Si Pâques m'était conté 10

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DeletedUser

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Il était une fois, une veille de pâques, une cloche nommée Nyreen était chargée de cacher des milliers d'œufs colorés. Malheureusement, sa livraison d'oeufs n'était pas arrivée et elle devait trouver à tout prix un moyen de les remplacer.
En virevoltant de droite à gauche, elle fini par croiser un lapin et une chenille qui jouaient aux cartes.
"Bonjour !" leurs lança t elle "Je m'appelle Nyreen, je suis la cloche de pâques, pouvez-vous m'aider, il faut que je trouve des œufs colorés à cacher pour les enfants demain". Les deux confrères acceptèrent et menèrent leur nouvelle amie vers un poulailler. La cloche de pâques jette un œil à l'interieur et appercoit une forme blanche, volante. "AAAAH !!! Un fantooome !!!" s'écria t elle. "Mais non !" dit le lapin, "c'est la poule que nous sommes venu voire".
Les trois amis firent donc part de leurs requete à la poule qui proposa d'utiliser ses œufs et de les peindre avant de les cacher. Tous prirent alors un pinceau et commencèrent leurs œuvres avec des couleurs jaune soleil, rouge fraise, bleu ciel, vert herbe fraiche...
Une fois fini, Nyreen prit tout les œufs et s'envola en parsemant les milliers d'œufs colorés à travers les collines en lançant un "Merciii les amis !!!"

Le matin se levait à peine, sur Nyreen, faisant perler l'humidité sur les fraises du potager.
Aux premières lueurs de cette belle journée, les chenilles s'étiraient lentement sur les feuilles, dessinant sur la verdure la carte de leur périple.
Malgré les cacottements des poules sous la fenêtre de ma chambre, je pouvais déjà entendre le carillon du village et ses cloches qui tintaient au loin, réveillant doucement nos habitants.
Réalisant subitement ce qu'était cette si douce journée, je m'extirpais brutalement de mon lit, sautais dans mes pantoufles et courais à l'extérieur, dans le jardin, pour tenter de surprendre
le Beau Lapin venu subrepticement déposer ses chocolats, comme chaque année !
Mais il était bien trop malin pour se laisser surprendre !!! Farfouillant dans tous les coins, ramassant les chocolats qu'il avait déposé au passage un peu partout,
il était parti aussi vite qu'il était venu, demeurant en mon coeur le fantôme de Paques !!!

Il était une fois dans un pays très lointain, un monde nommé Arendyll, une petit fille prénommé NYREEN devait traverser un bois enchanté pour retrouver ses grands parents pour le week-end suivant la fête du printemps.Ces derniers l'avait invité pour un week-end en lui envoyant une CARTE pour les rejoindre.
Plusieurs personnes disaient que ce bois était maléfique et que des FANTOMES emportaient les personnes le traversant. Mais Nyreen ne voulant pas perdre de temps à faire un grand détour se décida à entrer dans le bois en prenant son courage à deux mains.
Tout le long du sentier dissimulé autour des arbres et des ronces, Nyreen avançait tout en tenant sa poche fermement, il se trouvait à l’intérieur quelque chose de très précieux à son cœur qu’elle protégeait depuis fort longtemps. Elle avançait sans s’arrêter pendant deux bonnes heures jusqu’au moment ou elle douta et voulu rebrousser chemin, mais en se tournant elle s'aperçut que le chemin disparaissait au fur et à mesure de son évolution. Elle s'assit sur le bord du chemin et commença à sangloter, elle sortie de sa poche sa petite Capucine sa CHENILLE chers à son cœurs, sa meilleure amie et lui caressait le dos en lui chuchotant des mots. Lorsqu'elle voulue se remettre en chemin elle aperçut une clairière et décida d'y pénétrer.
Elle y trouva à l'intérieur de celle-ci un grand champ de pâquerettes avec des FRAISES des bois à profusion et une petit cabane en bois, elle stoppa sa route devant ces fruits et commença à les manger. Une fois le ventre plein, ne pouvant plus trouver son chemin, elle décida de se reposer dans la cabane. Elle dormis un bon moment du fait de cette marche et pour apaisser ces émotions. A son réveil se demandant comment elle allait retrouver son chemin et en cherchant au bord de la clairière elle trouva des petites graines, qu'elle s'empressa de planter pour voir le résultat de cette trouvaille.
Magique ou pas elle n'a pas compris pourquoi les petites graines a peine plantées avaient fait de merveilleuses plantes très grandes et bien pourvues en fruits. Elle reconnu ses fruits à leur odeurs, c'était des fèves de cacao et les façonna pour en faire du chocolat qui était brillant et délicieux. Malgré la présence de Capucine, elle se trouvait seule et décida de façonner le chocolat et différentes formes des POULES, des LAPINS, des œufs, des poissons et même une pièce en forme de CLOCHE. A la fin de la journée fatiguée par ce dur labeur elle s'endormit dans la cabane avec auprès d'elle Capucine.
Au petit matin, le chant d'un coq la réveilla, et a sa grande surprise en s'aperçut que certains des animaux qu'elle fabriquas la veille avait prit vie. Elle était contente d'avoir de nouveaux amis mais elle aimerait aussi retrouvée son chemin pour aller voir ses grand parents qui commençaient à s'inquiéter et avaient décidés d'aller à sa recherche. Un des lapins qui jouait avec elle, perdit l'équilibre et tomba sur la cloche qui se mit à carillonner. Ses grand parents en entendant cette cloche sonné se dirigèrent vers se bruit et retrouvèrent Nyreen qui retrouvait le sourire en les voyant. Ils restèrent dans cette clairière avec tout les animaux vivant et dégustèrent ceux qui était restés figés en chocolat.
La famille était réunis au milieu de ce champs de PAQUErette, et le miracle de PAQUES est né.

Alors que je me suis réveillé en ce jour de paque, le cœur en joie et après un bon petit déjeuner je prie la décision rapide d’entreprendre ma quête afin de trouver les œufs en chocolat et bien d’autre chose qui font notre bonheur.
L’espoir de voir la cloche était moindre la matinée était déjà bien avancée, je prie la carte que mon père avait dessiné et laisser sur la table pour cette chasse au trésor et parti rapidement dans le jardin.
Ma charmante voisine Nyreen avais sur moi une longueur d’avance elle avait déjà entreprise sa quête, je la saluais, je fis un point rapide sur ces découvertes espérant faire mieux et repartis rapidement
Enjambant les fraises pour ne pas les écrasés je fis ma première découverte, trois œufs énorme aux couleurs vive, est-ce la poule qui les aurais oublié, non bien sûr, c’est du chocolat, trêve de question continuons nos recherches.
J’avance encore et surpris je vis un mignon petit lapin qui s’intéressais de près a trois œufs tomber la, ma présence le fis rapidement fuir et je pouvais maintenant ramasser cette autre partis du trésor. À ma grande surprise le petit curieux n’était pas seul une chenille aux magnifiques couleurs avait pris elle aussi possession de mon bien, je l’ais prise et poser délicatement sur les fleurs voisines de cette belle découverte.Ma quête fus longue le trésor était bien plus grand que je ne l’espérais, toutefois une partis du jardin ne serais pas visiter, car l’endroit dons je parle est une horrible cabane cacher dans la verdure et vieille, j’ai toujours pensé qu’un fantôme si cachait j’ai donc stoppé la mes recherches et fait appel à mon papa qui m’a gentiment aider a terminé cette belle aventure qu’est celle de paques.
Enfin rentrer je pouvais raconter à ma maman toute les aventures vécu dans notre jardin et profiter pleinement de mon trésors.

Une fée et sa bonté

Il était une fois,une fée nommé Nyreen qui voulait faire plaisir au enfants du monde entier. Alors ,elle eut une idée géniale. Elle demanda a un de ses serviteurs Arwen la chenille d'aller voire la poule Agdid pour pouvoir y demander une faveur. Cela fait,Arwen amena la poule a Nyreen.
Celle-ci lui demanda: «Mon cher Agdid pouvez vous me rendre un petit service?»
Agdid: « Je ferai tout pour vous satisfaire ma reine »(et oui Nyreen est belle et bien la reine des fées et de la nature).
Nyreen:«Bien ,je vous remercie.Pouvez-vous faire des oeufs pour pouvoir les donners a tout les enfants du monde?»
Agdid :«ouf mais cest beaucoup trop a faire pour moi toute seul.Pourquoi ne pas demander au lapin fantôme de faire de beaux oeufs en chocolat?»
Nyreen:«C’est vrai que ce nest pas une mauvaise idée. Mais ou se trouve-t-il?»
Alors Agdid sortit une carte et une cloche et montra a la reine ou se trouvait le lapin fantôme sur cette carte.
Puis il dit:«Voici la cloche qui va vous servir a l'appeler quand vous serez rendu la-bas.»
Nyreen, reconnaissante,lui dit:«Je vous remercirait jamais assez pour tout ce que vous faite pour rendre heureux le monde.»
Alors sur cest mot il demanda a Arwen d'aller lui parler de son projet et que s'il était d'accord de venir la voir au chateau pour lui donner une usine pour pouvoir faire de bon chocolat.
Alors la chenille partit faire se que sa maitresse lui a dit de faire. Arriver a la petit clairriere,il vit un terrier.Alors il sut qu'il était arriver a destination, Donc il sortit la cloche et sonna 1 fois...rien.2 fois....toujours rien. 3 fois...Il entendit un petit bruit qui venait du terrier.Et tout d'un coup
un super lapin bleu sortit de la.
Le lapin:«Qui etes vous donc?»
Arwen dit alors:« Je suis le serviteur de la reine de la nature et je suis venu ici pour vous demander un service pour elle.
Le lapin:« Quelle est se service pour vouloir venir rencontrer un lapin Fantome comme moi?»
Arwen:« Cest de faire des oeufs en chocolats pour tout les enfants du monde.Et si voulez bien,
vous aurez une usine au chateau pour faire vos chocolats.»
Le lapin:« D'accord,mais jai une condition.»
Arwen:« Et quelle est-elle?»
Le lapin cria d'un air gourmand:« JE VEUX DES FRAISES.»
Le lapin avait crier cela tellement fort que les oiseaux se sont enfuis des arbres qui sont les plus proche.
Arwen:«Vous voulez juste des fraises. Alors la je suis bleuffer!Mais vous les aurez vos fraises.»
Le lapin:« Alors la.je vous adore!»
Arwen:« Aller venez nous allons aller voir la reine pour lui annoncer la bonne nouvelle.»
Cest alors qu'il partit pour revenir au chateau de la reine et sur le chemin du retour il acheta des plants de fraises pour le mettre dans le jardin du chateau. Arriver au palais ,ils allerent voir la reine et ils discutèrent
une bonne demi-journée au moin pour parler du déroulement de cette journée. Puis après de longue délibération sur le nom de la fete ,cest le lapin qui trouva le bon nom pour cette évenement:pâque.Cest pourquoi pâque existe maintenant et tout les enfants sont heureux.

"Dit papa pourquoi à pâques y'a des œufs au chocolat?
Je vais te l'expliquer avec cette excellent conte.
La poule Nyreen et Le Lapin.
La poule Nyreen avait de grande plumes de longues jambes, elle était belle mais elle ne pondait pas d’œuf.
Cette situation la peiné lourdement, si lourdement qu'elle décida de quitter le poulailler.
La poupoule courra jusqu'à un trou étrange.
-Qui avait bien pu faire une trou de cette forme et de cette taille ?, ce disait-elle.
Peut être le fantôme du coq ?, non impossible ce volatil est bien trop fainéant pour creuser même après sa vie terrestre.
La réponse lui apparue sous la forme d'un lapin mais oui un lapin. Qui avait dû lui picorer le ciboulo pour pas sans souvenir. Seul les lapins font des trous. Pourquoi ? Le lapin lui dit
-Pour piéger la chenil ,
-La chenil ?
-Oui la chenil a la cloche.
-Une chenil avec une cloche ?
-Toi du doit l'être pour ne pas le savoir.
-Pas la peine d'être moqueur, raconte moi.
Le Lapin s'exécuta [ papa sa veut dira quoi s'exécuta ], Le Lapin raconta,
  • On raconte qu'une chenil porteuse d'une cloche serait capable de retrouver la carte d'or emballé dans du papier d'alu. Carte créer par une vache et mis sous emballage par des marmottes.
  • Ton histoire est bien étrange mais je veut bien t'aider si tu m'aide en retour.
  • D'accord mais quel est ton problème ?
  • Je ne pond pas.
  • AH ah ! Bon marché conclu ramène ta fraise.
Nyreen suivi la boule de laine dans son repère. Le mammifère a longue dent lui dit
  • Toi qui picore, vas picoré lundi matin. Tu trouvera la chenil au fond de mon antre.
  • Je ferrai ça. Lui répondit-elle
Lundi matin poupoul picora picora et fini par attraper la chenil. Le ver au bec, Nyreen ramena cocochenil à pan-pan.
En fin d'après midi, poilu à oreille plus longue que celle d'un elfe fini par avoir cette carte tant désiré. Il donna la carte à Nyreen et lui dit :
-Mange cette carte et tu pondra.
La poule mangea et tout les ans le même lundi, nous entendons Pâques, poque, poque, Pâques !!! tout en voyant une poule pondre des œufs en CHOooCOooooLAaaT.
Depuis ce jour nous fêtons pâque avec des Kin, eu des œufs en chocolat."


La bête du Gé-vo-dents.

