Liste des participants concours écris de l'Amour

  • Auteur de la discussion DeletedUser426
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DeletedUser426

Après une période d'écriture sur le thème de l'Amour, découvrons ce que nos participants ont à nous offrir.
Bonne lecture... Ensuite, voter pour vos trois écrits préférés.

Ci dessous, un sommaire. (Vous pouvez cliquer sur le titre d'une histoire pour vous diriger vers celle-ci).

SOMMAIRE :

- Écrits du Thème N°1 : Lettre d'Amour :

* Écrit N°1 : Lettre d'Amour N°1

* Écrit N°3 : Lettre d'Amour N°2
* Écrit N°5 : Lettre d'Amour N°3
* Écrit N°10 : Lettre d'Amour N°4
* Écrit N°13 : Lettre d'Amour N°5
* Écrit N°16 : Lettre d'Amour N°6
* Écrit N°17 : Lettre d'Amour N°7
* Écrit N°21 : Lettre d'Amour N°8

- Écrits du Thème N°2 : Poème d'Amour :
* Écrit N°2 : Poème d'Amour N°1

* Écrit N°4 : Poème d'Amour N°2
* Écrit N°7 : Poème d'Amour N°3
* Écrit N°8 : Poème d'Amour N°4
* Écrit N°11 : Poème d'Amour N°5
* Écrit N°12 : Poème d'Amour N°6
* Écrit N°14 : Poème d'Amour N°7
* Écrit N°15 : Poème d'Amour N°8
* Écrit N°19 : Poème d'Amour N°9
* Écrit N°20 : Poème d'Amour N°10

- Écrits du Thème N°3 : Histoire d'Amour :
* Écrit N°6 : Sur le parvis de Notre-Dame

* Écrit N°9 : Derrière les masques de Mendaci
* Écrit N°18 : L'amour fusionnel de Black Widow & Burukbrak


Rappel : Le sondage se déroulera jusqu'au Dimanche 25 Février 2018 à 22h30.

* Vous pouvez voter pour vos trois écrits préférées tous thèmes confondus ;)
* Je vous conseille de lire les version PDF & les affiches pour les textes qui en possèdent un !

Lien du sondage >> https://fr.forum.elvenar.com/index.php?threads/concours-écrit-de-l’amour-discussions-sondage.13919/
 
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DeletedUser426

Écrit N°1

"Bonjour Noble et Gente Dame de mes pensées !

Il n'est de jour, qui se lève, sans la douce arrivée, dans le maelström de mes idées matinales, des sentiments qui ne me guide vers vous. Tout mon être est impatient de se précipiter dans la virtualité qui est nôtre pour échanger avec ferveur par le truchement de nos claviers et écrans.
Certes, ils s'interposent entre nous comme un mur infranchissable. Néanmoins, ils constituent aussi ce qui nous a permis de nous lier. Tout cela est, à certains égards, extrêmement frustrant et à la fois tellement romantique.
J'ignore tout de vous ou presque ! Et pourtant, une petite étincelle insignifiante et totalement anachronique à enflammer nos imaginaires et réveiller en moi (comme en vous je l'espère) des émotions qui me paraissaient effacés de mon existence.
Au pays d'Elvenar, où la virtualité est reine, nos chemins se sont croisés. Cette rencontre, totalement improbable dans le monde réel, a fait naître une idylle aussi incongrue qu' insensée difficilement concevable pour tout être rationnel.... Et pourtant, il est tout aussi impossible de nier l'existence du brasier qui nous consume.
Oh, je vois et lirais d'ici, bien des quolibets et commentaires narquois, sur cet amour platonique qui nous anima, anime et animera le fil des jours écoulés, présents et à venir. Quoi, tout cela ne serait que folie et fantasme ! Mécréants et envieux passés votre chemin, laissez-nous savourer notre félicité dans la bulle virtuelle que nous avons créée.
Ma mie, ce monde nous appartient et nul ne peut nous le prendre, ni même y pénétrer. En effet, la Vie, la vraie, celle du quotidien matériel qui nous enchaîne, n'est elle-même qu'un rêve ou un cauchemar selon le regard que nous en avons. En quoi, notre Amour serait-il plus irréel que la réalité ?
En ce jour de Saint Valentin, fête de tous les amants, il me faut crier à la face du monde réel et virtuel la puissance de l'amour que je vous porte et m'incliner à vos pieds, vous qui êtes aujourd'hui la déesse de mon cœur. "
 
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DeletedUser426

Écrit N°2

Souvent, l'aube me trouve pâlie
quand loin de vous mon tendre et cher
poussée a vivre en ce désert
ou tout bruisse, tout bouge et crie

Ah, loin de vous mon tendre et cher
ne suis-je donc qu'une parmi
des millions d'autres dont se rit
Destin qui contre nous opère ?

