement rêver au pentes escarpées de notre mythique « fujiyama ».
Passons à la première équipe, celle des personnes les plus actives dans le process qui vous intéresse.
Elles sont 11 dont le gardien du temple « le WebMagister » qui est notre pilier que l’on va retrouvé dans un instant au comptoir. C’est le lieu où l’on refait le monde en quelque sorte. Le comptoir et ses brèves typiquement Française, voilà un de nos secrets que je vous dévoile et que vous pourrez mettre à profit sans aucune crainte de perte de productivité qui vous est très chère à ce qu’on m’a dit.
Je vous présente maintenant la deuxième équipe, « l’équipe Support » qui est composée également de 11 personnes, qui sont chargés du suivi du bon déroulement du jeu et plus particulièrement les phases qu’on appelle les ères. J’aime à croire qu’ils n’ont que des supporters et que ces derniers le leur rende bien. Nous observons des règles de base, issues de la culture Japonaise que sont la politesse, la modestie, la ponctualité et plus généralement le respect de l’autre. Remarquez que cet art de vivre ensemble n’a nul besoin de gardien. C’est le but !
Et enfin voici l’équipe événementiel qui a organisé cette rencontre, et comme c’est déjà l’heure de la pause méridienne, vous me ferez l’honneur de déguster le Canard laqué et servi par nos meilleurs serveurs habillés de leurs braies de 20 pouces..
la visite continue …
demandez le second épisode !
Tout le monde sur le pont, nous recevons nos visiteurs venus du soleil levant. Ils arrivent...
« cornichons » ha ! honorables visiteurs, je vous ai en envoyé un taxi, j’espère que le conducteur n’a pas été trop brutal dans les rues parisiennes surchargées.
Je vous souhaite la bienvenue à bord de notre vaisseau amiral, Je m’appelle Omnibus je vous présente l’équipage d’Elvenar :
- TableauOïd, notre robot multi-fonction chargé aussi de la mise en page de la Gazette.
Dit bonjour à nos invités Tab !
Tab : Corr Nichonn Haaa
Excusez-le, il est encore en version « béta » !
- Orient-Express chargé de la mouture et la réalisation du meilleur café du quartier que je me permet de vous offrir. Goutez-moi ce nectar accompagné de ces chocolats elfiques.
On m’a beaucoup parlé de l’odorat pointus des Mangas, c’est grâce à votre « Manga-nez » ?
Vous avez raison, on a beaucoup d’autres ressources et capacités. Mon informateur, qui s’appelle Calimero, m’a fait savoir, cher-e-s Elvenarien-ne-s, que votre ressource cachée se trouvait dans votre capacité à communiquer en mode collaboratif. Nous sommes très intéressé à en savoir un peu plus et notamment sur ce qui conduit vos contributeurs à vous proposer des articles innovants.
Nous aborderons ce sujet pendant la pause méridienne.
Que pensez-vous de ce café ?
Honorable Omnibus, je suis transporté par tant de délicatesse dans les arômes et la couleur de cette mousse qui me fait doucement rêver au pentes escarpées de notre mythique « fujiyama ».
Passons à la première équipe, celle des personnes les plus actives dans le process qui vous intéresse.
Elles sont 11 dont le gardien du temple « le WebMagister » qui est notre pilier que l’on va retrouvé dans un instant au comptoir. C’est le lieu où l’on refait le monde en quelque sorte. Le comptoir et ses brèves typiquement Française, voilà un de nos secrets que je vous dévoile et que vous pourrez mettre à profit sans aucune crainte de perte de productivité qui vous est très chère à ce qu’on m’a dit.
Je vous présente maintenant la deuxième équipe, « l’équipe Support » qui est composée également de 11 personnes, qui sont chargés du suivi du bon déroulement du jeu et plus particulièrement les phases qu’on appelle les ères. J’aime à croire qu’ils n’ont que des supporters et que ces derniers le leur rende bien. Nous observons des règles de base, issues de la culture Japonaise que sont la politesse, la modestie, la ponctualité et plus généralement le respect de l’autre. Remarquez que cet art de vivre ensemble n’a nul besoin de gardien. C’est le but !
Et enfin voici l’équipe événementiel qui a organisé cette rencontre, et comme c’est déjà l’heure de la pause méridienne, vous me ferez l’honneur de déguster le Canard laqué et servi par nos meilleurs serveurs habillés de leurs braies de 20 pouces..
la visite continue …
demandez le second épisode !
Dernière édition: