meleandre
Arbre monde
(hrp) : Parce que j’ai toujours aimé écrire et l’envie qui s’installe au bout des doigts. On m’a toujours conseillé d’assouvir ses envies.
Le donjon avait toujours fasciné Méléandre. D’aussi loin qu’elle se souvienne, les conteurs et troubadours rivalisaient d’imagination pour captiver leur auditoire et pas une soirée ne se concluait sans qu’une aventure trépidante au sujet de ce fameux donjon ne soit portée aux oreilles des elfes.
Elle avait trépigné lorsqu’elle avait débuté la construction de sa ville. Elle savait qu’elle ne le verrait pas de suite, il lui fallait d’abord faire ses preuves, sans ménager ses efforts et la patience n’était pas son fort. Mais enfin, étapes après étapes, elle avait atteint son but ! Le donjon se dressait là, aux abords de sa ville, triomphant, majestueux et un grand sourire ornait son visage en le contemplant.
Elle armait donc sa ville, en vue de conquérir cet édifice. Les armureries étaient au max, la caserne sentait la sueur, résonnait du fracas des épées qui s’entrechoquent, des heurts des tréans lancés dans des batailles homériques. Les sorcières étaient plus discrètes mais n’en étaient pas moins terribles.
Si on s’approchait du camps d’entrainement, c’était l’odeur plus métallique du sang qui vous prenait à la gorge, les cerbères ont parfois du mal à maitriser leur caractère ombrageux….
Et aujourd’hui, le jour est venu. Tout en menant ses troupes, elle se dit que c’est presque folie. Elle sait bien que ça va être rude ; elle n’a pas de phénix de feu ou autre merveille (pas encore) propice qui à lui conférer une puissance profitable ; elle a juste l’envie d’en découdre chevillée au corps. Elle a peur mais elle y va quand même.
Face au donjon, elle harangue ses troupes, comme jamais elle ne l’a encore fait, même lors des tournois, elle n’a mis autant de conviction et de force. Elle promet du sang, des larmes, de la sueur, (quoi, elle en rajoute ?) mais la reconnaissance est en haut.
Galvanisés, les escouades s’élancent, l’assaut est donné …
Le donjon avait toujours fasciné Méléandre. D’aussi loin qu’elle se souvienne, les conteurs et troubadours rivalisaient d’imagination pour captiver leur auditoire et pas une soirée ne se concluait sans qu’une aventure trépidante au sujet de ce fameux donjon ne soit portée aux oreilles des elfes.
Elle avait trépigné lorsqu’elle avait débuté la construction de sa ville. Elle savait qu’elle ne le verrait pas de suite, il lui fallait d’abord faire ses preuves, sans ménager ses efforts et la patience n’était pas son fort. Mais enfin, étapes après étapes, elle avait atteint son but ! Le donjon se dressait là, aux abords de sa ville, triomphant, majestueux et un grand sourire ornait son visage en le contemplant.
Elle armait donc sa ville, en vue de conquérir cet édifice. Les armureries étaient au max, la caserne sentait la sueur, résonnait du fracas des épées qui s’entrechoquent, des heurts des tréans lancés dans des batailles homériques. Les sorcières étaient plus discrètes mais n’en étaient pas moins terribles.
Si on s’approchait du camps d’entrainement, c’était l’odeur plus métallique du sang qui vous prenait à la gorge, les cerbères ont parfois du mal à maitriser leur caractère ombrageux….
Et aujourd’hui, le jour est venu. Tout en menant ses troupes, elle se dit que c’est presque folie. Elle sait bien que ça va être rude ; elle n’a pas de phénix de feu ou autre merveille (pas encore) propice qui à lui conférer une puissance profitable ; elle a juste l’envie d’en découdre chevillée au corps. Elle a peur mais elle y va quand même.
Face au donjon, elle harangue ses troupes, comme jamais elle ne l’a encore fait, même lors des tournois, elle n’a mis autant de conviction et de force. Elle promet du sang, des larmes, de la sueur, (quoi, elle en rajoute ?) mais la reconnaissance est en haut.
Galvanisés, les escouades s’élancent, l’assaut est donné …