Et enfin, quand il m'est permis,
dans vos ruelles souvent j'erre
et me soutiens de vos mystères
quand, loin de vous, je suis, ami

Tant je suis loin de toi, mon lit,
loin de tes draps, loin de ton aire
que mon esprit se perd, pauvre hère,
pensant aux heurs où l'on s'unit

La première fois, tu t'es ouvert
Ah ! comme, enfin, j'ai bien dormi !​
 
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DeletedUser426

Écrit N°3


Chère Amie,

Aujourd’hui, je me sens prêt à vous ouvrir enfin mon cœur et ainsi déclarer ma flamme. Trop longtemps, j’ai tu en moi ce sentiment de peur qui me blesse, m’empêche de vivre, mais je me rencontre qu’en fait, je faisais fausse route. Comment un tel sentiment est né, je l’ignore.
Seconde après seconde auprès de vous, minute après minute passé à vos côtés, heure après heure à être prés de vous, jour après jour à vous contempler, nuit après nuit à rêver de vous, mois après mois à vivre près de vous, c’est sans doute comme ça que ce sentiment est né, bien malgré moi, je l’ai nourris, je l’ai vu grandir, poussé tel une plante vivace, vous voir, vous sentir, vous frôler, vous parler même si le plus souvent mes mots se bousculaient dans ma tête sans jamais sortir dans l’ordre. Je me rends compte au combien j’ai dû vous paraître stupide, bête ou même niais… Sans saveur bref un être fade sans intérêt. Non, je ne suis pas de ces êtres-là, vous m’intimidiez, voilà tout.

Je prends ma plume pour me déclarer et vais tenter, loin de vous, loin de votre présence, loin de votre regard, de vous avouer enfin mes sentiments, de ce qui en moi brûle mon âme, réchauffe mon cœur, fais que je souris à la vie, à la nature, à la faune comme la flore. Tout ce que je vois autour de moi me parle de vous, le ciel bleu, c’est la couleur de vos yeux, le soleil brille, c’est votre sourire qui vous illumine, le chant des oiseaux, c’est le son de votre voix, la musique de la cascade, c’est votre rire que j’entends, tout me rappelle à vous, les champs de blé ondoyant sous la brise du vent, c’est vos cheveux flottant sous le souffle d’Eole. La lavande, le romarin, le thym, la coriandre, etc. C’est votre parfum, votre fragrance que je perçois même si l’arôme de votre peau est bien plus subtil que ces plantes. Une musique à la radio, une comédienne à la télévision, une actrice au cinéma et c’est à vous que je pense, vous m’obnubilez à un point que vous ne sériais imaginer. Mes jours tout comme mes nuits sont toujours tourné vers vous. Votre présence, votre silhouette, votre entrain, votre humour, votre intelligence, votre sensualité mon émue au plus haut point, de mon premier regard sur vous, je me suis épris de vous. Ne pouvant plus lutter, je décide de m’abandonner pleinement et voluptueusement à ce sentiment.

Tout d’abord sous forme de poèmes, mes mots se sont dévoilés sans que vous doutiez que ce fût pour vous qu’ils étaient écrit, destinés. Oui, ces textes sont nés, car je pensais à vous, tout ces poésies même ceux qui parle point d’amour, vous étiez mon inspiratrice, ma Muse, j’ai lu avec plaisir vos interventions dans mes écrits, et même mis plus d’une fois à rêver d’une rencontre entre nous. Il est peut-être bien présomptueux de ma part de vous appeler chère amie comme je l’ai fait au début de cette lettre, mais je n'allais pas dire, écrire inconnue au lieu du mot amie. Et si je devais résumer le tout en quelques mots, ce serait alors juste par ces mots banals, bien trop direct et plat tellement de fois par le monde, ils sont prononcés : je vous aime.

