[RP]Après la guerre, le fléau.

  • Auteur de la discussion DeletedUser1740
  • Date de début
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

DeletedUser

Parmi les soldats envoyés pour suivre l'équipe de Fëanor, il en restait quatre : une elfe noire assez jeune (car empreinte de l'impatience et de la fougue de son âge), un nain dont les cicatrices indiquait les années d'expérience, 1 homme-arbre de nature excentrique et un gobelin à la mine patibulaire. Quand ces derniers découvrirent les corps des trois autres, il leur fallu peu de temps pour saisir ce qui était arrivé.

A priori, l'ennemi n'est pas au courant pour nous. Cachons ça et partons, dit le nain d'un ton bourru.

Ils dissimulèrent les cadavres derrière un buisson et, sans plus attendre, ils partirent à la poursuite de leurs cibles, redoublant de méfiance et d'attention. L'effet de surprise ne sera plus une stratégie suffisante pour venir à bout de ces assassins d'élite assoiffés de sang.
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser1843

L'harfeng des neiges revint rapidement lui dire ou se trouvait Aragorn, elle se dirigea d'un pas décidé vers la grotte ou il l'attendait...

Son message contenait également des informations inquiétantes compte tenu des dangers toujours plus grand qui les attendaient...

Après quelques heures de vol, elle arriva à la grotte, au moment ou Estrella demandait à Aragorn :

"sommes nous encore loin de l’embarcadère pour rejoindre l’île brecelian?"

oeuf-de-pc3a2ques-c2a9-senoldo-fotolia-com_.png

 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser1740

Le silence se faisais sentir. Le soleil disparaissais dans l'ombre de l'ouragan. Il regardait, inquiet, troublé par se phénomène. Ne faisans plus attention de se qui pouvais se dire autour de lui, Il cherchait une solution pour ne prendre aucun risque inconsidéré pour l'équipe dont il avait la charge, mais également celle de tout un peuple et différente race qui espérait en eux.
Il ne voyait aucune solution sans passer directement par cette tempête. C'était partir sur des mille et des mille avant de pouvoir revenir vers les embarcadères. Trop de temps de perdu et beaucoup de vie serais passé au trépas.
Sont visage se remplie d'amertume et de tension, car la charge commencait à lui peser.

Puis, toujours dans ces pensées, Dame Estrella s'approcha de lui sans qu'il n'ai pu l'entendre. Il fut surpris sur le coup lorsqu'il entendit sa voix:

"sommes nous encore loin de l’embarcadère pour rejoindre l’île brecelian?"

Il lui sourit et cette providence le fit revenir à la réalité du moment.

Pardon Dame Estrella, j'ai était un peu surpris, je ne vous est pas entendu vous approchez. L'embarcadère !!!

C'est une très bonne question, que vous me posez. Car en temps normal, je vous aurez dit, tout au plus deux jours.

D'un coup, toute l'attention du groupe se porta sur lui, l'explication se devais d'être clair, sans embrume afin de ne pas faire perdre la raison. La mission s'avérait être déjà des plus difficile à assumer, alors il fallait peser ces mots.

Mais là, regardais ceux ciel, regardais cette ombre qui s'approche de nous. Nous n'aurons pas le choix mes amies. Nous allons devoir prendre le courage ensemble et faire face à cette tempête. Pour vous répondre Dame Estrella...

Topaze arriva du ciel pour venir se poser non loin du groupe. Il là reconnu aussitôt et son cœur se réjoui, car c'était, enfin compter sur une personne de plus pour la mission des plus périlleuse qui aller tôt où tard arriver sur le groupe. Il se leva et la salua de tête, car tous attendais son explication et donc repris le cours de ces pensées.

Excusez moi les amies, je reprend. Je disais donc, pour prendre les embarcadères, avec cette ouragan devant nous, cela devrais nous prendre 3 à 4 jours si tout vas bien. Nous allons être sacrément ralenti et qu'est-ce qui nous attend à l'intérieure en plus ??? Je ne le sais, mais mieux vos être prêt à toute éventualité que pas assez.