Trois cent mille habitants ! Comme à mon habitude lors d’une arrivée en ville, je m’extasiais face à la splen-
deur des bâtiments, de ses monuments, de chaque richesse que pouvaient me faire découvrir ses dédales de pierre et de pavé. Après tout, n’était-ce pas là le rôle d’un barde ? Bien sûr, pardi !
Mais hélas, pas cette fois. Cette fois-ci, c’était différent. Cette fois-ci, c’était stupéfiant. Trois cent mille habitants et que des fermiers ! Poules, cochons, vaches, chèvres... voilà ce qu’était le véritable trésor de
Bourg-Chapelle. J’étais abasourdi. Certes, il n’y avait rien de bien époustouflant à découvrir un simple village
de bonnes gens, mais l’on m’avait si ardemment conté l’histoire de l’effroyable bête rôdant dans la région près de la rivière du Gé-vo-dents, que je ne pouvais imaginer la Chose s’en prendre à de si modestes bâtisses.
Pas d’or à voler, ni de donjon à occuper... le bétail, peut-être ? Peut-être.
Ainsi me mis-je en route vers l’auberge du coin : « À la Chenille Gratinée ». Lorsque j’ouvris la porte, une agréable odeur d’épices et de viandes séchées me titilla les narines. Mon estomac remporta la victoire. Je
décidai non seulement de questionner l’aubergiste sur cette étrange bête mais aussi sur ce qu’il y avait au menu. Je m’avançai et découvris l’homme derrière son comptoir, l’air bourru à l’épaisse moustache.
— Salut, brave homme. Je ne vous dérange pas ? Interpellai-je de ma plus belle voix.
— Que non, l’étranger. Qu’est-c’que j’peux faire pour vous ?
— Eh bien, votre perspicacité vous sert à merveille ! Je viens d’arriver en vill... euh, au village. Je suis barde.
J’explore les horizons à la découverte de mystères pouvant être chantés.
L’homme me regarda perplexe, le sourcil droit froncé et la paupière inférieure bougeant nerveusement.
— Mystère ? L’seul mystère que j’connais ici, c’est c’foutues cloches d’l’hôtel de ville qui sonnent à pas d’heures ! Gildas parle des fantômes d’anciens carillonistes qu’auraient pas trouver la paix. J’lui en f’rai voir moi des fantômes ! J’vais vous dire...
— Cela me semble redoutable et intriguant, messire, mais je suis là pour une autre raison : la bête du Gé-vo-dents.
À ces mots, l’auberge se figea. Je sentis d’innombrables paires d’yeux me percer le dos. De toute évidence, la bête était un sujet tabou en ces lieux.
— Faut pas vous mêler de ce qui est pas bon pour vous, l’étranger, rétorqua l’aubergiste. Y a des choses dans c’monde qui vaut mieux pas fâcher. Z’êtes pas l’premier à vouloir l’courser, l’phénomène ! Nyreen, not’meilleur gaillard, il est parti voilà quatre jours chasser l’maudit bestiaux. On l’a pas revu depuis. Non... pas
revu, dit l’homme en hochant de gauche à droite du chef et en serrant sa toque entre ses mains.
— Hum. Eh bien je pourrais tout de même essayer ? L’académie des bardes ne nous forme pas qu’à la plume, mais aussi à l’épée.
— Comme vous voudrez, l’étranger, dit-il en soupirant. Mais va falloir vous préparer avant. Allez voir la vieille Maurane à l’entrée du village. Cette sorcière fripée vous préparera un r’montant pour la route.
Je remerciai l’individu et me contenta de faire demi-tour en silence sous les yeux en condoléances des clients. La dernière chose que je remarquai en sortant était l’absence presque constante de leurs dents. Bien que les indications de l’aubergiste restent vagues, je n’eus aucun mal à dénicher l’endroit. C’était une vieille bicoque à la lisière de Bourg-Chapelle qui peinait à rester debout sur ses fondations sans doute pourries. Une fumée noire jaillissait de la cheminée. L’espace d’un instant, je me croyais dans l’un de ces comptes pour enfant.
Je poussai la lourde porte grinçante et découvris un capharnaüm sans nom : des livres sens dessus dessous, des tables dans des dispositions improbables, des formes géométriques dessinées sur les murs qui ne ressemblaient à rien de connu. Si cette femme était bel et bien une sorcière, je ne voulais pas apprendre dans
