Mon recueil de poèmes

  • Auteur de la discussion DeletedUser8091
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DeletedUser8091

Voici ma page facebook où je poste mes poèmes, récits et tout ce que je peux écrire :)

Je préfère prévenir, ce sont des textes noirs, parlant de la mort, de l'abandon et tout autre style de sentiments noir.


https://www.facebook.com/La-plume-du-corbeau-1371714689557957/

Voici ce que vous pourrais y voir :

"1°)Étendue Aquatique "
Les yeux fixés vers l'horizon,
Mon être, remplie par mes émotions,
De simple perles larmoyante
Sorte de mes yeux d'un rouge flamboyant.

Assis près de cet étendu, je me questionne
Qu'ai-je fais, pour mériter cela,
Mon esprit me tourmente, m'abandonne,
Qu'ai-je fais, pour mériter cela.

Mon reflet sortant de l'eau, me regarde,
Dans ces yeux, je vis un air pitoyable,
Est-ce comme ça, que l'on me voie,
Je ne suis plus qu'une forme sans visage.

Les yeux fixé vers l'horizon,
Je me demande pour quel raison,
Des larmes incandescentes,
Sorte de mes yeux d'un rouge flamboyant.

Les pieds dans l'eau, la tête dans les nuages,
Depuis tout petit, je fuis mon vrai visage,
Enfilant des masques pour me protégé
Alors que je me crée seulement, une prison dorée.

Me voila submerger, par cet étendue aquatique
Tout mes soucis, me font coulé,
Accrocher a mon être, comme ce boulet a mon mollet,
Me voila engloutie, dans cet étendue aquatique.

Les yeux fixé vers l'horizon,
Je me demande pour quel raison,
Des larmes coulent encore
Alors que mon corps, dans cet étang, a toucher le fond

Illustration :
6d2p.png

"2°)Les Larmes De Sang"
Plus le gout a rien, la vie me détruit
Comment avoir confiance dans les gens,
Quand ma confiance en moi est égale au néant,
Mon esprit, est un repère de haine et de mépris.

La tête dans les étoiles, mon corps dans une flaque
Je suis ouvert, le sang coule le long de mes bras
De simples gouttes, une mare de sang sur mes draps
Mes idées noirs font leur comeback.

Plus sommeil, aucune faim, je vis tel un prisonnier
Emprisonné dans mon corps, je n'attends plus que la fin
Celle où je pourrais dormir sans jamais me réveiller
Celle où j'aurais plus besoin de me nourrir pour éviter la faim.

Je dis que tout va bien, je mens à mes proches,
Si je disais tout ce que je pensais, certains fuiraient,
Mon corps mutilé, mon esprit affolé, mon cœur déglingué
Seule ma carapace empêche mon corps de s'effondrer.

Dans la nuit, je pense, repense
Et dépense mon énergie à me battre, débattre
Avec mes pensées qui m'empêchent de me reposer
Celles qui font, que mes bras sont ensanglantés.

On dit de moi que je change, que je ne suis plus le même
Mais c'est vrai, mon regard a changé, il est vide
Mes yeux pleurent la tristesse de mon corps,
Des larmes rouges coulent autant sur mes bras que sur mes joues.

"3°)La Nuit"
La nuit, tout est calme, silencieux
La nuit, le moindre bruit est suspicieux
La nuit, nos sens sont éveillés
La nuit, certains dorment, moi, je reste éveillé.

La nuit, mon esprit joue avec moi,
La nuit, j'imagine être avec toi,
La nuit, j'ai encore les yeux illuminés
La nuit, toi tu dors, moi je reste éveillé.

La nuit, est mon seul moment de répit
La nuit, le monde plongé dans l'obscurité
La nuit, seul moment où je me sens en vie
La nuit, je devrais dormir, mais je reste éveillé.

La nuit, ce ciel étoilé et cette lune glacée
La nuit, les animaux nocturnes vagabondent
La nuit, certaines se dévergondent
La nuit, elles devraient dormir, mais elles restent éveillées.