Mais j'ai comme un mauvais préssentiment d'être suivi. Je n'ai encore rien vue de suspect, mais quelques chose ne vas pas, resté donc prêt à agir a tout moment. S'il n'y a pas d'autres question, alors, nous pouvons y aller. En route, et que la chance soit présent pour tout un chacun...
 
Dernière édition:

DeletedUser

La jeune elfe s'impatientait. Cela faisait des heures qu'ils guettaient la troupe, parfaitement camouflés par le paysage. Ils avaient l'habitude.

- Qu'est-ce qu'ils racontent? Aller, dis ! ça fait vingt minutes que j'attends! pesta-t-elle, impatiente.
- Ferme-la, j'arrive pas à me concentrer, répondit froidement le gobelin, l'oeil collé à sa longue vue.
-Dis-moi de me la fermer encore une fois et je t'étripe... lança-t-elle avec agressivité, une lueur sinistre naissant dans ses yeux vermeils.

Le gobelin retira son oeil de la lentille et porta un regard menaçant à la jeune elfe:

-Ah oui? Je me demande qui étripera l'autre en premier...

Le nain d'âge mûr intervint, le regard menaçant :

-Vous allez la fermer tous les deux. Si la mission confiée par Dame Evy échoue à cause de vous, vous le regretterez amèrement.

Le ton de sa voix laissait entrevoir qu'il était sérieux. Il avait beau les regarder d'en bas, sa présence et l'aura qu'il dégageait imposaient le respect. C'est pour cette raison qu'Evy lui avait confié le commandement de cette mission. Les tensions s'apaisèrent immédiatement et chacun reprit l'attente. Soudain le gobelin réagit :

-Un nouvel arrivant. Une femme. Elle est venue par les airs. Une elfe, sûrement, je ne peux distinguer clairement ses oreilles, elle porte une capuche. L'humain qui semble être le chef de troupe parle d'embarcadère, et de la tempête qui se profile.
-Bien. Ils vont sûrement jouer la carte de la sûreté, c'est à dire qu'ils attendront la fin de la tempête avant de repartir. Nous allons faire de même et prendre un peu plus de distance. Il ne faudrait pas être démasqués, c'est trop tôt. Notre atout est l'effet de surprise, gardez ça à l'esprit, annonca le nain.
-Bien, répondirent-ils.

Le nain s'éloigna prendre du repos, c'était son tour. L'homme-arbre prit la parole pour la première fois depuis le début de la conversation, jetant un sourire goguenard aux deux autres :

-Et bin, il a le don de réunir les coeurs, ce cap'taine.

Ce à quoi l'elfe et le gobelin répondirent en lui jetant un regard noir.
 

Thorondhor

Élève assidu
.Il regarda autour de lui les corps inanimés qui gisaient à terre. une semaine déjà qu'il suivait là piste des gobelins espions. On se rapprochait beaucoup trop à son goût des ruines de Bruünen, forteresse de sinistre réputation, qui avait été le repaire d' un nécromancien pendant la Guerre desÎles, trois siècles plus tot. Les mots de l'orc lui revenaient à ol'esprit et il n'avait pas du toutl'impression d'un bastion abandonné... La troisième sentinelle qui tombait sous sa hache en moins de deux heures... La curiosité dominait la peur. Il devait savoir.
Qui vive? Sans répondre il contourna la crête et arriva rapidement derrière un elfe qui, surpris, fut promptement mis hors de combat. Des mois d'errance ajoutés au dur entraînement de la guerre en faisait un guerrier hors pair . Il arriva finalement à un tumulus. De là partait un sentier qui descendait vers de sombres portes de bronze . Mais plus loin un à-pic surplombait une cour où une femme aux yeux flamboyants exhortait des êtes venus de tou horizon , ramassis de tous les réprouvés,, semblables a lui même. Le discours passionné le fascinait. Nul n'avait jamais parlé aussi devant lui de la sorte, et ces mots semblaient être prononcés pour lui. Evy. C'était elle. L'orc pouvait bien être mort pour elle. Il aurait fait de même si il avait eu une telle souveraine. Reine parmi cette misère et cette force, elle aurait eu autant de puissance et de majesté n'importe où. Il devait se faire violence pour ne pas semettre à clamer son enthousiasme..... Malgré sa répulsion pour les êtres qui restaient des ennemis issus de peuples sauvages et haï.
Songeur Il la regarda s' éloigner. Le lendemain et tps les jours qui suivirent il se contenta d' observer son royaume aux âpres moeurs, et il constata qu'elle avait bien plus de chances que lui de réussir dans cette quête. Alors qu'il y Songeait une brutale chute de pierres le fit se retourner. Une trentaine de gardes patrouillaient. Il se cacha, mais trop tard, il était réopéré, cerné. Il se battit comme une tornade. Il ne cherchait cette fois plus à tuer, pensant qu'ils essayeraient peut être de le rallier à eux. Mais de plus c'étaient des troupes d'élite... Enchaîné sans un seul instant de pourparlers, il ne vit jamais la dame Evy, qui partait au moment même pour l'île... Presque mort, il étendait sa main vers la pierre qu'on lui avait laissé à la ceinture, mais en vain. Il ne se passa rien. Alors il se coucha sur le sol, attendant la mort.
 
