DeletedUser360
Je soumet ceci à vos critiques acérées. Excusez moi, mais je suis une bille en français et c'est dur d'écrire en Alexandrins et en dizains donc si c'est nul c'est normal ( à peu près )
Bonne lecture à tous
Un hoplite
Un hoplite vas guerroyer, le cœur léger
Sans savoir que sa mère, pour lui a prié
Cet Athénien avait une belle fiancée
Délicate, douce, parfaite, attendant un bébé
Une attaque Spartiate, sournoise, traîtresse, et vile
A eu raison de ce fort beau soldat gracile
La mère, effondrée, supplie Athéna, Arès
De lui rendre son fils, l’enlever des griffes d’Hadès
De son côté, la fiancée prie Aphrodite :
Je donne ma vie contre la sienne, il le mérite
La déesse, devant ce grand amour, prend pitié
Elle propose à la belle femme l’épreuve d’Orphée
Si tu meurs, ton bébé ne subsistera point
La femme, en enfer, ne trouve pas son concubin
Car il est à l’Elysée, gloire des guerriers
Elle sait qu’il n’en partira point, c’est assuré
Folle de chagrin, elle sort son couteau effilé
Et se suicide, car elle ne peut le supporter
Une larme
Devant une grande et si douce beauté
Qui m’a échappée, perdue à jamais
Je ne m’empêche d’étouffer une larme
Ce départ, si signifiant, me désarme
Belle, douce, ronde, délicate, mouillée, salée
Une larme peut être tant qualifiée
Une larme de chagrin d’un grand amour
Seras gravée sur la joue pour toujours
La Muse
La Muse, mère de l’inspiration des poètes
Reste en Olympe, avec ses sœurs, Zeus à leur tête
Mais elle sera toujours bienvenue dans mon cœur
Permettant d’exprimer les mots avec chaleur
Son art donne gaieté et courage aux hommes
Autour des rois ou d’une bouteille de rhum
Sa bénédiction vaut bien plus que les diamants
Mais seul peu de gens en sont réellement conscients
Liberté
Finement déclarée
Rappelant la beauté
Ephémère d’une vie
Elle est toujours ici
Des nations la combattent
Or ils disent « j’ai une foi »
Merde à leur sale minois !
De son lever à son coucher
Le soleil nous éclairera
De son coucher à son lever
L'obscurité nous cachera
Avec moi toute la journée
Tu subsistes dans mes pensées
Tu vaux plus que toutes les gemmes
Je t'aime
Aux yeux du monde nous le vivons au grand jour
Mais seule la nuit nous montre le vrai amour
Enlacés calmement, aimés sereinement
Entourés pour notre plaisir d'un doux drap blanc
Nous vivons sagement les feux de la passion
Éloigné de toi je sens ma désolation
En ton absence je trouve mes sentiments
Me sentant seul tel le guerrier loin de son clan
Avec toi je taille le jardin de l'amour
Jardinier enchaîné à sa tâche pour toujours
Il restait toujours en cherchant l'amour
Mais tout ce qui lui venait à l'esprit
Est un fleuve froid fuyant de Russie
Ses mots puissants étaient devenus lourds
Se sentant condamné à oublier
L'inoubliable feu de la passion
Il a eu la naturalisation
Et est citoyen du pays mal-aimé
Cependant tu me vis dans cet état
J'oubliai ceux me tirant vers le bas
Tout tes désirs semblaient être des ordres
Tu as créé en moi un grand désordre
Maintenant tu forme et fait mon bonheur
Éruption de mes sens, tu me laisse en chaleur
De sorte que poète du mal j'oublie
Mon décasyllabe et toutes rimes
Pour te dire librement, je t'aime
Bonne lecture à tous
Un hoplite
Un hoplite vas guerroyer, le cœur léger
Sans savoir que sa mère, pour lui a prié
Cet Athénien avait une belle fiancée
Délicate, douce, parfaite, attendant un bébé
Une attaque Spartiate, sournoise, traîtresse, et vile
A eu raison de ce fort beau soldat gracile
La mère, effondrée, supplie Athéna, Arès
De lui rendre son fils, l’enlever des griffes d’Hadès
De son côté, la fiancée prie Aphrodite :
Je donne ma vie contre la sienne, il le mérite
La déesse, devant ce grand amour, prend pitié
Elle propose à la belle femme l’épreuve d’Orphée
Si tu meurs, ton bébé ne subsistera point
La femme, en enfer, ne trouve pas son concubin
Car il est à l’Elysée, gloire des guerriers
Elle sait qu’il n’en partira point, c’est assuré
Folle de chagrin, elle sort son couteau effilé
Et se suicide, car elle ne peut le supporter
Une larme
Devant une grande et si douce beauté
Qui m’a échappée, perdue à jamais
Je ne m’empêche d’étouffer une larme
Ce départ, si signifiant, me désarme
Belle, douce, ronde, délicate, mouillée, salée
Une larme peut être tant qualifiée
Une larme de chagrin d’un grand amour
Seras gravée sur la joue pour toujours
La Muse
La Muse, mère de l’inspiration des poètes
Reste en Olympe, avec ses sœurs, Zeus à leur tête
Mais elle sera toujours bienvenue dans mon cœur
Permettant d’exprimer les mots avec chaleur
Son art donne gaieté et courage aux hommes
Autour des rois ou d’une bouteille de rhum
Sa bénédiction vaut bien plus que les diamants
Mais seul peu de gens en sont réellement conscients
Liberté
Finement déclarée
Rappelant la beauté
Ephémère d’une vie
Elle est toujours ici
Des nations la combattent
Or ils disent « j’ai une foi »
Merde à leur sale minois !
De son lever à son coucher
Le soleil nous éclairera
De son coucher à son lever
L'obscurité nous cachera
Avec moi toute la journée
Tu subsistes dans mes pensées
Tu vaux plus que toutes les gemmes
Je t'aime
Aux yeux du monde nous le vivons au grand jour
Mais seule la nuit nous montre le vrai amour
Enlacés calmement, aimés sereinement
Entourés pour notre plaisir d'un doux drap blanc
Nous vivons sagement les feux de la passion
Éloigné de toi je sens ma désolation
En ton absence je trouve mes sentiments
Me sentant seul tel le guerrier loin de son clan
Avec toi je taille le jardin de l'amour
Jardinier enchaîné à sa tâche pour toujours
Il restait toujours en cherchant l'amour
Mais tout ce qui lui venait à l'esprit
Est un fleuve froid fuyant de Russie
Ses mots puissants étaient devenus lourds
Se sentant condamné à oublier
L'inoubliable feu de la passion
Il a eu la naturalisation
Et est citoyen du pays mal-aimé
Cependant tu me vis dans cet état
J'oubliai ceux me tirant vers le bas
Tout tes désirs semblaient être des ordres
Tu as créé en moi un grand désordre
Maintenant tu forme et fait mon bonheur
Éruption de mes sens, tu me laisse en chaleur
De sorte que poète du mal j'oublie
Mon décasyllabe et toutes rimes
Pour te dire librement, je t'aime
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