La nuit est pour moi, la seule chose que j'apprécie,
Ce monde, qui est bruyant et agaçant en journée
S'enferme dans un rideau noir d'obscurité,
La nuit est pour moi, le meilleur moment de ma vie.

"4°)La Différence"
Où suis-je, que vois-je, mes souvenirs,
Traversant mon esprits, défilant sous mes yeux
Le temps file, mes souvenirs défilent, et je suis immobile
La sur ce trottoir, suis-je entrain de mourir.

Une action, une déception, le grand plongeon,
Non loin de ces habitations, je saute de ce balcon,
Les yeux fermer, mon esprit apaiser,
La chute semble durée une éternité.

Comment j'en suis arrivé la, moi qui étais joyeux
Un moment de doute, un coup foireux
Un coeur mutilé, un esprit tourmenté
Et voila, j'ai atterrie dans cette rue bondé.

On me croyais heureux, et pourtant,
Je ne pensais qu'a sa, tout la sainte journée
Enfin rejoindre les cieux, mettre fin a mon temps
Sur cette Terre, ma place, je l'ai jamais trouvé.

Fini d'être tourmenté, car je suis pas comme vous
Fini d'être jugé, car je suis pas comme vous,
Fini d'être mis de côté, car je suis pas comme vous,
Fini de vivre...car je suis pas comme vous.

"5°)Pseudo ou Réalité"
Un nom, un pseudo, qui suis-je ?
Raven, le corbeau manipulateur
Enthormie, le rigolo joueur
Un nom, un pseudo, ou suis-je ?

Moult facettes, plusieurs personnalité
Mais aucune n'est la réalité,
Homme tiraillé par le passé,
Et attristé par ce futur insensé.

Je porte des masques comme je porterais
Un tshirt délavé ou une veste a moitié déchiré
Je porte des masques pour me protégé
Et pourtant, je suis encore plus blesser.

On ce demande par fois, qui serais la
A notre mort, a notre fin, a notre dénouement,
Qui sera présent, une fois la terre me recouvrent,
Pour pleuré mon manque, qui sera la ?

Je ne cherche pas a me faire désiré,
Mais une attache solide et sincère,
La seul qui chose, qui me rattacherais a cette Terre
Je recherche seulement, l'être aimé.

"6°)Sentiments"
Déprime, déprimer, déprimant
Juste une envie, foutre le camp
Loin de toute ces émotions
Loin de toute ces déceptions.

Incapable, accablé, perdu
Que faire quand le chemin
Qu'on a choisi, est le plus pentu
Que me réserve encore le destin.

Sommeil, fatigue, insomnie
Une seul envie, ce foutre au lit
Mais mon esprit lui a choisi
De me tourmenté, toute la nuit.

Imagination, réflexion, pendaison
En finir, n'est ce pas la bonne saison ?
Une corde, un flingue, un rasoir
Mon cerveaux, remplie d'idée noir.

Désespoir, folie, tourment,
Suis-je fou ? Le pourquoi du comment
La folie, une part entière de mon être
Que faire, la laissez sortir ou la faire taire.

Envie, mépris, haine, colère, tristesse
Suis-je fou ? Suis-je en détresse ?
Mon esprit vagabonde, me laissant inerte
Carapace ouverte, devrais-je la laissez ouverte ?

Je suis pas fou, seulement perdu
Loin de mes repères, elle est ouverte,
Ma cage où je m'enferme, elle est ouverte,
Je suis pas fou, je suis seulement perdu

"7°)Imagination et Destruction"

Comment je suis senser faire,
Pour combattre ma jalousie
Comment me mêler de mes affaires
Quand mon imagination me détruit.

Mon coeur s'emballe a chaque parole
Ma tête déballe ces visions
Que mon esprit accepte sans modération
Pendant que mon corp ne joue aucun rôle.

Je reste la, dans les ténèbres,
A m'imaginer les plus terrible des rêves
La perte d'un être cher
Celle a qui on pense quand on rêve.

Dans ma bulle, cacher sous ma couette
Je pleure en silence, car personne ne comprend
Que mes visions sont démentes,
Je pleure en silence, car personne ne s'inquiète vraiment.

Laissez mon esprits vagabonder,
Ces me laissez me dévaster,
Comment croire en la vie,
Quand l'imaginiaire parait plus réelle.

Pas besoin d'une lame ou d'un pistolet,
Pour mettre fin a ma vie, laissez le crée
Mon imaginaire est l'arme qui mettra fin
A la vie qui m'appartient.

"8°)Mourir ou Vivre"
Je suis né, j'le voulais pas, je l'ai pas choisi
Ma mère, et sans mon accord, m'a donné vie
Alors je sortis ma tête, puis mon corps tout petit
Et je vis la lumière de ce monde pourri.

Tiens, premier jour d'école, surprise
On est ici pour apprendre à être
Des moutons pour une société consommatrice
Écrire, dessiner, compter, quel bonheur.

La primaire, première( primaire) difficulté, mais
Voulant faire plaisir, je fournissais un travail acharné
Maman et papa appréciaient, j'étais aimé,
Mes camarades me traitaient de surdoué.

Le collège, de nouvelles amitiés,
Dans ces années ma vie a changé,
Une superbe amitié, des notes parfaites
Jusqu'à ce jour tragique, où je te perdis à jamais.

Et après ça, j'ai changé, délinquance
Drogue, conneries, quelle déchéance,
Tu étais mon pilier, mon oxygène
Toi qui m'avais accepté, malgré mes gènes.

J'aurais jamais cru pouvoir sortir de cette spirale
Dans laquelle j'étais enfoui, mais on m'en a sorti
Mes amis, une fois arrivé au lycée, je vous dis merci
Grâce a vous, j'avais retrouvé le moral.

Mais ma carapace était formée,
Mon cœur était enfermé,
Dans son épaisse sécurité
Dans laquelle aucun sentiment ne pouvait pénétrer.

Des amours sans retour, des sentiments non partagés
J'allais de défaite en défaite, sentimentalement
Ou professionnellement, aucune réussite, je m'enfermais à nouveau
Et aujourd'hui, je suis toujours cette personne, aucun renouveau.

Je vais de rencontre en rencontre, mais je ne m'attache pas
Puis je trouve des gens qui me comprennent,
Des amis réels ou virtuels, qu'importe, ils me soutiennent
Les sentiments reviennent, je veux pas de nouvelles attaches.

Je ne suis qu'un robot, sans cœur, sans raison de vivre
Et pourtant, je n'ai jamais réussi a partir de ce monde,
Dans lequel ma mère m'a mis au monde,
Je n'ai pas choisi de vivre, et pourtant, je souhaite pas mourir.

"9°)Masked"
Porter un masque dans la vie,
C'est se mentir à soi-même,
Faire du mal aux personnes qu'on aime,
Pour ne plus ressentir le mal qu'on a subit.

Porter un masque à longueur de journée,
C'est afficher un sourire indélébile, débile, futile,
Mais utile, alors que notre cœur se mutile,
Pour ne plus répéter les erreurs du passé.

Porter un masque c'est horrible,
Ne rien afficher, ne rien penser,
qu'importe d'être aimé, d'être détesté,
On souhaite juste vivre et avancer.

Porter ce masque, pourquoi ?
Pour me protéger ? Pour vivre ?
Alors que je passe mon temps à survivre ?
Porter un masque, c'est vivre dans le passé.

Je porte ce masque, ce fardeau d'un temps perdu,
D'un temps, où je me suis perdu,
Maintenant je suis quoi ? Un homme errant ?
Est-ce qu'un jour, j'enlèverai ce masque dément ?

Porter un masque dans la vie,
C'est se mentir à soi-même,
Dans l'optique de protéger les gens qu'on aime,
Alors qu'au fond, on ne protège pas,
On ne fait que détruire ceux qui nous aiment.

"10°)Démon D'antan"
Vivre, survivre, malheur, bonheur
Que faire, quand le monde t’écœure;
Que faire, quand tu te morfonds, quand tu pleures
Tout ça, car tu sais pas ce que fait ton cœur.