quel art elle s’était penchée. Quand soudain, une ombre dévora la mienne. Je me retournai d’un battement de cil et rencontra mon hôtesse : une vielle dame aux cheveux gris tombant sur un châle usé.
— Cela vous arrive souvent de faire peur aux gens de la sorte ? Demandais-je nerveusement.
— Cela vous arrive souvent d’entrer chez les gens de la sorte ? Répondit-elle en arquant un sourcil.
— Pardonnez-moi, je n’ai pas pour habitude d’entrer chez les inconnus. En vérité, je vous cherchais. Je viens
de la part de l’aubergiste. Il dit que vous m’aideriez à trouver la bête du Gé-vo-dents.
— Encore un qui veut jouer aux héros... eh bien... allez, suivez-moi, dit-elle en s’approchant de l’âtre où reposait un énorme chaudron.
— Ça était plutôt facile de vous convaincre...
— J’ai passé l’âge de me battre contre des moulins, mon garçon. Si préparer une potion me permet de me vite me débarrasser de ta présence, qu’à cela ne tienne.
— Je vois.
La sorcière mélangea quelques ingrédients qui échappaient à ma connaissance. Toutefois, je perçus commeun arôme de fraise et de réglisse.
— C’est pour le goût. Sans quoi tu cracherais toutes tes tripes ! Ah ah ah !
Je remerciai ma bonne amie avec hésitation, rangeai la fiole dans ma besace et partis vers le nord-est, en direction de la rivière. Encore une fois, des dents manquaient à la vieille dame.
À l’aide de ma carte, je pus trouver le cours d’eau facilement. Un petit ruisseau aux reflets d’argents et aux courants pétillants. Jamais un pauvre diable ne pourrait se douter du danger qui rôde dans les parages. Ainsi je dégainai ma lame. Mieux valait prévenir que guérir. Et je me mis à longer l’eau un peu plus vers le nord. Mes pieds endoloris par ces trois quart d’heure de marche me suppliaient d’arrêter mais plus j’avançais plus le sol se mouchetait de sang. L’antre de la bête était proche ! Bientôt, je vis sa caverne et m’y plongeai sans hésitation. L’endroit était sombre et froid mais ma détermination était bouillante. J’entendis des bruits de succion lorsque je décidai d’allumer une torche pris avec moi. Là, devant moi, se dressait l’horreur insoute-
nable, la bête sans nom, le monstre du Gé-vo-dents... un petit lapin albinos.
— Par la barbe du maître-chanteur ! Je n’ai donc décidément aucune chance lors de ce voyage ! Grondai-je dans les entrailles de la grotte.
Mais alors que j’exprimais mon mécontentement, le lapin se dressa sur ses deux arrière pattes adorables et me bondit à la gorge. Doté d’une force incroyable, je n’arrivais pas à l’éloigner de ma jugulaire et priais les dieux de me venir en aide ! Le choc fut si violent qu’il nous propulsa au sol. Ses dents claquaient bruyamment en s’approchant inexorablement de ma peau. Je n’avais d’autres choix : empoignant ma lame je lui fis le coup du lapin grâce au pommeau ! La bête était morte, et moi épuisé. Revenu sur mon jugement, je m’enfonçai un peu plus dans l’antre, espérant trouver un quelque trésor. Ce que je découvris était cent fois mieux : des œufsfaits à partir de dents. Molaires, canines, qu’importe. Ces œufs de la taille d’un poing étaient une œuvreartisanale magnifique ! Je m’empressais d’en tenir un entre mes mains mais il glissa par inadvertance et se brisa au sol. De l’or ! L’œuf était rempli d’or ! J’en cassai un deuxième, pareil ! De l’or en ne plus quoi savoir en faire ! Je venais de découvrir un véritable trésor.
Il va s’en dire qu’après cela, je vécus comme un roi. Je bâtis mon propre domaine et y organisai fêtes et
chansons. Mais l’appel de l’aventure était en moi. J’avais ouï dire d’une région non loin où existerait, parait-
il, une poule aux œufs d’or... ah, qui sait !