Dernière édition:

DeletedUser1811

4 jours... le temps pressait et la tempête qui se profilait les ralentissait. c'était intolérable pour estrella, aussi quand aragorn eu fini ses explications elle se leva et regarda le ciel histoire de se détendre, elle pouvait deviner les étoiles dans sa tête et cela la rassérénait toujours....

revenu parmi les autres, elle salua topaze contente de voir une nouvelle tête qui affronterai les épreuves avec eux
elle fit son paquetage , le mit sur le dos et quand tous furent prêts ils partirent en direction de l'embarcadère avec le plus de discrétions possibles , estrella sur le qui vive avec son arc et ses flêches a portée de main...
 

DeletedUser1740

La situation devenais de plus en plus dramatique. Malgré les conseilles et la prudence que chacun prenais, la tempête devenais de plus en plus virulent. La situation devenais de plus en plus dangereuse.
Tous était recourbé par le vent rugissant, par la pluie de plus en plus dru et intensive. Tous était trempé jusqu'aux os tellement la pluie frappé sans cesse. Des flaques d'eau qui devenais de petite nid de poule et qui grandissait sans cesse à ne plus savoir où poser les pieds.
Cela devenais vraiment difficile et inquiétant. Pourtant, il fallait avancer contre vents et marré. Une pensée aller vers Kalhan, qui avais disparu depuis leur départ. Il ne savait où elle se trouvait, car malgré sa qualité de Rodeur, il n'avait vue aucun signe d'elle. Il n'en était pas pour autant inquiet, car il là connaissait et savais qu'elle était expérimentait.
Il s'arrêta un petit moment, afin de voir où ils en étaient. Il regarda derrière lui et vit que chacun faisais ce qu'il pouvait contre cette situation, puis inspecta autour de lui, ne voyant pas plus de trois pas devant lui, rien à y faire, la situation n'était pas bonne. Il reprit le chemin tant bien que mal et s'embla entendre un bruit. Il s'arrêta de nouveau et demanda en se retournant:

Avez-vous entendue quelques choses ???
Cela étant posé avec crie, car on entendais presque rien avec cette tempête. Etait ce dû au vents, à la pluis, où autres choses de bien plus inquiétant ??? ...
 

DeletedUser

Quelle plaie, cette pluie! Grogna le gobelin.

Tais-toi et avance, imbécile! Si on les perd, ce sera de ta faute, pesta l'elfe, dont la peau anthracite faisait ressortir le rouge de ses yeux.

La pluie est l'essence de toute vie mes chers amis! Mais, dites moi, est-ce la beauté de ce phénomène qui fait naître tant de romantisme en vous? Je vais devoir vous surveiller de près, oh oh ! dit l'homme-arbre, d'un ton coquin.

Pff, j'vais le tuer lui aussi.... soupira l'elfe.

Le gobelin, quant à lui, se contenta de cracher par terre. Ils filaient depuis des heures leurs proies, et même si en apparence ils semblaient s'égarer facilement, ils étaient comparables à une horde de félins, ondulant sans bruit dans la végétation, traquant leur proie avec une soif de sang qu'ils savaient contenir à la perfection. Ils pourraient lui laisser libre court bientôt, et pour rien au monde ils ne se seraient trahis, ce serait un tel gâchis ! Le nain les fit s'arrêter. Il parlait peu et se contentait d'aller à l'essentiel quand il le faisait.