***********
 
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DeletedUser426

Écrit N°4


Ma Provence


Le chant des cigales presque assourdissant,
Vient ce matin remplacer le sifflement du vent,


Un rideau d’or et de miel a recouvert les parcelles,
Les blés mûrs font à présent appel ;


Ils ont pris cette couleur caramel,
Tels les tournesols en rythme avec le soleil,

Qui offrent au regard une terre d’or et de feu,
Que rien n’égale sauf, Provence, la beauté de tes lieux ;


Celui de tes champs de lavande odorante qui entêtent,
Venant adoucir de leur teinte bleue violette,

Ta terre trop ardente en cette fin de saison,
Sans cesse harassée par l’horaire des moissons ;


Senteurs de romarin, de laurier, de mimosa,
Et tes oliviers s’enracinant tout là-bas,

Face aux bourrasques du vent qui entête,
Répétant à tue-tête, qu’ici : c’est lui le maître ;


Pourtant ton soleil n’a pas dit son dernier mot,
Ses rayons, à présent, viennent renforcer les rameaux,

Faisant miroiter marres, torrents et rivières,
Réchauffant, des sentiers de passage, le sol et la pierre ;


Quand en ce soir de fin d’été brûlant,
L’azur de ton ciel se couvre d’éclairs d’argent;

Et gronde à l’horizon la foudre qui éclate,
Promesse d’eau de pluie, sur toi : ma terre de cœur écarlate.


Alors oui, Provence, de contrastes tu m’as façonnée,
A ton image, qui sait, comme pour me mieux me garder.

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DeletedUser426

Écrit N°5

Cher Seigneur-Aigle, aujourd'hui, je t'adresse ce message en passant par la poésie, unique moyen, selon moi, de te faire part de mes sentiments.


L'Ange d'Elvenar:

J'ignore si ce que j'éprouve pour toi est de l'amour.
Tous ce que je sais, c'est que j'ai appris à t'aimer jour après jour.
Je t'ai pourtant jamais vu, je n'ai jamais entendu ta voix.
Mais c'est sur ce Forum que je me suis attachée à toi.

Tes paroles sont celles d'un Ange qui fait battre mon cœur.
Se pourrait-il seulement que tu soit mon âme-sœur ?
Parfois, je rêve que je m'endors dans tes bras.
J'aimerais tellement te voir, rien qu'une fois.

J'ignore si je suis amoureuse.
Tout ce que je sais, c'est que quand tu es là, je suis heureuse.
Je ne réclame pas un baiser, pas même ta véritable identité.
Tout ce que je veux de toi, c'est savoir si tu saurais m'aimer.

Où que tu sois en Elvenar, je percerais ce mystère.
Celui d'une énigme, d'un inconnu.
Un être que j'aime en ne l'ayant jamais vu.
Pour toi mon Elvenarien, je remuerais ciel et terre !
 
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DeletedUser426

Écrit N°6

Sur le parvis de Notre-Dame


Mon Emeraude,


J’ignore si cette lettre te parviendra un jour, mais j’ose croire que mes mots sauront traverser toutes les frontières qui nous séparent.

Je te revois encore ce matin là, montrer tes talents au bord de la Seine. J’ai laissé trois pièces dans ton bol en bois, mais j’y aurais laissé mon âme. Les trois jours suivant, je t’observais à ce même emplacement. J’étais jaloux de tes sauveurs plus fortunés, qui admiraient le même spectacle que moi. Quand sonnaient les coups de midi, tu allais sur le marché, acheter deux petits pains et du raisin. Au huitième jour, tu n’étais plus là. Ce n’est qu’au douzième que je te vis enfin réapparaître. J’avais tant souffert de ton absence, que je m’étais précipité pour t’offrir, en plus de mon cœur, tes denrées de la journée. Je n’oublierais jamais, ce sourire bandit. Je compris, que tu ne pleurais pas ta pauvreté, comme moi j’ai pu le faire. Mais tu t’en nourrissais.