Perdre, gagner, cauchemarder, rêver,
Que faire, quand même ton sommeil est bouleversé,
Que faire, quand on vit dans la peur,
Tout ça, car tu sais pas ce que fait ton cœur.

Un jour, je vivrai, dans la joie, dans le bonheur,
Pour ça, je dois battre mes démons et mes peurs,
Aurai-je un jour, la force de faire face a mon passé,
pour enfin pouvoir vivre le présent, sans me sentir tourmenté.

Je ne crois pas à ce bonheur, qui soit-disant m'attend
Car je rate, tout ce que j'entreprend,
Je fais du mal aux personnes que j'apprécie
Tout ça, car je suis un robot, un homme meurtri.

Les sentiments, faiblesses de l'homme,
Sentiments chiants, emmerdants, affaiblissants,
Alors autant les abandonner, les cacher,
Pour que je redevienne, le démon d'antan.

"11°)Ma Place"
Je suis aussi heureux qu'un être malheureux
Souriant, pour cacher les blessures d’antan
Vivant, dans un monde miséreux et ténébreux
Où les gens, ont peur du moindre mouvement.

Je ne trouve pas ma place en ce bas lieu,
Où les puissances sont devenues rois,
Où les peuples affamés sont devenues proies,
Où la peur se lit dans les yeux.

Je n'arrive plus à vivre, dans un monde
Où les enfants sont utilisés ou formater
A devenir des armes contre l'Humanité,
Je n'arrive plus à vivre sur cette Terre immonde.

Les Hommes, assoiffés par leur pouvoir
Massacrant au nom d'un homme qu'ils ne peuvent voir
Récupérant les plus meurtris, les plus démunis
Leur promettant, après la mort, une meilleure vie.

Je ne peut vivre, dans un monde, où l'Homme
Se pensant supérieur à la Terre, la pille
La mutile, la détruit, au nom d'un billet futile
Je ne pourrais vivre, tant qu'existera l'Homme

"12°)Rêve D'enfants"
Mon rêve quand jetais petit
Rejoindre mon monde imaginaire
Où les gens resteraient petits
Un monde où je serais téméraire.

Mais la réalité me rattrapas
Et brisa ce que mon imaginaire créa
Forcé a travailler comme un bachelier
Alors que je venais a peine de marcher

Pourquoi étudier et s'acharner
Si ces pour que nos rêves déchiré
Dans notre enfance si bien ficelés
Ne puisse jamais être réalisé.

Je ne suis pas fait pour ce monde
Je le trouve pourri et immonde
Laisser donc peter pan m'emmener
Au loin, dans un conte de fée.

"13°)Sans Nom"
La mort, naturel ou accident
Ces toujours tragique pour les parents
Même si ces indécent
La grande faucheuse, prend également les enfants.

La mort, ces la fin d'un monde
La fin des câlins et des bisous
La fin des parents qui te gronde
La fin d'un tout, la fin d'un NOUS.

La mort arrive quand tu t'y attend pas
Que sa touche toi, ou n'importe qui
Y'aura toujours quelqu'un a qui on manquera
A la famille, ou a tes amis.

La mort, ces le début d'un autre monde
Un monde, où ton absence est pesante
Un monde, où ta présence est manquante
Un monde, où je vagabonde.

La mort, grande faucheuse invisible
Prenant au hasard ces cible
Un jour ta faux me transpercera
Mais qui, sur ma tombe pleurnichera.

La mort, toujours vue comme la fin d'une histoire
Jamais comme le début d'un nouveaux livre,
J'aimerais pouvoir y croire, pour enfin te revoir
Toi qui me manque, toi que la mort, a pris.

"14°)Sans Nom"
Première fois que je t'ai vue,
On jouais a la marelle, a la maternelle
Je te trouvais déjà belle
pourtant, je savais même pas dire "salut".

Puis, le temps de la primaire est venu
Pas la même classe, pas les même vue
Tu veut devenir une princesse
Je suis pas un roi, je te laisse.