L'homme à leur tête devient plus vigilant. Séparons-nous en deux, et longeons les des deux côtés. La traque prendra bientôt fin.
A ces mots, un sourire carnassier se dessina sur les lèvres de chacun. Oh oui, quelle soif de sang ...
L'homme-arbre et le gobelin partirent de leur côté, tandis que l'elfe et l'homme continuèrent leur chemin.


Pendant ce temps, Dame Evy revêtait ses habits de dirigeante, à savoir une tunique de cuir et de tissus dans les tons de ces nuits obscures et inquiétantes qui glaçaient les os, relevait ses cheveux noirs de jais en chignon évasé et fou, lui donnant l'air plus dominatrice que jamais. Elle sourit à son reflet, brûlant d'enthousiasme pour le départ prochain de ses troupes, en direction des îles. Mais ce n'était pas tout. Le dernier message reçu de sa troupe d'élite qui suivait nos "élus" portait de fameuses nouvelles. Le sang coulerait bientôt, elle devait bien ça à son armée! Une fois prête, elle partit en direction de la passerelle où quelques jours auparavant elle avait tenu son discours. Aujourd'hui, elle allait en tenir un nouveau, encore plus poignant, plus puissant que jamais. Elle avait même prévu un sort d'amplification, qui allait permettre à toute vie dans le fort d'entendre sa voix. Il était temps. Elle passa l'entrée qui menait à la passerelle, l'air plus radieux et cruel que jamais. Les griffons étaient prêts, le dirigeable aux couleurs du ciel, était prêt; seul les troupes attendaient, silencieusement, les mots de leur déesse.
 

Thorondhor

Élève assidu
C'est tout ce qu'il entend, bruits de pas, bruits de chaînes...
Au loin la tempête et l'océan se déchaînent!
Furieux assauts qui montent et la mort entraînent!

Evy l'enchanteresse,
Reine en sa forteresse,
Semble seule maîtresse...

Ils s'élancent les preux héros,
Vers ces rivages ancestraux
Sauront-ils vaincre le fléau?

Ainsi clamera le skalde qui dira la saga d'Aragorn et de ses compagnons, ainsi chantera l'aède quand il scandera l'épopée de Bruünen...

Mais pour l'heure,
Pour Thravalgur
Qui se meurt,
Le temps trop dure

Il sentit une main se poser sur son front brûlant et meurtri. Il n’ouvrit même pas les yeux, il n’en avait pas la force. Cette main n’était pas rude, mais compatissante. Un murmure, qui ne semblait pas rompre le silence de la geôle obscure où il s’était crut seul à mourir, mais en naître, lui parvint, indistinct…


Qui es-tu ? Que fais-tu ici, toi, un nain ? Pour être dans cet état, tu as dû faire quelque chose de grave, ou résister trop longuement à ceux qui t’arrêtaient.

Il ne pouvait seulement répondre. Le seul fait de respirer déchirait sa poitrine. L’autre attendait. Puis, il parla à nouveau.

Tu ne réponds rien. Ne bouge pas. Laisse-moi essayer de te soigner.

Cette voix presque éteinte à force d’être dans le silence sonnait étrangement. La langue des Nains, oui, mais dans une bouche humaine ? L’autre se penchait, et commença à écarter le manteau couvert de sang et de boue qu’il tenait serré autour de lui. Alors, il poussa un cri étranglé : il venait de voir la Pierre, à sa ceinture. Il la reconnaissait. Et l reconnut le Porteur.

Thravalgur le Maudit ! Dans les cachots de Bruünen…

Néanmoins, malgré son saisissement, il n’essaya pas moins de le soigner, du mieux qu’il pouvait. Thravalgur, lui, était dans un état d’inconscience quasi-total, quand une lumière fulgurante remplit la pièce.
 

DeletedUser426

Après l'inactivité de ce sujet, je ferme et j'archive celui-ci.
N'hésitez pas à me contacter pour une possible réouverture. ;)
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
Haut