De nos balades nocturnes au bord de la Seine, à nos déjeuners sous les ponts, chaque moment passé à tes côtés, aussi rares qu’ils pouvaient être, me firent me sentir davantage vivant. Tantôt je volais le raisin, tantôt tu m’offrais un petit pain. A la tombée de chaque nuit, tu t’éclipsais sans crier gare, faisant tinter tes bracelets tel un au revoir. Chacun de tes départs n’en était pas moins sinistre et déchirant. Tel un vaurien lamentable, je guettais ton retour, assis sur le parvis de Notre-Dame. Je souffrais de peur que tu ne m’abandonnes, mon bonheur ne dépendait que du tien. Tu me parlais de ce chez-toi lointain que tu ne connais pas et moi, du mien que je ne connais que trop bien. Secrètement, en ton absence, je rêvais d’un chez-nous, ni là-bas, ni ici.

Tu demeureras le plus grand mystère qui m’a été donné de découvrir. Avec le temps, tu as changé. Tu ne me quittais plus. Cette nuit là, tu es restée et j’ai compris, que ton cœur m’appartenait.

Bien plus belles que la rue sont les choses que tu mérites. Et c’est pour t’offrir plus que je te quitte. Ni toi, ni les autres, ne devraient se contenter de simples raisins ou bijoux volés. La vérité pourtant, j’aurais dû te la dire... Comment diable avouer à une bohémienne, ma hantise de la pauvreté et ma haine des fortunés ? Tel est le combat que je mènerai chaque jour, pour l’honneur du peuple des rues.

Je retourne à mon Angleterre natale. En embarquant à bord de ce navire, il y a quelques mois, je n’avais jamais songé vivre cette aventure à tes côtés. Simple orphelin des forêts, c’est à Paris qu’en te trouvant, je me suis enfin trouvé.

Mais c’est à Sherwood qu’est ma place. Mon cœur saigne à l’idée de te quitter. Jamais je n’oublierai ton nom, ni ton image et encore moins ta jupe mouvante sur le parvis de Notre-Dame. Je n’ose pas espérer que tu me suives, c’est toi, l’Andalouse des rues, par ta bonté, et ta générosité, qui est l’âme de cette ville. Je pars devenir celui que j’ai toujours voulu être.


Ma douce Esméralda, sache désormais, que tu as aimé celui qu’on nommera Robin des Bois.
 
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DeletedUser426

Écrit N°7


Paradis

Tu as été mais n’es plus…
Tu as joué et perdu.

Je t’ai pleuré comme jamais,
Je suis à la limite de t’envier…

Tu nous regardes de là-haut,
Tu dois bien te marrer…

Je reste ici pour « Je » « Tu » « Ils »
Je suis là en attendant mon exil.

Tu nous manques,
Tu nous hantes…

Mon neveu, tu es au paradis,
Mon dieu, prend bien soin de lui…

Axel, je t’aime.​
 
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DeletedUser426

Écrit N°8

D’un regard vers toi tu m’apaises, ton pouvoir sur moi est sans limites.
Je reste dans ton sillage pour mieux apprécier ton odeur subtile, et me fondre dans tes pas.
D’un geste tu me retiens , d’un mot tu me soutiens et d’un coup d’oeil tu me comprends.
Tu sais la force de mon amour, fille d’Elvenar, prénommée Ormaline, et tu en joues parfois. Tu me sais tout à toi et pourtant tu me fuis souvent.
Il me faut alors te reconquérir, te poursuivre sans fin dans les brumes elvariennes pour mieux te retrouver.
Ton sourire est alors ma récompense à cette quête sans fin.
Jusqu’où irons-nous pour prouver notre amour ?
Devrais-je te suivre dans les hauteurs éternelles, là où parfois on ne revient jamais ?
Nous perdrons-nous dans les sentiers magiques des forêts anciennes ?
Jusqu’où me laisseras-tu te suivre Ormaline ? Jusqu’où me laisseras-tu t’aimer fille d’Elvenar ?
 
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DeletedUser426

Écrit N°9

Derrière les masques de Mendaci

Le Docteur était sonné après l’atterrissage forcé de son TARDIS. Quelque chose s’était passé,
mais quoi. Ouvrant lentement la porte de sa cabine téléphonique bleue, il jeta un oeil à
l’extérieur. Au loin, un grand parc avec une belle fontaine entourée par de la végétation et
des escaliers formant une scène, où des musiciens jouaient du violon, de la harpe et
chantaient, devant des inconnus qui dansaient. Ils étaient tous vêtus de vêtements
somptueux et de masques.