Arriva enfin les années collèges
première petite amie, première misères
Baisse des notes en flèches,
Les parents ne sont pas fières.

Les années lycée, enfin la liberté
Première clopes, tes surexité
Premier bedo, tes enfin calmé
Arrivé a l'hopital, il te traite de camé.

Tu veux aller a la FAC, tes recalé
Tu commence un BAC pro, tes décalé
A jouer toute la soirée, avec tes potes bourés
Affalé sur un canapé, a boire de la despe.

On te retrouve 10 ans plus tard
Une femme, une fille, un job de smicard,
Ces sur, ces pas la vie de Jean marie bigard
Mais au moins, ta pas fini au placard.

La retraite, vacances prolongé mais mérité
Après avoir trimé, tu peux enfin te reposé
Mais oublie pas, tu doit encore préparé
Le mariage de ta fille bien aimé.

Tu aura eut une belle vie
Mais te voila maintenant sans vie
On ce souviendra toute notre vie
Que tu a mis au monde, une fille, aussi intéligente que jolie.

"15°)Jour Maudit"
Je t'ai perdu, toi mon frère, le 17 mars
Toi qui m'aidais, toi qui me comprenais
Tu étais bien plus qu'un camarade de classe
Mon ami, comme un frère, je t'aimais.

Suite à ta folie d'adolescent, je t'ai perdu
Tu est monté sur ce batiment ruiné
Pour montrer, que tu étais une tête brulé
Et un accident, est vite survenue.

Le batiment s'est craquelé, le toit est tombé
Dans sa chute, tu l'as accompagné
Si j'avais pas été amoureux, je serais venue
Et j'aurais sûrement pu, empêcher l'accident qui est survenue.

Je t'ai pas dit au revoir à l'hôpital
Te voir dans cet état m'était insupportable
Aujourd'hui, je me dis que j'étais bête, je regrette
Car maintenant, tu es aussi bien dans mon coeur que dans ma tête.

Je n'ai pas oublié cette promesse, qu'on s'est faite
Sous cet arbre, à côté de nôtre cachette
Mais comment l'accomplir, quand ma seul idée
est de te rejoindre, en me faisant exploser la tête.

Je t'écris ce que je ressent, à la 5eme année
Que je passe sans toi, sans ta chaleur
Celle qui a toujours réussi a me faire surmonter
Ma peine et mes douleurs.

Aujourd'hui, je suis perdu, je sais pas où aller
Tout abbandonner et vagabonder,
Me semble l'une des meilleures idées
Pour oublier les soucis du passé.

On m'a fait comprendre, qu'il faut vaincre ces démons
Je ne peux surmonté ça seul, alors mon frère
Pour quelque temps, reformons un "on".
Pour réussir cette promesse...Direction, le Japon.

"16°) Déjà 6 ans..."
Pencher au dessus de ce morceau de pierre
Une épitaphe graver, remémore tes instant passer
Je me rappel de ta présence, comme si c'étais hier
Mais ton visage, commence a s'effacer.

Dans mes rêves, tu me parle et rigole
Comme on fessais, y'a encore quelque années
Dans mes rêves, tu reste mon idole
Comme tu l'étais, y'a encore quelque années.

Maintenant, tu fais parti de ces être ailé,
Me regardant vivre, rire et pleurer,
Tu ne me lâche pas, toi qui est dans ce ciel étoilés
Ta présence, restera a jamais à mes côtés.

Nôtre promesse, je ne l'ai pas oublier,
Crois moi, un jour je la réaliserais,
Mais j'ai besoin de te sentir a mes côtés
Afin de battre les démons qui m'ont posséder.

Je me souviens, des matins collège,
Des bêtises, qu'on fessais sous la neige,
Le foot, que tu aimer tant, et que je détester,
Les journées piscine, kebab et pc.

Mon ami qui est parti trop vite,
Mon ami, qui manque a ma vie,
Mon ami, a qui je n'ai jamais assez dit
A quel point, je t'aimer.

Aujourd’hui, ta présence ce fais rare,
Tu est toujours présent dans mes cauchemars,
Mais ton visage, s'efface dans ma mémoire,
Mais tu sera toujours, une parti de ma vie.

