DeletedUser8134
Conclusion : les marchandises des trois types ont un prix de revient très proche.
Recommandation : proposer et accepter chez le marchand des parités d'échange de 1/2.
Démonstration : Quand j'ouvre ma fenêtre du marchand, je trouve un maximum d'offres à parité 1/4.
Pas 4/1, non, 1/4 voire 1/16, ou même plus (sans la commission du marchand bien sûr).
Exemple : offre 1 000 gemmes pour 16 000 aciers...
Il apparaît à tout le monde, intuitivement, que c'est intéressant à proposer (mais beaucoup moins à accepter).
Pourquoi ? Simplement parce qu'à surface égale, on produit à peu près autant de marchandise type 3 (élixir, poussière ou gemme), que type 2 (cristal, parchemin ou soie) ou type 1 (marbre, acier ou planche).
Donc, avec un minimum de manufactures type 3, on pourrait même couvrir tous nos besoins des 3 types, grâce aux échanges.
Cette parité 1/4 est pratiquement un standard :
- le marchand attribue ses * sur cette base,
- des messages d'accueil nous répètent qu'une marchandise précieuse coûte 4 fois plus cher à produire qu'une marchandise de base...
Et pourtant, ceci est rigoureusement faux !!
Analysons la structure de coût des marchandises... D'abord que faut-il pour les produire ?
- un TERRAIN, on l'a dit, le rendement au m² étant identique quel que soit le type de marchandise,
le coût du terrain dans une marchandise produite est à peu près le même pour les 3 types.
- une USINE, à niveau d'évolution (ou de performance) équivalent, et pour simplifier, sa valeur est comparable pour les 3 types de marchandises.
- des PIECES D'OR et des MATERIAUX. En effet, ce coût direct de lancement d'une production, respecte bien le ratio 1/4 (type 1/type 2 ou type 2/type3). Mais ce coût ne correspond qu'à (en moyenne) 1/7 (1) de la valeur globale d'une marchandise produite.
On a donc un coût 4 fois supérieur mais pour 1/7 de la valeur, et identique pour les 6 autres 7e, soit une moyenne qui serait plutôt de 1/1.4 et non 1/4 !
Attention : cette analyse ne repose que sur le coût, pas sur la rareté ou autres critères dont le temps.
(1) Pourquoi 1/7 ? Comme le coût direct est exprimé en PO et matériaux, il fallait valoriser une marchandise dans ces mêmes unités. Pour cela j'ai demandé à un connaisseur : le grossiste. Je ne prends pas son prix de vente (!) , mais bien son prix d'achat.
Quand on lui achète un marbre, par exemple, il demande indifféremment en contre-partie 5 planches ou 40 matériaux ou 400 PO.
1 matériau vaut donc 10 PO, et 1 marchandise type 1 vaut 80 PO.
Curieusement, le coût direct ne tient pas compte du boost. Sans boost ce coût revient à 1/2 de la valeur d'une marchandise produite (raison de plus pour ne produire que ses marchandises boostées !) ; mais avec un boost de 250 on est à 1/7 et au boost maximum on est à 1/16 !
* Ma démonstrations souffre 2 imprécisions, mais qui ne la remettent pas fondamentalement en cause :
1- le coût d'une usine. J'ai "accepté" de considérer qu'il est identique pour les 3 types. En réalité c'est faux.
Il est exprimé (principalement) en marchandises du type de l'usine montée.
Il faut 4 fois + (à peu près) de marchandises pour monter une type 1 qu'une type 2. Comme les valeurs des 3 types de marchandises sont en fait assez proches, en réalité une usine type 1 coûte + cher qu'une type 2 (et encore plus qu'une type 3 !).
2- le poids relatif du terrain et de l'usine dans le coût de production. Difficile à estimer !
Mais plus on valorise celui de l'usine et plus la marchandise type 1 coûte + cher que type 2. Considérer à part égale le poids de l'un et de l'autre ne parait pas irréaliste.
En conclusions :
* le marchand devrait s'abstenir de qualifier nos offres. Dans le cas d'une offre équilibrée (même type) son avis est superflu, et trompeur dans les autres cas !
* même si le système de coût d'Elvenar est critiquable, la logique veut qu'une marchandise type 3 vaut plus cher qu'une type 2 (idem type 2 vs type 1), mais dans des proportions raisonnables, d'où la parité 1/2 que je préconise comme bonne pratique.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout, ainsi que pour vos remarques et critiques...