Refermant la porte, le Docteur fouilla dans une malle pour en sortir des vêtements venus de
Venise à une époque où les bals masqués étaient populaires. Déguisé pour se fondre dans la
masse, il quitta le TARDIS.

Certains des invités s’étaient mis à l’écart dans le grand jardin, et étaient à visage découvert.
Il fut surpris de découvrir une jeune femme avec de longues oreilles, dans les bras d’un
homme dont la peau grise ne passait pas inaperçue. Étonné de voir une elfe et ce qu’il
identifia comme un orc, il bouscula un invité. Enfin une invitée à en juger par la robe de
couleurs bleu, noir et rouge qui la composait. Il s’excusa, mais un barde lui fit savoir que la
baronne Estrella méritait bien plus que de plates excuses. De sa main gantée, dans laquelle
elle tenait un éventail, la baronne fit un geste au barde qui se retira.

« Qui êtes-vous étranger ? Tout le monde ici sait qui je suis.
- Un voyageur surnommé le Docteur, venant d’un endroit lointain.
- Nous n’avons que peu d’étranger par ici. Vous êtes à la grande fête de Mendaci qui a lieu
chaque année pendant les festivités de la St Valentin.
- Alors si c’est une fête, puis-je vous inviter à danser pour m’excuser ? »

La baronne accepta, et tous deux dansèrent parmi les invités. Le Docteur avait l’impression
qu’un feu ardent habité Estrella, ses prunelles étaient sombres derrière son masque noir. Une
chaleur intense se dégageait d’elle. Elle était mystérieuse, ce qui l’intrigué.

La baronne lui conta la création de Mendaci, une tradition venant de deux élémentaires
souhaitant se retrouver, mais dont les familles respectives étaient ennemies. Cachaient
derrière leurs masques, feu et eau réunis le temps d’une nuit volée. Par la suite, Mendaci
accueillit derrière ses masques, les plus belles unions cachées et éphémères.

Le Docteur fut charmé par le récit et souhaita en connaître davantage sur cette partie
d’histoire dont il ignorait tout. Sa main sur le bras du Docteur, elle l’emmena à l’écart de la
musique dans les jardins fleuris.

« Vous êtes bien curieux Docteur, alors que je ne sais rien de vous. Pourquoi devrais-je vous
conter l’histoire d’Énar et de ses habitants ?
- Pour m’enrichir de connaissances. Je vous promets qu’ensuite, je vous ferais découvrir de
sublimes choses, si vous me laissez-vous voir sans votre masque. »

Le Docteur retira son masque, et attendit qu’Estrella retire le sien. Ce qu’il découvrit fut
encore plus beau que tout ce qu’il avait pu voir à ce jour. Tendrement, il embrassa la
baronne, qui lui rendit son baiser, persuadé d’avoir trouvé LA compagne parfaite pour ses
voyages dans le temps.
 

Fichiers joints

  • Derrière les masques de Mendaci.pdf
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DeletedUser426

Écrit N°10


Ode à l’amour.

Mon cher Tandulien,

Aujourd’hui, je t’écris pour te déclarer ma flamme… En effet depuis de longs mois je me languis de te voir prendre conscience de ma présence et des sentiments que j’ai pour toi, mais rien nada… Tu n’as d’yeux que pour Isabella qui elle pourtant ne te voit pas… Ironie de la situation, tu vis avec elle ce que je vis avec toi… à la différence près, que nous sommes amis et donc je ressens et connais tes différents émois…

Amis oui mais voilà… ça ne me suffit plus, je veux plus…Je voudrais sentir sur moi le regard que tu poses sur elle, avoir l’impression d’être l’unique personne qui est capable de faire vibrer ton cœur… Par moment je sens une osmose entre nous deux, ce qui me laisse penser que tu n’es peut-être tout simplement pas conscient de ce que je ressens pour toi…

Alors, je me lance… Je t’aime depuis le premier jour où tu es arrivé en Elvenar. Tu avais l’air un peu perdu et tu racontais une histoire d’amour un peu saugrenue…

Dès que j’ai posé les yeux sur toi, j’ai su que tu serais ma destinée, ma moitié, mon autre moi ! Quel ne fut pas mon désarroi en constatant que la réciproque n'était pas flagrante pour toi… Aujourd’hui je t’avoue donc sans détour que je ne rêve que de vivre l’amour avec un grand A au gré des jours avec toi, simplement lovée dans tes bras…

Avec tout mon amour pour toi.
 
