DeletedUser7036
Damoiselles, damoiseaux
Cette tribune pour partager quelques pensées versifiées (aucune nécessité de rythmer !), sous l'emprise de l'inspiration envoûtante, incoercible et même extatique...
Au gré de vos endophasies, quelques vers :
Qui n'eut jamais pleuré,
Hegel, lui-même, a succombé...
Un septième art, visionné.
Un quatrième art, écouté.
Un troisième art, contemplé.
Un deuxième art, caressé.
Éventuellement, adressés à un être vivant ou non, cher ou non : (@Blaise du Jura )
Un scientifique vécut dans le Jura,
Et apprécia tout particulièrement les feuilles d'acacias.
Il est possible de les consommer,
Mais tout de même déconseillé de les inhaler.
Il émit quelques imprécisions scientifiques,
Certes, l'acception de " prévenir " communique,
Néanmoins un signal ne se mua jamais en linguistique.
Ou encore, un petit texte :
L'anachorète descendit de sa grotte,
Pieds nus il marcha, et sans bottes.
Le regard au lointain, tourné vers les cieux.
Il afficha sur son visage, un sourire radieux.
Dans une autre vie, il embrassa le métier des armes.
Il connut alors, le chagrin, et les larmes.
Sur un champ de bataille, toujours il frappa l'ennemi,
Il préféra le constituer prisonnier, plutôt que de lui ôter la vie.
Si dans le regard de l'adversaire, il perçut de l'agressivité,
Une larme sur la joue, sans aucun état d'âme, il ne manqua de l'achever.
Ce passé lui revint, lorsqu'il entendit des félins se pourlécher.
Derrière les buissons, se cachèrent les carnassiers,
Il n'oublia point, son absence de crédulité.
D'un pas léger, il se rendit donc au nymphée,
Et sereinement, il s'abreuva, de toutes ses rosées.
Claires et laiteuses, d'un petit goût exquis,
Elles coulèrent sur lui, mais aussi en lui.
Damoiselles, damoiseaux, à vous maintenant, je vous prie...
Baron Stéphane, La Rochelle, vendredi 24 février 2017.
P.S. : Pensez toujours à parapher vos œuvres au travers un anthroponyme, un pseudépigraphe, un toponyme, une date... En effet, une trace numérique fait office de droits intellectuels !
Cette tribune pour partager quelques pensées versifiées (aucune nécessité de rythmer !), sous l'emprise de l'inspiration envoûtante, incoercible et même extatique...
Au gré de vos endophasies, quelques vers :
Qui n'eut jamais pleuré,
Hegel, lui-même, a succombé...
Un septième art, visionné.
Un quatrième art, écouté.
Un troisième art, contemplé.
Un deuxième art, caressé.
Éventuellement, adressés à un être vivant ou non, cher ou non : (@Blaise du Jura )
Un scientifique vécut dans le Jura,
Et apprécia tout particulièrement les feuilles d'acacias.
Il est possible de les consommer,
Mais tout de même déconseillé de les inhaler.
Il émit quelques imprécisions scientifiques,
Certes, l'acception de " prévenir " communique,
Néanmoins un signal ne se mua jamais en linguistique.
Ou encore, un petit texte :
L'anachorète descendit de sa grotte,
Pieds nus il marcha, et sans bottes.
Le regard au lointain, tourné vers les cieux.
Il afficha sur son visage, un sourire radieux.
Dans une autre vie, il embrassa le métier des armes.
Il connut alors, le chagrin, et les larmes.
Sur un champ de bataille, toujours il frappa l'ennemi,
Il préféra le constituer prisonnier, plutôt que de lui ôter la vie.
Si dans le regard de l'adversaire, il perçut de l'agressivité,
Une larme sur la joue, sans aucun état d'âme, il ne manqua de l'achever.
Ce passé lui revint, lorsqu'il entendit des félins se pourlécher.
Derrière les buissons, se cachèrent les carnassiers,
Il n'oublia point, son absence de crédulité.
D'un pas léger, il se rendit donc au nymphée,
Et sereinement, il s'abreuva, de toutes ses rosées.
Claires et laiteuses, d'un petit goût exquis,
Elles coulèrent sur lui, mais aussi en lui.
Damoiselles, damoiseaux, à vous maintenant, je vous prie...
Baron Stéphane, La Rochelle, vendredi 24 février 2017.
P.S. : Pensez toujours à parapher vos œuvres au travers un anthroponyme, un pseudépigraphe, un toponyme, une date... En effet, une trace numérique fait office de droits intellectuels !