Recommandation : proposer et accepter chez le marchand des parités d'échange de 1/2.
Démonstration : Quand j'ouvre ma fenêtre du marchand, je trouve un maximum d'offres à parité 1/4.
Pas 4/1, non, 1/4 voire 1/16, ou même plus (sans la commission du marchand bien sûr).
Exemple : offre 1 000 gemmes pour 16 000 aciers...
Il apparaît à tout le monde, intuitivement, que c'est intéressant à proposer (mais beaucoup moins à accepter).
Pourquoi ? Simplement parce qu'à surface égale, on produit à peu près autant de marchandise type 3 (élixir, poussière ou gemme), que type 2 (cristal, parchemin ou soie) ou type 1 (marbre, acier ou planche).
Donc, avec un minimum de manufactures type 3, on pourrait même couvrir tous nos besoins des 3 types, grâce aux échanges.
Cette parité 1/4 est pratiquement un standard :
- le marchand attribue ses * sur cette base,
- des messages d'accueil nous répètent qu'une marchandise précieuse coûte 4 fois plus cher à produire qu'une marchandise de base...
Et pourtant, ceci est rigoureusement faux !!
Analysons la structure de coût des marchandises... D'abord que faut-il pour les produire ?
- un TERRAIN, on l'a dit, le rendement au m² étant identique quel que soit le type de marchandise,
le coût du terrain dans une marchandise produite est à peu près le même pour les 3 types.
- une USINE, à niveau d'évolution (ou de performance) équivalent, et pour simplifier, sa valeur est comparable pour les 3 types de marchandises.
- des PIECES D'OR et des MATERIAUX. En effet, ce coût direct de lancement d'une production, respecte bien le ratio 1/4 (type 1/type 2 ou type 2/type3). Mais ce coût ne correspond qu'à (en moyenne) 1/7 (1) de la valeur globale d'une marchandise produite.
On a donc un coût 4 fois supérieur mais pour 1/7 de la valeur, et identique pour les 6 autres 7e, soit une moyenne qui serait plutôt de 1/1.4 et non 1/4 !
Attention : cette analyse ne repose que sur le coût, pas sur la rareté ou autres critères dont le temps.
(1) Pourquoi 1/7 ? Comme le coût direct est exprimé en PO et matériaux, il fallait valoriser une marchandise dans ces mêmes unités. Pour cela j'ai demandé à un connaisseur : le grossiste. Je ne prends pas son prix de vente (!) , mais bien son prix d'achat.
Quand on lui achète un marbre, par exemple, il demande indifféremment en contre-partie 5 planches ou 40 matériaux ou 400 PO.
1 matériau vaut donc 10 PO, et 1 marchandise type 1 vaut 80 PO.
Curieusement, le coût direct ne tient pas compte du boost. Sans boost ce coût revient à 1/2 de la valeur d'une marchandise produite (raison de plus pour ne produire que ses marchandises boostées !) ; mais avec un boost de 250 on est à 1/7 et au boost maximum on est à 1/16 !
* Ma démonstrations souffre 2 imprécisions, mais qui ne la remettent pas fondamentalement en cause :
1- le coût d'une usine. J'ai "accepté" de considérer qu'il est identique pour les 3 types. En réalité c'est faux.
Il est exprimé (principalement) en marchandises du type de l'usine montée.
Il faut 4 fois + (à peu près) de marchandises pour monter une type 1 qu'une type 2. Comme les valeurs des 3 types de marchandises sont en fait assez proches, en réalité une usine type 1 coûte + cher qu'une type 2 (et encore plus qu'une type 3 !).
2- le poids relatif du terrain et de l'usine dans le coût de production. Difficile à estimer !
Mais plus on valorise celui de l'usine et plus la marchandise type 1 coûte + cher que type 2. Considérer à part égale le poids de l'un et de l'autre ne parait pas irréaliste.
En conclusions :
* le marchand devrait s'abstenir de qualifier nos offres. Dans le cas d'une offre équilibrée (même type) son avis est superflu, et trompeur dans les autres cas !
* même si le système de coût d'Elvenar est critiquable, la logique veut qu'une marchandise type 3 vaut plus cher qu'une type 2 (idem type 2 vs type 1), mais dans des proportions raisonnables, d'où la parité 1/2 que je préconise comme bonne pratique.
Merci d'avoir lu jusqu'au bout, ainsi que pour vos remarques et critiques...
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