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DeletedUser426

Écrit N°11

Mon amour mon océan.

Vague d'amour déferlante de tout mon être,
vague de tendresse sur mon corps tu te fais caresse,
vague de sensualité avec grace et volupté tu me fais rêver,
petite vague je t'admire dans toute ta beauté et en moi mes sentiments ne font que se renforcer,
petite vague tu te fais tant désirer, petite vague d'amour je ne peux te résister et je ne peux que t'aimer,
petite vague douceur, dans mon coeur tu es le plus merveilleux des bonheurs


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DeletedUser426

Écrit N°12

Haute tension


Toi qui es loin, peut-être liras tu ces quelques lignes
J’aurais tout simplement pu dire : je t'aime.
Je ne l’avais jamais fait avant. Jamais. Et je le regrette


Mais je t’ai perdue depuis des jours, tu circules comme un électron libre
Et maintenant je sais combien tu m’es chère


Je ne savais pas à quel point je tenais à toi.



Sans toi, j'avance sur un chemin d'ombre
Sans toi, la lumière de la vie s’éteint peu à peu pour laisser la place à un gouffre noir qui me fait peur
Sans toi, j'ai peur de trébucher à chacun de mes pas si peu assurés.
Sans toi, je suis à 2 de tension, je n’ai plus d’énergie, pas la moindre goutte vitale pour éclairer ma vie


Sans toi, je n’ai plus un volt d’envie. Je m’ennuie de tout
Tu illumines mon être, tu es la prise de mon cœur
Mais je ne te vois plus, et tu me manques.


Au moment ou je t'écris ces quelques lignes, ton absence fait mal, et fait peur
Je te demande de me revenir
Je te demande de croire en nous, de ressentir comme moi le courant qui passe si bien entre nous
J'aime tant sentir ton énergie. Tu es magnétique pour moi
Je suis aimantée, je n'ai plus d'isolant pour me passer de toi


Tu es ma douceur, tu es mon repos, au milieu des ténèbres, de la foudre et de l’orage
Reviens-moi je t'en prie, sans court-circuit, tiens moi au courant

EDF, je t'aime :)
......................................................................

Texte écrit à la lumière du portable déchargé, au bout de 3 semaines sans électricité dans le désert africain, lors d’une mission humanitaire dans un pays en guerre. EDF m’a terriblement manqué !!
 
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DeletedUser426

Écrit N°13

Mon Tendre Ami

Je m'apprête à vous écrire de ce bureau d'un autre temps

Je le regarde, m'approche
J'y vois ses nœuds
Je pourrais leurs donner un sens, celui de nos difficultés traversées
Comme nous tournant autour de ce coeur franc
Oscillant , circulant s'estompant dans une harmonie de vagues
Ils découvrent

Je le regarde, l'effleure
J'y sens la douceur qui ce dégage de ce bois noble
A travers ses nervures imparfaitement parfaites
Quand mes doigts glissent, frôlent ses aspérités
Ils invitent

Je le regarde, j'avance
Je tourne la clé, le son se fait vif et délicat
Un appel presque imperceptible
J'en déplie sa table lentement
Il se fait généreux, judicieux
Ils dévoilent

Je le regarde... de plus près
J'y vois ses coins, ses niches secrètes
Confiant, serein, il se laisse lire
S'offrant a moi sans pudeur
Ils partagent

Je m'assois, prend une feuille
J'y couche depuis un moment
Ces quelques mots pour vous
Que chante a vos oreilles
La mélodie de notre chemin
Ils savent

Mon Tendre Ami
J'aurai pu vous ecrire sur n'importe quel sujets, décors
Un prétexte, un cadre, un lieu, une scène...
Elle vous enveloppe l' interieur, l'extérieur
De toute notre unicité

Nous sommes


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DeletedUser426

Écrit N°14

Je ne suis que l'émissaire.
De l'ensemble de tes souffrances
Qui n'a qu'en apparence.
Le sourire d'un enfant.