Il était une fois un petit lapin qui se promenais dans la forêt , tout à coup il aperçois une petite chenille qui était assise tranquillement sur une fraise
elle contemplait l'orée de la forêt accompagné par le chant mélodieux des oiseaux , on pouvait entendre les cloches qui retentissaient au loin
- que regarde tu petite chenille ? s'éclame le lapin
- euh . je regarde en direction du village de Nyreen répondu la chenille
- pourquoi le regarde tu fixement ? demanda le lapin
- Parce que j'ai vu un petit fantôme s'enfuir avec une poule sous le bras en direction du village ! répondit la chenille
- il à même laisser tombé une carte avec un plan en s’enfuyant !
- mais pourquoi fuyait-il avec une poule sous le bras vers le village de Nyreen ?
- Parce que c'est pâques aujourd'hui et il était en retard pour la distribution des œufs tout comme toi !

Si pâques m’était conté !
Par un beau matin de pâques ensoleillé, Pompom le lapin curieux toujours en quête d’aventure, décida de sortir de son terrier pour aller se promener dans les contrés voisins. Il prit donc son baluchon qu’il avait préparé avec soin, contenant : Une carte du voisinage, deux jolies carottes, 5 fraises bien charnues et unepoule en chocolat que sa voisine Nyreen la lapine ; qui à l’occasion pour fêter pâques ; lui avait gentiment apporté le voyant près à partir bien équipé. Il se mit en chemin fièrement, respirant à pleins poumons le doux parfum de la nature en regardant avec plaisir, tout ce qui l’entoure. Après quelques enjambées, traversant, rivière et forêt, il entendit au loin, les cloches sonnées. « 12h !! » se dit-il ! « il est donc temps de s’arrêter pour manger ! ». Il s’asseye sur un tronc d’arbre que la tempête dernière avait couché, bien tranquille dans une clairière inhabitée. Pompom ouvre son baluchon et constate avec grand désarroi que son repas avait disparu !! Cherchant à en comprendre la raison, il déploie son baluchon et découvre avec surprise l’auteur de cet affreux chapardage ! Une petitechenille s’était malencontreusement glissée dans son baluchon et avait mangé tout son contenant ! Furieux et rouge de colère, Pompom écrasa avec rage et férocité la chenille au sol, comme pour se venger. Lorsqu’il souleva son pied, un étrange spectre s’éleva jusqu'à lui, c’était le fantôme de la chenille meurtri… Effrayé par cette étrange vérité, Pompom prit peur et regagna son terrier en un rien de temps en se jurant que plus jamais il sera aussi peu méfiant !

Conter une histoire sur Pâques... mmm.. voilà une tache plaisante qui nous avait été confiée en Elvenar.
Je m'y attelais donc sans plus attendre.
Installée devant mon pupitre, je rassemblais mes idées et me mis au travail.
Avant tout, Une plume ! il me fallait une belle plume. Un petit regard coquin en direction de la ferme voisine.. une rapide excursion.. quelques caquètements de poules affolées... et me revoici quelques heures et 2 balafres plus tard, plume en main prête à remplir ma mission.
De l'encre ! mais oui... je n'avais pas pensé à l'encre. Peut-être pourrais-je attendre que Nyreen s'endorme pour aller lui en chaparder un flacon ? non, elle me tuerait si je lui volais ses affaires !! et devenir un fantôme à mon age ne me tentait pas... Je préférais plutôt faire preuve de créativité !!
En allant chercher ma plume, j'avais vu que de splendides fraises bien rouges parsemaient le jardin. Hop ni vue ni connue, je repartais en visite dans la ferme voisine. Je débarrassais la plus belle fraise de la chenille qui en faisait son repas, puis croquais à pleine dent dans le délicieux fruit, et récupérais le jus bien rouge contre ma plume qui maintenant allait me permettre d'écrire avec une belle couleur flamboyante.
Ecrire... oui bien sûr mais sur quoi ... ? Je n'avais plus de papier. Après des heures de recherche dans mes vieux coffres, j'avais enfin trouvé.. je possédais une vieille carte d'Elvenar. "J'écrirai au dos de celle ci, ça fera l'affaire !" Me suis-je dit.
Enfin prête devant mon pupitre avec tout ce qu'il me fallait en main, je me mis à bailler. Je constatais que le soleil disparaissait déjà peu à peu de l'horizon. Toutes ces virées pour préparer mon matériel m'avait pris quasiment toute la journée !
Le délais se raccourcissait et je n'avais plus le temps de raconter correctement mon histoire..
Je fis donc sur le dos de cette carte, un joli dessin qui expliquait clairement comment les cloches distribuent des chocolats, tandis que les lapins organisent la chasse aux oeufs, et je signais bien amicalement d'un :
"Joyeuse Pâques à toutes et tous !!!"
 

DeletedUser

Coucou, il me semble qu'il y a deux textes n° 92

Edit : Ha non pardon, je n'ai rien dit :)
c'est un seul et même texte dans deux cases spoiler n°92
 
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