Tu me manque, et je n'ai aucun moyen pour te le dire,
Mais j'ai besoin de croire que tu entendra mes mots
Même si tu trouve tout la haut,
Je t'aime mon ami.

"17°) La solitude, mon amie"
La solitude est mon amie
Celle avec qui je partage ma vie
Parfois elle part, mais jamais disparais
Elle sera a tout jamais, a mes côtés.

Être heureux ne fait pas parti de moi,
Ma bulle est le seul endroit,
Où je me sens a l'abris,
Où je suis, ce que je suis.

Un monstre sans sentiments,
Remplie de haine, dé dégoûts
De tristesse, de colère, je me ment,
Être joyeux, ce n'est pas au rendez-vous.

Parfois, je regarde le ciel, la haut,
Et timidement, je rêve d'en faire parti,
Pas comme les nuages ou les oiseaux,
Mais comme ceux qui ont déjà péri.

On dit que la mort nous attend,
Mais moi j'attend la mort,
Ces triste, quand on a seulement 20 ans,
Ces un peu comme un marin, qui attend de rentré au port.

Plus de coeur brisé, que de coeur sauvé,
Moi qui pensais aidé le monde, mais je le rend plus triste,
Je m'excuse auprès de tout ceux que j'ai aimé,
Sans moi, certains n'aurais jamais connu cette douleur que je supporte depuis des années...

"18°) En détresse "

Mon esprit, torturé, blésé, contrôle ma vie,
Je me ment, je me dit que j'ai besoin d'ami,
Mais la réalité, ces que j'ai peur qu'on m'oublie,
Même si je n'attend plus grand chose, de la vie.

On me dit crois en toi, crois en ce qui t'attend,
J'aimerais pouvoir dire, que je voie le monde en noir,
Le monde en couleur, n'est pas pour les gens
Qui comme moi, ne font que décevoir.

Si j'avais pas étais trop lâche, cette lame que je tient
Aurais depuis bien longtemps, mis fin
A cette misérable vie qu'est la mienne,
"Sale monstre", "égoïste", "sans cœur" des adjectif qui me convienne.

Le printemps a déjà commencer, voila que je le renfile,
Ce masque, qui par le passé ma tant aidé,
Et comme d'habitude, a cette saison je me défile,
Au revoir chers amis, je suis de nouveaux masqué.

Les sentiments, chose que je ne comprend pas,
A quoi sert l'amour, la haine, la joie, la tristesse,
Ces ce qui fais qu'on est vivant me dit papa,
Alors aidé moi, car je ne ressent rien, a part de la détresse.

J'aimerais vous dire que vous me manquer,
Mais en réalité, je ressent rien de tout ça,
Je ne suis qu'une ombre du passé,
Avançant dans un monde, que je ne mérite pas.

Je suis en détresse et pourtant, je ne veut pas d'aide
A force de brisé les gens, ces ce que je mérite,
Mon cœur brisé et détruit, ces ce dont j'hérite,
Merci de me laissez seul, je ne veut pas de vôtre aide.

"19°) L'homme au milles visages"
On se retrouve seul, isolé, quand on cache la vérité,
Camouflé sous ce masque de mensonges
La nuit je me couche, entouré par ce rideau bleuté,
Ce même rideau, qui m'empêche de rejoindre mes songes.

La nuit je m'inonde de questions sans réponses,
Inventer ce que je vais dire, pour ne pas blesser
Pour que les gens s'éloignent de moi..partez.
Je ne suis qu'un monstre d’égoïsme...fuyez.

L'homme aux mille visages, qui est le vrai moi ?
Impossible de le savoir, depuis bien trop longtemps
Je me cache derrière ces masques créés par le temps,
Tout ça pour cacher mes sentiments, mes émois.

La mort me sourit, et c'est plus simple de lui rendre
Que de le prendre, et lui tourner le dos,
Accompagné par la solitude depuis que je suis ado,
Mon esprit est foutoir, un réel méandre.