Je traverse les tempêtes
Tu es toujours là, avec moi.
Ma chère planète, je t'aime.
Malgré que parfois, tu me fais peur.
Tu me fais reculer, avancer.

Mais chaque jour ...
Tu me fais tourner en rond.
Pour un dernier tour.
De ce fin manège, de passion.

Laisse moi ... Vivre demain.
Comme si nous devions aujourd'hui
Se séparer l'un de l'autre.

Ma planète à moi joue, avec la gravité.
Laissant couler des flots d'amour ...
A travers, des larmes qui s'écoule
Du ciel malheureux, émissaire de tes souffrances.

Offre une dernière chance
De t'aimer comme il se doit.
Si seulement, tu le veux bien ...
Nous danserons ensemble !
 
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DeletedUser426

Écrit N°15

Paname

Ville de rêves aux mille lumières
ou cohues, bruits et réverbères
me suivent du regard chaque jour
où je flânes le long des faubourgs.

Les vitrines jouent comme des miroirs
figeant mon sourire, mon regard
sous l’œil naissant d'un ciel humide
traînant le pas un peu timide.

loin des lumières de ma campagne
sur la butte je regarde Paname
je sens ta force frôlant ma joue
je prie pour que deux fasse un tout.

Je rêve Paname que tu me prennes
moi l'ingénue aux courbes pointues
quand ton Eiffel pointe vers le ciel.
moi je me donne au sacré cœur.

Alors je baisse les paupières
Alors je rêve les bords de Seine
je rentre en transe, fais moi l'amour
ville de lumières, ville de Faubourgs.


Je me réveille loin de ton bruit
pourtant partout, ton nom résonne
Prête à rêver, m'abandonner
j'en ai crevé sur les pavés.
 
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DeletedUser426

Écrit N°16

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A Gaelagil Riverrun, princesse des Bois de la Forêt vierge.


Ma douce Gaelagil,


Je me suis perdu dans ta Forêt vierge…

C’est avec impatience, que les mots se bousculent,

Pour aller jusqu’à toi… Vite, tu pars si vite….

Cette nuit encore, tu es allé en catimini
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Dépenser 10% de mana….


Tu me parles déjà de faire disparaître des Graines Divines

Qu’en fais-tu ? Une culture magique ?

Où vas-tu ? Dans un jardin Elfique ?

Ma princesse des Bois,
Emmène-moi….


Partout, toujours, je veux être avec toi !

Burukbrak, le Batelier, fils de Wumanok, le Mange-Dragon.

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DeletedUser426

Écrit N°17

Juste une lettre pour toi


Que veux-tu que j’écrive en haut de cette lettre ?
Que tu m’es chère ? la suite te le dira...
Inscrirais-je ton nom ? Mais lequel dois-je mettre ?
Qu’importe, cette missive te parviendra !

Oh, ta bouche aimée va sourire
Aux tous premiers mots tracés :
Déjà, j’hésitais à t’écrire...
C’est trop tard pour l’effacer.

Tant pis, ma plume est partie,
Elle s’est envolée - vers toi !
De tout mon être, je la suis,
Et ces mots-là portent ma voix.

Je voudrais aujourd’hui te remettre en mémoire
Nos douces certitudes des premiers instants,
Te faire retrouver la magie de nos soirs
Et la fraîcheurs des mots soufflés en murmurant.

Oh ! les mots… C’est leur force qui nous a uni,
Puissants ou éphémères, simple prose ou bien vers,
En les suivant sans bruit nous nous sommes enfuis,
Et tu m’as amené ta grâce et ton mystère.

J’errais tout seul, muet, farouche et solitaire,
Triste et sinistre fantôme du guerrier sombre.
Je fuyais le trouble et l’incertitude amère,
Le hasard seul m’a guidé droit vers toi dans l’ombre.

Trois mots de toi, un sourire, et j'étais conquis,
J'ai perdu mon regard dans le lagon de tes yeux
Et j'appris à t'aimer, ô ma belle égérie,
Ô ma fée, ô mon astre des jours bienheureux !

Et je ne croyais pas qu’un jour sur cette terre
Celle qui ravissait mon cœur d’adolescent
Offre à ma nuit sans fin sa pleine lumière,
L’espoir et le désir les plus éblouissants.

Tu es venue telle que je n’osais penser
Dans le plus fou des rêves menteurs :
Pour me rejoindre ici tu as tout délaissé,
Et moi je m’emploierai à faire ton bonheur.
 
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DeletedUser426

Écrit N°18

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Après une engueulade avec Gaelagil, Burukbrak se retrouve projeter dans une nouvelle dimension où les Avengers sont bien réels et présents. Totalement désorienté, le guerrier orc se met à tout fracasser dans la ville de New York : buildings, voitures, feux de circulation. Il détruit tout ce qui lui passe sous la main. Il ne comprend rien à l’environnement présent autour de lui. Il n’a plus qu’un mot d’ordre : fracasser ! Seulement, une équipe de héros est prête à se dresser sur sa route : les Avengers ! Ces-derniers évacuent la zone et s’attaquent à cet énorme guerrier orc dont ils ne connaissent pas l’origine. Tous sont choqués de voir une créature si robuste, si dévastatrice et si laide. Jamais ils n’en ont vues de pareilles. Seule, Natasha Romanoff ne la juge pas, elle se concentre sur sa mission : la mettre hors d’état de nuire.

Au cours du combat, les héros essaient plusieurs stratégies. Ils l’attaquent d’abord de front mais il résiste aux flèches électriques de Hawkeye et aux répulseurs d’Iron Man. Ils pensent ensuite à l’électrocuter grâce à la foudre du prince d’Asgard mais sans résultats. La Veuve Noire propose de le prendre par surprise. Le Faucon et Iron Man font diversion pendant que l’agent secret et Captain America s’organisent de façon à le faire tomber. Mais rien ne se passe comme prévu, l’orc capture Natasha dans sa main gauche et s’arrête. Il reprend son souffle et regarde la femme qu’il a capturé. Il sent qu’il lui fait mal alors il la dépose délicatement sur le sol. Ils s’échangent tous les deux un regard comme envoûtés l’un par l’autre. Cependant, les Avengers continuent de l’attaquer et le combat reprend de plus belle jusqu’à ce que Natasha ordonne à l’équipe de cesser le combat. Les héros s’exécutent. Quant à la Veuve Noire, elle s’approche doucement de la créature elvenarienne. Cette-dernière lui tend sa main. L’héroïne pose elle aussi, sa petite main d’humaine, sur l’énorme main de l’orc. Il est désormais calme et la jeune femme l’invite à la suivre. Les Avengers ne comprennent en rien le comportement de leur amie.

Black Widow et Burukbrak se rendent au domicile de la jeune humaine. Pendant le trajet, ils discutent ensemble et font connaissance. Ils sont, chacun, sous le charme l’un de l’autre. Pour Black Widow, elle a l’impression de retrouver son Hulk qui a disparu depuis bien trop longtemps, l’être dont on tout le monde a peur mais dont le cœur est doux. Pour Burukbrak, il vient de rencontrer une jeune femme douce et tendre qui sait le comprendre derrière son allure affirmée et pragmatique. Arrivés dans l’humble demeure de Black Widow, Burukbrak s’assoit et admire la jeune femme. Ils se regardent tendrement et se dévorent des yeux lorsqu’ils lancent en même temps : « Je t’aime ». Ils prononcent ces mots comme s’ils venaient de fusionner. Burukbrak s’avance timidement vers Black Widow et approche doucement ses lèvres des siennes ! C’est ainsi que naquit l’amour fusionnel de Black Widow et Burukbrak, la jeune Avengers et le guerrier orc !

Extrait de L’amour fusionnel de Black Widow et Burukbrak

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Écrit N°19

Mystérieuse Lady Estrella

A l'aube d'un nouveau jour...
Ma vie s'écoule sans détours...
Chaque matin ces pareil...
Je pense a toi a mon réveil...
La vie ma fait une fleur...
Et depuis tu es dans mon cœur...
Je trouve que la vie est plus belle...
Je dois être plus serein moins rebelle...
Je regarde enfin devant moi...
Sans avoir peur de ma foie...
Estrella je suis tellement amoureux...
Qu'a chaque fois que je vois une étoile filante...
Maintenant je fais un vœux.
 
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