On me dit "je tiens à toi", "tu comptes pour moi"
Mais au fond, je ne suis rien pour eux,
Je ne suis qu'un second rôle, rempli d'effroi,
Je pourrais partir, il le verrait pas, même si je dis adieu.

"20°) L'égoïsme"
Être capricieux, cœur assassin
J'ai beau faire de mon mieux,
Je grimpe, sans jamais voir la fin.
Je ne verrais jamais le bout du chemin

Dans ma tête, se joue une guerre centenaire
Mes émotions, enfouient au plus profond
Bataillent entre elles, détruisant mon être,
Empathie, Amour, Amitié, quelle désillusion

Amour est une vague plaisanterie
Simple besoin de la présence d'autrui
Réduit à néant, par la simple distance
Qui sépare deux villes en France.

Amitié, aussi intense que rapide
Du jour au lendemain, disparue
Tes souvenirs, deviennent limpides
Comme si tu n'avais jamais rien vécu.

Empathie, s'identifier à autrui,
Faire preuve de compassion,
Faire semblant de te soucier d'elle ou de lui
Alors que, tu ne vaux pas mieux garçon.

Alors à quoi bon te poser toutes ces questions
Alors que la réponse, tu la connais au fond.
Tu te mens à toi même, incapable d'aimer
D'apprécier une simple amitié.

Tu n'es qu'égoïsme, et tu le sait
Tu n'es qu'égoïsme, et ils le savent
Tu n'es qu'égoïsme, et je le sais
Tu n'es qu'égoïsme, et tu ne changeras pas.

 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser6679

Je l'ai les lu. Ils sont très beaux aussi. Très noirs mais j'aime bien. Dans mon état d'esprit aussi :). Tu n'es pas le seul à porter un masque pour te protéger ;)
 

DeletedUser6679

c'est agréable le slam, pas trop ma génération mais ça passe quand même ;)
 

DeletedUser6158

bravo pour ce poeme
c vrais un peu noir mais chacun son style
tu ecrit pour ton plaisir et t loisir ou tu aimerais allez plus loin ?
 

DeletedUser8091

J'écris pour le plaisir, mais si cela me permet d'aller plus loin, je ne dit pas non :)

Actuellement, ces un passe temps qui me libère l'esprit, quand quelque chose me tracasse, je le couche sur papier et je me sens mieux :)
 

DeletedUser6158

c cool sa tu derais essayer de mettre tout sa sur papier et essayer des maison d editions
desoler pour mes fautes mais moi pas pro de l hortographe
 

DeletedUser8091

Je peux tous les poster d'un coup :) ca me prendra 10/15 minutes de tout copier coller :)
 

Noemye

Papillon de soie
Ce serait une erreur je pense,ce sera plus apprécié d'en lire un de temps à autre que de tous les placer en une fois mais bon,ce n'est que mon avis :)
 

DeletedUser5775

Bonjour Enthormie, j'ai lu ton premier poème et l'ai bien aimé.
Je trouve cela tellement triste les refus de la vie, les suicides, que je me permets d'écrire sans spolier:
Vous qui lirez ces lignes, même si vous vous y retrouvez, que c'est beau et tout et tout...
NE CHOISISSEZ PAS CETTE FIN SI DÉFINITIVE, laissez vous une chance de vivre et d'être heureux un jour....

De façon plus pragmatique Enthormie, on ne voit pas les titres... la case de spolier n'est pas assez grande... C'est dommage, tu les rajouterais en haut de tes textes? :)
Si j'essaie un jour de faire une illustration (ou quelqu'un d'autre) d'un de tes poèmes, tu les mettrais sur ton post?
Ce serait une erreur je pense,ce sera plus apprécié d'en lire un de temps à autre que de tous les placer en une fois mais bon,ce n'est que mon avis :)
Tu as raison Noemye, perso je préfère n'en lire qu'un à la fois, histoire de rester sur le ressenti... Qu'il y en ai plusieurs ou non, c'est aussi notre choix, d'en lire quand on veut, le nombre que l'on veut^^;)
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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